Le confort ot P'économia de cette ligne en pouvent dtre surpasssé. | Cette route est de &l:nMfl Ja plus recherchée par touristes. Les excursonistes, pourront obtenir des billets de retour d'Oftawa & Grenville, bone poor un jour, & moitié prix. .Kwidhnmmm ledonia pourront débarquer & I on des voitures seront prétes & bm 00 0 PRX Droygws & Mexlptal To siamst -- >AE . 1363. LE Vapeur "QUEEN VICTORIA" laisse Ottaws tous les matine. W le Di-- manche) pour Montréal, & 6.30 A.M. rears pe cwemt® oe rEa, se joingnant & Grenville 2t shemin de Fer'de 'Carhion et Grenville et au Vapeor " PRINCE OF WALES " & Carilion, arrivant & Montréal & 4.30, P.M. Retournant il arrivera & Ottawa & 6 P.M. _ Les nouvesuz et magniGiques Vapeurs. « QUEEN VICTORIA," Capt. A. Bowis, uPWIRES OF WALES" "H.W--.Bazpazes "PRINCE OF WALES." LIGNE REGULIERE ET QUOTIDIENNE Bureau de la Compagnie du Richelien, Montréal, 27 mm' > dredis & 3 heures P. M., et les Samedis & 4 heures P. M., arrétant, on allant ot en reve~ nant, & Boucherville, Vareunes et St. Paul |'Hermite, et partira de 1'Assomption les Lundis et Jeudis & 7 heures A. M., les Mardis a 5houres A. M., ot lee Samedis a 6 houres fmloul us : Ponr plus amples informations, s'adtesser an Bureau de la Compagnie du Richelieu, No 29, rue des Commissaires. J. B. LAMERE, Agent--Géenéral. W'L'e"v":};&fi Terrebonne, Capt. L. H. Roy ; partira du Qaai Jacques--Cartier pour L°As-- somption tous les Lundis, Mardis ot Ven-- (--rLes passagers laissant Ottawa le matin pas le Vapear Qurex Victorta artiveront a Montréal a 4.30 P. M., ou ils seront d temps poor profiter do la Iign'g. , EPE OSEA We e en Le Vapeur L' Etoile,Capt. P. E. Malhiot, partira da Quai .llnquu-&lnifl pour Terre-- bonne tous tes Lundis Mercredis et Vendredis A 3 heures P. M., les Samedis & 4 houres P. M., arrétant, en allant et revenant, au Bout de |'lle, Riviére--des--Prairies et Lachenaie, et partira de Terrebonne tous les Lundis et Jeadis a 7 heures A. M., les Mardis a 5 heu-- res A. M., ot les Samedis & 6 hou'rel A..l_(. gntir. da Quai hoqulo-(}n.flior poar Cham. ly tous les Mardis et Vendredis, & 3 houres P. M., arrétant, en allant et revenant, & Ver-- chéres, Contrec@ur, Sorel, St. Ours, St. De-- nie, St. Antoine, St. Marc, Belail, St. Hilaite, St. Mathias, et partira de Chambly pour Mont-- réal tous les Igi.muu:hu,i bhoures P. M., les Mercredis & Midi. _ _ _ _ _ Pnd y BW Le Vapear Columbia, Capt. J.--B. 'Labelle, partira pour Quebec tous les Mardie, Joudis et Samedis soirs, 2 7 heures précises, arréiant, 6# allant et revenant, aux Ports de Sotei, Trois--Riviéres et Batiscan. Le Vapeur Napoleon, Capt. Jos. Duval, finmn du Quai Jacques--Cartier pour Trois-- ividres tous les Mardis et Vendredis, 3 hou-- tes P. M., arrétant, on allant ot revenant, & Sorel, Maskinongé, Rivigre--du--Loup, Yama-- chiche et le port St. Francois, ot partant de Trois--Riviéres pour Montréal tous les Di-- manches et Mercredis, & 3 heures P. M. Le Vapour Eui Capt. P. E. Couté, par-- tira d fin'n ocd"iz::mls:r Québec h-':- lundis, Mereredis et Vendredis soirs, &7 hou res précises, arrétant, en allant et revenant, aux Ports de Sorel, Trois--Riviéres 6t Batis can. Les personnes désirant s'embargquer & bord des Vapeurs Océsniques, & Québec, seront certaines de se rendre & temps en pre-- nant len;r'-p a bord de ce Vapeor, vd qu'on t devra les transporter aux Va-- peurs Océaniques, ot coin sana bharge extra. OTTAWA ET MONTREAL. (Le Dwuu_;_de exvcepté.) Font le trajet on Dix Houres. Jusqu'a Avis contraire, les Vapours de In Compagnie du Richelien Iaisseront leurs Quais respectifs comme suit, savoir : _' Montréal t ies Ports de Trous-- Rividves, Sorel, uonmskl."; QUEBEC, LIGNE REGULIERE tion et autres Ports intermédiatres. RIVIERE OTTAWA uzs vaPEUAS " QuEEN VICTORIA" LIGNE DE LA MALLE ROYALE LIGNE DE LA MALLB (REPAS EXTRA.) JOURNAL PUBLIE DANS LES INTERETS FRANCO--CANADIENS DU CANADA CENTRAL Je Coutff Lidk AdlontiF en en rpan t T WrRmp PP mont reconnuss eommie 4 toot e m"mnmm-t des environs. . Mossieurs les boutgecis de chantier, les mh-filutwumw condi\-n'vuhz-l Son t est toujours abondamment fourni 6t il est en tous temps en btat de rencontrer tous lss son-- trate go'ou veudre bien tui confier. nsl on o mes farinra se Je ut k\ d'.-.-:r,«'."?, contine et petites haches' qui sont incontestable-- comptes sont instamment priés de &re immédiatement droit 4 nos justes demandes si souvent réitérées. Le succés de notre cuvre dépend de lencourage: ment qu'ils nous donneront en payant le vieux compte, et en nous exfidilnt de suite le mon-- tant de leur nouvel abonnement. HAGHES!! MACHES!!! 1# Nous prions nos abonnés de vouloir bien se conformer & nos conditions qui sont de payer le premier semestre de leur abou-- nement d'avance. Les arriérés auxquels nous avons envoyé des A tous ceux quile désirent il enverra (gratis) une copie de la preocri|l)t|on avec les directions afin de la préparer et de Pemplo-- yer, qu'ils reconnaitront comme 'un moyen certain de guérir la CONSVMPTION, L'ASTHME, la BRONCHITE, etc., Le seul objet du soussigné en envoyant la prescription est de soulager les affiiges, et de répandre les infor-- mations qu'il reconnait inappré-- ciables et il espére que ceux qui souffrent essaieront son reméde qui ne leur codtera rien, et qui sera pourtant pour eux d'un Rev. EDWARD A. WILSON, Williamsburgh Kings Co. New-- York sera urtant grand %l'enfilt. Ceux qui désirent recevoir la prescription peuvent s'adresser au avoir souffert pendant plusieurs années une -.fl':ction trg sévére des poumons, et de cette terrible maladie, la Consomption-- est heureux de faire connaitre & tous ceux qui souffrent les moyens de se guérir. t m Pour autres informations et pour o que regarde les biliets d'exoursion, s'adresser & l'agent M. Joun McGewax & Poflice du uai. ® R. W. SHEPHERD, AUX POITRINAIRES. : LE Soussigné ayant rétabli sa santé en uefl:les,uelmines par un reméae bien simple aprés m io_m.é"x les %idii'ms.i"ii[e?-i'sjj 9.50 A. M. rain lu ig ronto, B'Z.':n ot l'Os:::. °- 600 P.M. Les TRAINS ARRILV ENT a !a STATION de la RUE BONAVENTURE comme suit : De Portland, Ieland Pond et les } Stations sur la Route.. . .. .. . § 7.30 A.M. De Toronto et les Stations do _ ..9.00 A.M. De Island Pond _ do _ do ..2.00 P.M. De Kingston do _ do _ ..7.45 P.M. De QubLeot Richmond _ do . 10.00 P.M. De_Toronto, 'Ouest, et olll'l} Cityc es esse es seva ++ +2 ... 10.20 P.M. C. J. BRYDGES, Oitawa, 15 mai 1863. CHEMIN DE Billets d'Excursion & Montréal 18 mai EEROeT VCC ENEOOCTC PIIOTIIETL P00 PCR TRAmS D Fourst. Ees on Unoal:= is Détroit, et POuast, & ... ... ~} u'a ce jour, prend in liber: Direct--Gérant. Directour MoFarlene Mre m John MoGoqy James Martin MeGioni+y Bernard =;Pl- James B McGintly Mary Bourley Janses Gosoh John Tessier Gporge _ Travelior Mrs Thomas Thomson ' Miss Rliza . Targeon George Young W A Armdt Mr Taylot W R Thomas W Taverner Misa K Tiornoy James Toaly Miés Merthe _ Traveller Henrictia Tessiet Goorge Traveller Mrs Thom Veaure Loni Waters Margaret Welsh Jnmes Welsh Michael White Mrs Mery White Patifck Sabourin J P Boobie Waiter Sigoun Delphine Sionott Ann Simne Jobn Bmith W H Smyth J ho H Bmith Jame» Neleon, Sr Thomas _ Moire Pitre Neagle Joha O'Brien Michae' O'Dotmell Simon O'Brien Andrew G O'Grady Mre. O'Connor Thomas Laviclette Bte Marshatl H !l!yvny_lk.\zl D Moran Martin Moore Andrew Pané l-{fin . Pbelan hr': aette 'Angustin PMl"p? ré F:'dul -l'l" Plerce J A Raine John Renaud Josepb Ramsay Robt. Renaud Folix Rainboth George Renend Iznace Racine Elenne Rathwell Wm Reld Rev Dr Read Jamos B Jooes Martha Jones A P Johuston Mrs Jane _ Johnsten Robb Ladouceur Joseph Laurio Maxime . Lawrence Joasle Kealy Darby Knowltos Orville Liste des Lottras non reclamees au Bureau de Posto d'Ottawa, _ jusqu'au ler Octobre 1863. Jameron Miss Blen Cannally Robort Carpenter Wmm Chapman David Davis Thomas Daly Philip . DeWickede C Brown Douyherty Miss Doberty G ¥ Doutre Maxime Teaace Mark Amiotte Se vire. Ambridje Thomas, COartierre Alphonne Cosgrove Alice Derry Mre Jobn Bvans Lacinda Farrell Bartholomow Garvin M Garvan H ary Gaurnsey J Wichin Jakn ns Gibson Thomas Hannan Margaret Hickey John H Imes Bobs Hogan John Baird Mrs. C. 8. L. Bloadon Andre Barber G H Boland John Ballard B L Bouine Calice Baker Andrew Boisvert Maxime Baron James Bryson Alexander Beatty William Brownall Chas. E Fortane Wmm Fontais Sig Pieiro Forbes & Go H K Gaylord J M Bori .an Joseph Birk D NNONCES NOUVELLES 3r Ottawa, (H.C.) Joudi matin 8 Octobre 1863, Button Patrick Bmith Thomae Bmart W G d Stomart W 0 Stephons Walter Btanoup W Sterenson John C Stemart Androw BtJulien E White W Geo Wilkine F Withors Thomas Woods Michael Weods Jumes Proper--Obas Padrah Pater Little Mrs W Lyoch Catherine Robillard Joho Lapierre Rosille Moxiey James Movntain'Williem .. Fouchette Damasse Fraser Catherine Lacroix J B Murpby Joeeph Grey Thos Grant John Grant Rev Geo Grant Maleoim Coup Mrs Cowan J & W Golvert Larrie Cooper J B Connor Thes Cummios Lucieda Datls Mizs Begges Y Donley John Droglit Jobn Driscol! Timothy Gippo Moses Gooro litlfil;ln. Godin Thelesphore Hutehineon Heary Hall Geo Hudson Miss Margt Huouer Wns Daca Thomas _ Dufresne Francois Fripp Heary 'mn.;ro'hn Burke Mary Aun: Byron Mre. Suan G. P. BARKER, Maktre de Posto. on Wen D REdward itf 0 toute colonia sérieuse. . NMotre us lation pulvérise les intérdts ; elle's 616 admirable pour détruire, exterminer l'ancien régime. _ Par quel mérite, transportée au Mexique y fersit--clle des prodiges d'ordre social et de stabi-- lité politique! Lorsque Lonis TX dé-- hu'g: en Afrique, il emmena avec lui labourours, des instraments aratoires, des qoiua de toute 'worte comme on pest le voir par Joinville. B'il ett réussi, trente millions de Frangais catholiques borderaient an~ PA oo noovesiencral n ow . ue, de a'y partager des terres, d'offrir 3 ln popn{uion mun noysu de résistance ot d' ération politi-- jourd hui tout le nord de l'Afrique, et assurernient & notre race !s supréma-- tic sur le monde. . Nos soldats n'ont pas l'intention de s'établir an Ha.x:- lutions. -- " Les hotmnmes et 'argent ne suffi-- sent pas ?onrooloiioc; il faut avant tout des id6es justes sur la colonisa-- tion, clest--&--dire sur ordre social, en d'autres termes sur la reiigion, la pro-- d'autres termes sur in nfiflon, la pro-- priété, Pautorité paternelle, bases de but atile; etile fait est asses extraor: dinaire dans notre sidcle pour mériter d'otre signalé. Mais zu 1@ méme, i est impossible que ce fait soit compris en France; il contredit toutes les données des philosophes et des écono-- mistes modernes, t nous raméne aux idées d'svant 1789, aux idées u'w- rait pu avoir Louis KXVI s'il eft on-- voyé une armée an Mexique. . Cest répudier avec éciat le génie destruc-- teur de notre époque. Rien de mieus, assurément, etipersonne n'y np'glm- dit plus sincérement gue nous. D'ail-- leurs, cest le caractere (kne, dée le début, nous avous assigné & Fexpédi-- tion. Seulement, nous voudrions qu'on ne se fit pas illusion. Nous avons & 3616 de m:.ho lnou'-; pln:re d?olonb 'Atrique, on il n'y a gudre d'autres eolonr:q que les fonctionnaires publics. On no veut pas se mettre dans la tote ano les idées modernes sont incompa-- bles avec Nexistence des colonies ; toutes nos colonies ont 6té fondées avant 1789 ; nous,. n'en erberons de nouvelles qu'en nous mymc sur les principes qui régn alors, et ui, étant fondés sur la nature des ;bmcel, n'ont pu varier avec les révo--. brochure qui a paru sous ce titre : Lo France, le Memigue et les Etate con-- fédérés. Lauteur soutient que noue sommes au Mexique pour einpdcher l'abeorption de la race latine par ls race anglo--saronne et pour aider & l'indépendance des Etats confédérés ; il prétend que notre marine se créers d'udminbll:'ldébonchén dane cu';u- tes . ue peut nous four-- nir s:-"pmdnlt:d&onmu et préci-- oux et attirer '::' ooloniut.iol;' fran-- i Bi tont cela est vrai, Pentre-- Mfirho du Mexique se distingue par un ut utile ; etile fait est asses extraor-- brochure qui & part 008 06 VC * 0 | ronnaires, f;-;ogl France, ie Memigue et les Etate con-- fl°m'.'°'"h. 'et i1 vest--pa fédérés. Lauteur soutient que noue régime militaire. . . ! sommes au Mexique pour einpdcher e6us le joug dn sal l'absorption de la race latine ",:.rl: o udhr 1 e race anglo--saronne et pour aider """m'""m""nm d Irindépendance des Etate confédérés ; | {DSADI®,®"8 NC S fim fos tb aap sys Ob! gardes votre foi st vive Et votre innocence naive, Coupe d'ambroisie at de miol ! Fuyes use vieoragouse.. .. _ Et si votre mére est heureuse, Vous aures votre place au ciel I Lovis--Hoxoxé Frgomerr®. Québec, 6 Octobre. Ob! lorequ'en voit res frouts sens ridesy Vos teints rosée, vos your limpides Que n'ont jamais terni los pleurs, On reveit ses jounes aanées Et see illusions fandes, Hélas ! sous le vent des doulours. Sous I'mil d'une mére jalouse, J'aime & vous voir aur is pelouse Owiu-u'u.mmou D'::-::.rlun de soie, sou dane votre D-Mo:"ommrmal Pitls tomme o0 toopen aiptontom. Joyeun comme doe chérublas, (Pour l'albam de Madame G, J. Pacaus.) " Les journanx s'occupent d'une NOUVELLES DE FRANCH. On lit dans le Monds du 8 sep-- blan{, em cette circonstance mani-- fester pour les Etat--Unis gne sympa-- thie suspecte ; ils 'désiront que" toute 'Amérique da Nord ne forme qu'un soul Etat. Tls travaillont exclusive-- dn:ul:: en f"flm dlt."glhpumhn'fi;-:; ét race anglaise; ique imprévo-- te, dictée par Tesprit de secte, et z:lilu'urifle Tos traditions ot | l6s inté-- réts de la France. Cest pour les relov 4 te cat -m: lm":o.ugniuo 16 mplonw tis no vas giter I'cutre denos sol-- élaf 871 avait' lnim&ite conguis le Mexique, il Wflifi prin-- cipe électif et régnerait ldghu par la grfiwdum Au fond, il n'est qu'un président & vie ; son empire de-- viendra héréditaire quand il aurs 6t6 transmis xfl le. droit de drimogé-- niture. usei, nous ne conicevons rc.r les répugnaces des libéraux pour 'empire mexicain. Iis nous sem:-- Maximilien n'est--il pas in empercur des soumeraine sont aujourd hui des représentants du penple. L'archiduc ronrvoir Fempdcher, les Etate--Unis ui voler des lambeaux de son terri-- toire. Comment restaurer ce pays, étoindre co feu sans cesse renaissant d'une incurahie nuehioxl I1 n'yl- v'oa £ au ique le F'anaschie n'a gu'n but, le piflngo. Or le respect du droit des propriétés n'est pas un produit des sociétés mo-- dernes, et nos généranx, officiers et soldate n'en savent pas plus sur ce point que nos légistes lea: plus con-- " I1 est urgent d'y songer, ai noue u'upe les du dimanche & lundi le fou & détrnit la maison de M. Théotime Coubure, respectable cultivateur du lien, avec tout ce qu'elle renfermait. Cette famil-- le, universellement estimée & Ste. Hé-- n%dino comme elle 'était & St. Charlgs quelle habitait, so composait de tieuf personnes. Tous, a 'exception du pro-- priétaire ont péri an milieu des flam-- mes, et lorsque les voisins sent accoi-- rus pour porter secours, la mort avait déja emisi ses huit vietimes et il,était impossible de retirer les cadavres. M. Théotime Couture a été sauvé com-- me par miracle, et i1 ne Ieuz com-- prendre comment il a pu échapper & 11 vient darriver dans la paroisse de Ste. Hénédine, comté de ]3<nl'chester, an de ces accidents qui jette dans In conéternation 'non seulement toute upe famillé, toute une paroisso qui en llcont les Y.émoi:,, mnéil encore toutes es nes éfrangéres qui en en-- tpns_gnt t6 simple r_écit. .I.;lana la nuit Ia mort. On l'a trouvé presque asphy-- xi6 et sans eonnniunn%'entrre 5e see écurios et gdé par son fiddle chien ql:;il.m probablement snivi' en a'6-- chappant -- de Pombrfsenent. T1 est impossible de décrire les doulears rfl gnantes de cette infortuné Ion'?a 1 a pu comprendre toute l'6tendue da> son tathoor! La mort lui a ravi d'un'tenl coup tout ce qu'il avait de chére 'stir is terre, mée,u mére ot six en fante | Voici las noms des victimés; > 1. Jean Bte. Conture Agé do T4 ans. 9. Emelie Bacquet, dite Lamonta-- Lhnfinfl ui puisse dire : like po%itign prise 'mr In Presse & cet égard n'est pas in mienne et j'ou prends une autre.--ZLa Presse. On noue écrit de Ste Hénédine, en date dhier : -- -- 8. Theotime Conture ag6 de 19 afts :. lhhdoa'mond 11 and. f " 6. ine 8. +5 Yovoo 6 . Mioux vant toujours Gtro sur. ses gardes que de no jamais T'étre' sur-- tout. ' Au reste nous ne croyons pas qu'il y ait avjourd'hui un seul Clnnu?icl'l- Voild notre profession de foi & cet égard, Celane vout ps dire que nouseroyons & des dangers immédiats ou évidents. Mais en face de Jn nature des choags humaines, le bou citoyen n's .qu'ne seule liFno de conduite & suivre, c'est de dépl oyer toute son énergie, pour arréter Pélan des passions et lo do-- miner, et, a'il no le pout sans sacrifier Phonneur et le devoir, qu'il mourt pour la liberté de ses fréres! _ . Or ai notre conscience et snO§re honneur assurent notre concouts '& tous nos confréres Canadions--Frangais sour continuer de faire éviter eotte louble rangée. d'écucils an . vaisseru national ; ai notre . consciefioe, notre intérét ot notre houneur nous font in devoir de ne--pas appeler, par Vagres-- sion contre no# scours rivare's, Vagres-- sion de cellos--ci contre nous méines, et par l'injustice contre nos concifo-- yous britanniques, Ninjustice et..la vengeance de ceux--ci contre nes pro-- pres compatriotes, notre devoir n'en est pas moine de dévouer plume, --bras et existence méme, pour reponsser toute tentative ennemie, do quelque qu'eile vienne ou de quelque g:'uxw qu'elle se couvre. ' Que les foudres de la guerre civile n'ensanglantent jamais notre sol| + 20. La négation d'elles-- mémes--et leur pro(rm suicide par lour léthargic et leur décadence morales, politiques fi matérielles, volontaires et coupa-- s. 20. n'ensanglantent guumis notre sol l + Qu'ellfu prom@uent leur torche in-- eendiaire et leur glaive fraticide-- ail-- leurs ! , 1 Qu'elles s'exilent do la surface de la terre, s'il est possible ! < . . . Nflnm;;mihtfl_up-,fi Inorknpig--uurt viomixs