Le Courrier d'Ottawa, 8 Oct 1863, p. 2

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on nous adressers par is poste. 00 lion on 12 seurees Sopalt n oi Hifpats: neuveau the a fait son mr'o: chambre--Voici la cérémonie qu! a . Camtres fait observer que Phon. té a été introduit dans la hambrés sur son'indentare,que lo bref n'a pas encore été transmis au Gref-- %'mg'h Oonmufle en ehtne%lerio. m conséquence : "Quen -dmott:? M. Ruy&ng. le membre: Olu pour représenter le comté de fldn':Hyne'l"gt;,m & 'rrelndm son |iéfa sur e la copie seule-- ment mgndm:nu de l'(if,:ldmfla- , ot sane le ra Pinden-- ::::Ea-mome an mmm: de Ia Oou-- roune' en chancellerie, ot lo certificat de cet officier, cette Chambre recom:-- mande 'g'nd}:hlt nn;ocrumu lnl?n.- me qui exige la luction de l'in-- fitu?e ot du o':niflcnt ordinaire. * Adopté. _ _ Lhon. M. Houtox propuse le con-- @ours de . g_ngzkr'e' surle cinguidme c oo ds to ons' s enbsides. tem de $20,000 pour un arbitra-- est adopté sans discussion. { "hmulto vient un autre item de§20, 000 demandé pour I'exploration et' Parpentage du chemin de fer inter-- colonial projeté. Lhou. M. McGzn fait une ehu'fie contre le gouvernement a rropoc e s question da chemin de fer inter-- eolonial. .Son discours dure plus de doux heures et demie. ' L'hon M. Gaur stigmatise la con-- duite inconsistante et équivoque du gouvernement sur cette question ehambre. l L'hon. M. Brown faisait un long discours dans lequel il se disait diu-' tnétralement opposé au projet du chemin de fer intercolonial. (Pen-- dant qu'l Eh une grande confusi-- on ragne dans la ehnbr?qui selon lui, ne peut dtre approuvés dans les mmntmeu wtum« et no saurait rnduin los résultate qu'ont en vue es promateurs de cette grande on-- Durant la séance du soir, il y eut un orage assez violent non pas en dehors mais en dedans de de la importante. &?mlquu autres députés prennent la défense du gouvernement et la chambre a'ajourne & 6 houres. Lhon. M. Horrox attire 'attention de la chambre nlar ledhordrlc o?duirb' ot exprime eapoir que l'ordre va Tok vetabh. § | . _ Lo Pagepzxt appelle les députée & Tardre. _ Il dit que, dans la confusion gonbrato, 11 mt diffiail'e do deonrnat quels sont les conpables. j Il'.':on J.dA. mcoouu.n uvndv; e langage du premier ministre placé et peu digne de ls position amas. repond qu'il m'a eu l'intention d'imnlht\o Pr&idclp.t. Le Paigsrount dit do son coté, qu'il erait que le premicr ministae n's pas erait que le pretaicr ministse n's pas au cette intention. Aprds cette incident, hon. M. l.:&'u' &-imudhm:'n détend :njs:m o. ie farce parlementsite 20 tormina ainei. M. Archambesult propose alors qu'il estinexpédient de voter is som, me demandée ) ent du coté de 'opposition.) . | 'flfi.'l'lhmlfl.--Qni e "\onnr.-' e preune son s Ms Rarmoxp l'nvm?ulon ot end son sigge du odté de I'npposi-- emandée Pexploration du tracé ::Lin de for lam In" propodition de I'hon. M. Galt Mfii&é:l@*_i;'@mfl mer et des environs, Commie--cest m&m durie ces cireonstances 4 d y mvait la ow m'.'in nombre do femmes; j ot es qui voulsiont sans m' fouir-- d'un qui voulsiont sans doute fouiv d'un spectaclé:qui pourtant est Toimde lour convénirs Dane lo silence de is prison, Ladé-- confessour, le Rev. M. Michel, curé d'Aylmer, ile'est sans doute repenti de see fautes et |'ut£r|pnré & les ox-- pier par le sacrifice de sa vie. : -- ' Le condamné & parw a 10 heures précises, los mains: liés, assisté. du ministre consolateur, qui ne 1's ')aa abandonné, ?m auprés de Ini, 1'é-- xécuteur des hautescouvres habillé de noir, et lo shériff. Ladéroute n'syant }Qn'una jambe,so -nug:mil auxbras de deux hommes 3:i conduisaient lentement au lieu I'éxécution, -- Tous -- moutdrent sur rohte ue reggahis ser ons son crime, aid6 des conseils charitables Péchafaud. Les regards de In foule mi:u;:n::l;b ||=r enx, mais--surtout sur le crint o issalt saisi et ::'nlsyé & l'-pgnmo la -- trappe ale. Un grand et réligioux silence s'cst fait dans cotte tnrbufi'mue multitude. Une pluie fine commencait & tomber, 18 nature était triste, ?: .vents de Pantomane sifflaint auloin dans'les rameaux morts"--et la terible scdné ui s'offrait aux regards inquicts et 2tonn6| de la foule plrli:';i! plus triste encore. Monsieur lo cur6, je yous en prie, di-- tes leur done de me laisseraller--Oh ! mon Diew! mon Dieu!! ....." Pour toute réponse le prétre lui montrait le ciel, mhomit A la con-- trition, lui disant de %rier' quand tout--A--conp le bourean baisse le bon-- net sur le figure déj@ livide du cri-- minel; l'onflgm:bfe bruit du verrou sortant avec vitesse de ses crampons tiré par une corde; la trappe s'outrc, et Pinfortuné Ladérouto ost -- lancé dang Péternité. -- Terrible et eolenrel moment :un instant s'éconle, et un brait sourd, qui retentit dans tous les casurs, apprend & la foule que le cri-- Le condamné tremblait de tous sos embres quand le bourraen Ini passa la corde an cou, scidt les mains join-- tos sur Pordre de son confessour, et e'écriait, fondant en larmes--"Oh ! ;IT;J'O--;{?\I detto & la loi et & in société qu'il avait si erneliement Dedicace do l'Eglise Canadionne Dh'?ug:e dernier, tlroin chars bien remplis re laissaient notre villop vers leg 7 h. du matin--sur la ligne du chemin de fer d'Ottawa a Prescott. : Oh allaient done ces ex-- cursionistes d'an nouvean genre, lo dimanche matin? Is se rendnient & une cérémonie réligicuse }"i devait avoir liew de Pattre coté de la ligne desservi }s;id';w I,ea-s:' fit :;n t-bu':u oxtlfidnl:'.t son sécrataird et d:s!nsie\'\h Rev. P. Oblats; Us, McClosky d'Albany, dvique di m, étant on Enr:se. Atrivés vers les 94 h. les excursio-- gia{u pnr:l.t't':-l:pr aln coméc;nfion ie la now f """fm""' urgh, desservi pu'lc%m. et énbler%. Lomercier, eh?lne Le 'w' abord is tour de 16-- sl:u:fi pout la bénédiction wirs extérieurs. Ls mdme céré-- monie 6taat renouvelé6 & l'intérieur, _ Ba Grandeur Mgt.d'Ottawa qui de-- ni%;fifld" n"lm l8 voifle, u;r invitation xéeu! le, accom; 6 de son sécrAtaird ot de plnsieare Eav. P. to clergé prit place dans is sanctuaire, apris l6 signal frt douné ot In fc':\?:xldn pressait dana les avennes aprds quo! l6 signal frt donné ot In frngqi:l';'n pressait dans les avennies du temple fat admise. -- A.rh cétte cérémonie réligicuse rmoiit tet [ in tgrontop t s ue im ites qui sui-- M\'u'punxm de M. do'O?-M' briand, fournissont tont de prouves de Vexcéliéncs 'dn christianisme, . car ajoute--i1, loreqn'on --eroit n'avoir plus qu'an sujet & traifer, . soudain i) a'en Execution do Laderoute Bemediction d'ume Cloche. dOgdensburgh N. Y. sur Pénormité de f T--w'h&v.m To a.*""flm tel syant ité le publig sur Vou-- | se de 1' vertu'n de vfigmrle db?flé "'r au seigueur, le teur fit 1s com-- | $Y0°°5, ®, tson dé T&utré accomplie avec" e 4 ea resson ition «e ses | Phohteut "| o iéaient nulles | retrouvez | quand I1 se rend |* ';°"' x " 7E _ ECV W T las Y dOftawa, et Meagher fireut tes ser mone de circopstance, le premier en au seigneur, le teur fit is com-- ?alfl'u T&Utré accomplie avec' ea resson ition «e ses fe iéaient nulles quand I1 se rend raison du suceés obtenu en disant que * Dieu I'a vould." De 1i, il s'est éten-- du longuement "&ar la grandent et fir-.-u-'u: convres qu'clwrére ln religion. wmoyens qui déjouent les calmx'"du hqm{nfl. $ -- -- %& Rev, Pre her lui sueceds et fit en langue auglaise un discours trés élomm; ib dit--combien il avait été hetroux d'assister & ls bénédicti-- on de cette église qui est'\ un orne-- ment de plus pour cette ville.. 1 fallait un lien de--réunion pour les fide-- les canadiens qui vivent ici en grand nombre loin de lent pattic de , uais-- sance. Cest ici,.dit--il, le lien ou vous viendrez chercher consolations et: instructions, car indépendamment des hérgsies, qu'il y a & combattre dans ce pays, qui ont tOIH'WH éte, ot qui seront toujours,wles fidgles n'ont-- i's pas 'besoin d'6tre instruits, conso i6s, enwurnq'és,'i Qui doit leur »H)A prendre les obligagions générales du christianisme, et les °"F'fi'm°"' par-- ticuliers de lenr profession ?-- Qui lour indiqnora la route qu'il faut sui-- vre, et les hommes que Dieu leur a donnés ponr leurs conductenrs et leure guides. -- . Nous voudrions pouvoir donner une plus lougue analyse des denx ser-- mons préchés en cette solennelle cir-- constance, mais Pespace nous man-- zno. Qu'il suffise d';dire qu'ils ont t6é bien goltés Er les paroissiens de cette localité et les étrangers présents &cette cérémonie, et m&me par les protestants, car, un deux nous di-- sait loreque nous sortions du temple" ----Le christianisme et la doctrine ca-- tholique ne perdent rien & étre con-- Dans P'apres inidi out lien la béné-- diction d'une cloche destinée & cette église. Le. Rev. P. Mufiher ayant donné quelque mots d'explication en langue anglaise, avant de procéder & cette grayeet intéresganta.cérémonie, Ba Grandear voulat bien cile inéme, dans un discours appropric & la cir-- constance, exlponrl wux fidéles les rincipes sur lesquels re t toutes res bén'dictiox:%e I'l'glm, les ensei-- gnements qu'elles nous--dounent, leurs effete et leur antiquité. . Passant aux doestinées des el:éles, Sa Grandeur fit voir quel rcsrec'. tout chrétien doit avoir pour clles, puisqu'elles doi-- vent, en quelque sorte, prendre part aux joies on anx douleurs des diver-- ses 'circonstances de la vie. Puis ayant terming, Sa Grandeur procéda aux cérémonies d'usage, non sans avoir remercié aveo cette grice ot co tact exquis %u'on lui reconnait, le Rev--curé de Pondroit, tous ceux qui avaient contribué & édification do ce 'temple, & l'achat de la cloche, a P'em-- bellissetment de Péglise, a Péclat de la fete, an choour : qui était venu de si loin joindre Fharmonie de son chant A la pompe des cérémonies ql"i se rat-- tachent & cette fote solennelle. Ainsi so tormina la fotede la bené-- diction d'une--cloche, et de in dédicace de la nouvelle église d'Ogdensburgh. On pous rapportait que divers Canadiens, partie d'ici, pour aller q'assurer qux--mémens, pat leurs propres yeur, si_lont ce t\ui se di-- sait des nombreux avantages que 1 ém:}n- tion danadionne pouvaittrouver dans la Pen-- syivanie, &n sont revenus a¥es ls conviction quis catte promesse de troaver de Pouvrage n'était pas toujours tenue, et que grand nom-- bre de nos compastiotes Staient fatcés de s'enrdler dans . Darmée americaine, n'ayant point les moyens de retourner au pays. On sjoutai méme que les Casadiens éta-- blis J& ne y trouvaient ue dans des con-- ditions fort précaires. . .. . Toutes les popes de l'église étaient On patiait anssi pluseurs e ces on-- droits ':.nr L ligne da*co nourean chemin de for, se trocvant 'aotuellement sans rm pour lex dosservit, 'toola & canse db gote de touté natute qu'ils avaient rencon-- trés dans un milieu composé dos éléments les moins sympathiquer. Si ce l'n-:-mnu sout viai®, et nous avéne do fortes raisone pour lo croire. i| faut a¥voner qu?ils sont bien: propres & faire réiié~ facilemment tiou®er ohert . 6i ses tiiafres nann P ate, o c in Dexploitation, qui HTie S ramats clemimieinntens. Poorcnast in 'biin--goe Yos Pon pooneh m cherchant on bien--btre 'que Pow pourrait ii _ Car, Jaixear io le tiow de u&"l'm.u.:.l nu.\:-'.."o--m: tlone prémidrés, c'est meritir i da nationslité, Jn mépriser soi--méme, tout en ia diminuant t sou tinger porter |'aide de ses bras 6t d-,'muu':r: Dans notre prochain No. nous arlerons dn nouvean couvent des. tev, scurs Grises d'Ogdensburgh. Emigration et Colonisation t assistés des Rev. nor cumme diacre ens de la Bocicté Bt. buérent elsr'ui.m us grandivse, ct our Guigues officiai vite on belies ragtairiee: © zflw & r:: Ottawa (H.C.) Joudi matin 8 Octobre 1863. 6 Bt. Batrige ) flots J pour roug is a £17 & t 1 . o Hciaif pon ti as mogid xdlle 400 1 Eitto-- v. P Marois ' est & p i i d sn re mie n.,'-u' buyd-ul.n!fl.hu. o mu{' ;rp--d--!;i';.'mil;o nglnua de POttawa, dans la vallée de St. 'Maurice, et partout sur a y constitoct is domain® de --vatre bictr--dtre et de voire pm-m:.l:lnu. _ Coloniser.#0.. ©'esi colpuises chez. soi et pour soi : . c'est mériter la bienveillan-- udcr'?dw' igtration fiwlm son aide de totips on temps, dest catholique ut wdorer le Dieu de ces péres, c/est continuer yice 'ulh_ palernelle direction de ses mos --tp.pl.'l de ; sagesse, qui sont Vhohteut et in force de 18 patoisse, que vous retrouvez sur lous vos chemin«, toujours préts & vous aider, & vous consoler, & vous béuir. Les Know--Nothings de 'Union voisine qui exi 16 gu'on dise le con-- traire, et du moment que your t ous, ot des catholiques s ) To' v leront en teb- pris t eo baige, ol par 1094 les inaux qu'ils fi:nthmt vous L'm' its vouk anguh- rout bien yite, héelis! yous si--id . vdtres, de oo o o oc AFa ns f tout Je tort qu'il y 3 ea devotre part, d'aban-- donner--ainkt la pattie, bouitme aussi de de-- serter tous les intéréts de votre propre natio-- nalité. Nous avons regu oogne de la répon-- se du Gouvernement a l'adresse pré-- sentée le 9 septembre par M, Brown demandant copie des rapports de tous les officiers du Département des Tra-- vaux Publics faits durant la présente saison des travaux et de tout autre do cument en la posscssion du Gouver-- nement fesant connaitre l'épov;]no & laquelle les édifices publics d'Otta-- wa seront terminés. _ Ces documents établissent d'ane manigre certaine que le Ministere avait raison de dire que les édifices parlementaires d'Ottawa seront préts pour la session de 1865, du moins c'est ce qui semble établi par les rap-- ports des ingénieurs et des architectes qui ont été consultés. e _ Voici un extrait da rapport de M. Rubidge, Surintendant gal batisses, qui est de nature & nous rassurer sur ce point. La valeur totale.de Pouvrage fait de-- puis le ler mai dernier a &té, sur S Vlea deux contrats, de....$156826.47 Montant payé aux entre-- preneurs, y compris les estimations . du mois . Waofit. . .. .. .. ... . . $105, 857,90 Conformément an désir du gouver-- nement exécutif, communiqné aur officiers chargée de ces travaus, de constater l'ég)oquo probable . Ia plus rapprochée a laquelle les edifices, s'ils ue sont pas complétement achevés, seront suffisamment avancés pour re-- cevoir les différents dé;nroemenu pour la transaction des affaires ordi-- pnaires de la province, lonugue le gou-- vernement partira de Québec, ainsi que pour g tenir une session de la 16-- fislamre une date pou reculée--J'ai 'honneur de faire ra;;lport, Tl'aprén avoir beaucoup réfléchi sur le sujet, je suis d'opinion (et cette opinion est Montant retenu Een d d ent'drement ?mlgée par les archi-- tectes) qu'en faisant certaines conces-- siohs aux entrepreneurs, au moyen d'avances d'nfilt sur les matériaux livrés, travaillée et brute, lesquelles avances ne sont 'su reconnues par les contrats, les dédifices destinés auz départements, & Ottawa, peuvent 6tre préts en octobre, on an plus tard en novembre 1864, et E« les édifices du parlement seront suffisaminent avan-- 'cés et terminés pour récevoir ln légis-- lature en 1865. Cette assurance est donnée, néanmoins, sur la supposition ue los entrepreneurs a teront gomidénblem?::: le no:E:?el tail-- leurs de pierre et de marbre, et celui des ouvriers, et qu'ils se procureront et prépareront ?es matériaox durant Whiver prochain, e'ils regoivent Paide dont il est 16 plus haut et qu'ils ont demmdg:: et aussi sur la foi qu'il coopéreront . cordialoment & pousser Energiquement les travaux. , T! ost entendu, cependant, que les travaux achevés n'embrasseront ni la bibliothique, ni la tour centrale, ni les ouvrages extérieurs de nivellement, d'ornementation, de cloturage, etc. -- "é}l'i;;;i.}li;li,' j; dois di'r::qio siles ils appareils de chanffage n'étmient pas PP ooe oi t Pr{" pour en faire Veseai et chauffer 'intérieur des édifices destinés anx départements, le platrage et autres ouvrages intérieurs pourraient dtre continués durant les mois dhiver, au :irgoyen de quelques gros podles cana-- iens. La Presse, journal frangais publié & Montréal par 1(1(. hncto?,'Bonthilliar et Thompson, et dont le prospectus est sorti il i a :iueh'nu jours, a com mencé & paraitre le premier courant Ce jonrn:l- qui ost le seul zl_llotidien public datis--notré langue nd"h m taipement hhwfvg:mm Franco--canadion o.pcrmfinifi:wnl 20.par ses études incdites sur notre condition nationale, 30. Par nprrt & sa partio commbrciale qui est d'an soir dame an #emps ou nous avons toujours soif de nouvelles. _ _ intéret quotidien 40. V i see dépbches cém;;'flqpe_{ du matin, midi et du } P"..mf GO'MMV:I:P- de par-- "oy Proime 1 Eomricks p'Ortawa La Presse. 50,968.5T public au--dessus de tout, le quelque part qu'il vienne quelque part t\u'il vienne aura en nous, son Gchp ; le plussincére, ¢t le mal, :zslqu forme '&-.pbm qu'il K:\mne, recevra, notre lppro~ tion calme mais incbranlable."-- ~Tels sont les principes établis d'avan-- ce par ce nouvel organe de tous les jours. Nos lecteurs liront avec inté-- rét un article que nous tirons de cet te feuille et que nous publions sur no-- tre premidre page, ayant pour titre" Drvorr Nationar--que nous leur recommandons tout spécialement. xfd Deaz a 4 6 nottimé comman. en chef avec 800 hotmes sous diut en chef avec 800 hotumes sous seswordres 4 San Luis, Le général Doblado en a 16,000 a Guanajuala. De nouvelles compagnics se forment Juares vieut d'organiser son gou-- vernement & Ban Lus Potosi. ?A dable. Le général Doblado a été _ H. L. Quebec.--Merci--Par vos efforts in-- cessanis,youa avez--grandeme nt "u'menté la E. C.Montréal--I1 nous 'est impossible d'insérer dans nos colonnes, votre pidce de vers, comme vous dités--Nos composteurs d'annonces de trois colonnes seules pour-- raient & peine les contenir. * Tulins"--Ottawa. . Ne pourriez--vous goint vous adresser aussi bien a e/le %u'a nous. es sentiments sont bien exprimés. . L'on dirait que vous savez par c@ur 'art poetique de Boileau et que vous avez traduit Byton toute votre vie. Soyez . hardi--adresser--vous directement. . ~ } B AZ AR. Le Bazar de la St. Vincent de Paul s'est ouvert hier matin, a Zem 'peram Holl et doit secontinuer toun-- to la semaine. nowmé ministre de le guerre, Lodo ao Pefede Hecrotaired! Boxt; ot Lonon Tuente ministre auy Etats--Unis Clet R.--Rigaud--Attendez--vous & une réponse, ot & une enguéte. _ e liste dloo sovsbriptouts at Courrier P. G. Ste: Phrlombne--Puissent P. G. Ste Philom@ne--Puissent . vos sou-- haits se réaliser, P. L. Montreal--Le regu eat inclu--merci. J. A, D. St Ours--Dites & B. qu'il tienne a sa promesse. _ Au moment de mettre sous presse, nous recevons" Une correspondance toute particuli¢re. de; Québec® quil nous est inpossible;d'inaérer dans nos colonnes & Pheure qu'il est--Au pro-- chain No. done--Elle ne perdra rien de son 'act@alité. Notre prochaine feuille ne manguera done pas d'in-- terdt L. Portage da Fort--Nous attendons ancore votre reponse. J. N. R. Sito André Avelin--Les nouveaux abonnés n'out pas encore payé. _ 22 Les Dames du Bazar esgémnt re-- cevoir Pencouragement du public. Allez doncles voir, elles vousatten dent et vous serez bien regus au nom des pauvres. Lundi dernier notre conseil de vil-- le s'eat assemblé et s'est occupé tout spécialement de Ja reconstruction d'un marché public qui devra remplacer Pancien _xflns_]e m&me quartier. _ _ T1 est & espérer que "nos peres de la wille"--nagiront point sams consul-- ter--leur souv_zar®, qui n'est autre que le peuprz--et cela en assemblée publique. --II serait bon de voir & nos aNcrENNEs DETTEs avant den contracter de xou-- vELLES. On voit par les journaux de Montréal qu'u-- no qunnmr'oonaijhble de trente sous amé-- ricain« contrefaits, portant la date de 1854, sont en ce moment en circulation en cette cité. Ces journaux ajoutent qu'ils sont trés bren exéoutés et et ils avertissent l public de bien examiner ces pidces en les recevant. Il y a aussi de cestrentre sous en cireulation & Ottawa et ces jours derniers il en a ététrou-- v& plusieurs, parmi de bons trente sous. . Le public doit se tenir sur ses gaides. 'Plasieurs article et correspohdances, ngfim d'espace-- tances Wred ds Jenx yicillards. More o'vn Fraxcats-- cR ruus viEux crroren o8 E. U.--Les jour-- naux d'Oswego, nous apprennent la mort de Pireks RozEt®, un des veteraus de_ i union, décéed€ de 157%& Rorelle était France on Améfi}u'. Le frore du dé fant, M. Rozelle d'Odensburgh N. Y ost aussi trés et l'un des citoyons les plus do cet endruit. Les rmmu canadiens de cette ville par-- ent hantement de sa l!ibéralité. Pendant notre séjour aux E. U. nous avoné en le rlir et Phonneur de comvwerser. on: différentes circons-- mais américain de naissunce. TI était né & Bl'ookl{ll N. Y. le 22 avril, 1752. A I'lr de 110 i1 lisait les journaux sane |unettes. La familie des Rozelie est i'une des plus© respectable qui_soi venue de mort de PrerrE Rozn;.a Pun vétéraus de Punion, d 6. a 1 Avis Aux contRmvaBLEs! ! ! NOUVELLES LOCALES. Aux Correspondants Preces Axartcatwaso® 30 sovs Consell de Ville. nouvesu contrer ucuns. . Elle exp ur tout acte pul ecompliront uubiz& eureuse ou malhe/ ions. Mettaot Pintbrét sus de tout, le bien de wu'il vienne aura en coxtREFAiTEs. MEXIQUK Jn "Nous adrssons aujourd'hut le ier & quelques nouveaux dans Tespérance qu'ils voudrout bien le recevoir. Ce semt des amis soit politiques soit personnels dont nous entrons les noms sur notre liste; nous nous permettrons de compter sur leur patronage pour encourager notre feuille. Ceux qui ne voudraient pas recevoirle Courrier nous les Iprierions de renvoyer le présent numéro et ceux qui suivront 48"° LeCourrier"sera adressé d tous les maitres d'école--& raison de $1. 50 par année--pa-- yable d'avance. T¥ Les abounnés qui ne recoi-- vent pointle"Courrier" réguliére-- ment sont priés de nous le faire savour, --afin que nous puissions. rendre justice a un chacun et exposer les coupables. 1¥ Nous prions nos abonnés de vouloir bien se conformer i nos conditions qui sont de payer le premier semestre de leur abon-- nement d'avance. Les arriérés auxquels nous avons envoy( des eom(ptes sont instamment priés de faire immédiatement droit i mos justes demandes si souvent réitérées. Le succés de notre ceuvre dépend de Fencourage-- ment qu'ils nous donneront en 'payunl le vieux compte, et en nous expédiant de suite le mon-- [tant de leur nouvel abonnement. Rien d'important dans le dernier bulletin télegraphique. 2 D'apres le Courrier, T1 est singalier, que les deux armees les plusessentielles & la confédération en ce mo-- ment soient commandées par deux louisia-- nais, tous deux issus de race frangaise. Bragg est francais par sa mére et sa grand'mére et le seul nom de Beauregard atteste son origi-- me. Tous deux sont catholiques, tous deus ont voyage en France et observent dans leur vie privee les coutumes Je ce pays, Pour nous qui haissons la rigialité puritaine des Yankees de la Nouvelle--Angleterre et ses ri-- dicules prétentions & étre la race supétieure du globe, c'est un nouveau titre & notre esti-- me. _ Nous ne pourous oublier que plusieurs des Plu' grandes et des plus patriotes familles de Pintérieut de la Caroline descendent des huguenots frangais réfugiés chez nous lors de Ja révocation par 'édit deNantes. Dans notre comté d'Orwgaboutg, il y a des villages oi la Iangue frangaise du dix--septiéme sicle s'est conservée dans toute Sa pureté. Nous avons gertainement plus d'lfl?m(é avec les descendants des compagnons des _ Rohan et des Coligny, quavec les fils des Tétes--Ron-- des de Cromwell. Une dépéche spécial de Nashville envo-- yée au Commercial diy qu'environ 300 rebol-- les renfermés dana un hotel demeublé con-- nu sous le nom de Maison Marwell, ont 616 précipités du quatriéme étage & travers la galenie, qui se trouvait garnie d'escaliers provisoires, allant an deuxiéme étage. . Lors-- que les hommes descendirent pour aller dé~ jeQuer, les escaliers se briserent ; deux hom-- mes sont morts de leurs blessures depuis, et 96 autres blessée. LEgooa de Madrid annonce que les cabinets de Madrid et de Washig-- ton ont remis & Parbitrage du roi des Belges la question de la juridiction dans les eaux des Cuba. Une lettre de Rome annonce que le Cardinal Antonelli doit partir pour Londres sous peu, en route pour le Mexique, afin de régler les affaires religieuses du nouvel Empire. Le Herald lu"o'fi que M. Adams a été cause que M. Mason n'a eu au-- cun rapport officiel avec le gouverne-- Le gonvernement du Sud doit con-- tracter sous peu un nouvel emprant. Les nouvelles de la Louisiane nous apprennent un autre échec subi par lee Fédéraux; si les rapports sont vrais, Pexpédition du Toxas a com:-- plétement failli. On annongait, il il y a queiques jours, Narrivée d:t-n le port de %ew-"York de quelques bitiments de guerre rus-- ses. Nos échanges nous apprennent que la frégate Lo Geurriere, qui--por-- to le pavilion du cuntm-mnl?& mand, est nuueter Dancre vie--vie New--York, ntard? dernier. On an-- ponee r.imm Parrivée de trois navires do guerre anglais le Afaile: La presse est lingtrament destiné & universalisgr l'%,"mm alle Nouvelles des Etats--Unis. Like JOURNAUX PuBuife a FARM.-- FAITS DIVERS. le Afie, p:, --

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