Le Courrier d'Ottawa, 31 Jan 1863, p. 2

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Toutes .ces difficultés ne sont pas aunssi serienses qu'elles le paraissent. D'abord, il est fanx de dire que l'An-- gleterre ne vent pas nous porter se-- Surmiohy witre promfores aibiociohe ue aux sus-- cités pa l'mdn Trent, elle nous M 12,000 homme-d de o:- meil-- t qui dernidrement fimfi«?dn bill de milice, envoyait plusiours batiments 1&_ ovisions de. gnerre, d'ar-- ies de Ot de _ vétements pour P RYO is ponede denote oo ne peu ln e nous aban-- _""'" lors méme qu'il fit i quelques uns de sos jour-- x l6 soutionnent, qu'clle n'est lige awn Canada. ll':ll: ;ttmm-%nd, qu y tenir on w'r ent . de fierté nntionrl'el: me .peut Pabandonner sans se narquer olle :"fldgn dim-- pulssance aux u monde ontior, nlignore m'-tgm,,us' ee son gon on ga son . of Oomn:G ds lle 'y) re~ ry "' Ory 'm-' Plie me pout 4 600. farnte. no pbn .v&r'ln] vrai, comme qué Quoiqu'il en soit, le récit tant do combate glorieux a 6t6 plus que suf fisant (pour justifier le lectureur d'a-- vyoir comparé cette lutte i celle de David contre Galiath. -- En offet, en-- tre les ffim de nos Adizruim ot lea notres, avait toute la dispropor---- tion qui ziluit entre celles J:llgénm Philistin et celles du--berger d'Isradl, ct néanmoing, pendant f;zs années, nous les avons repoussés, nous. los avons h"liw"'" les avona..vain-- cus,, -- Or, ieurs, ce que nous avons fait, je ne vois aucune raison mpmnvo que nous ne puissions le emcore ; et clest ma conviction , intime que la guerre éclattant, nous saurons ajouter aux glorieuses pages de notre »histoire, d"fle" qui ne seront prs indignes d'elles. Je sais que les apparences sont contre mome. Jo sais que Fon dit avec une sorte de plateibilité. "Mais comment Fésister ai 1'Angleterre : ne veut ni meipeut nous porter secours i Et puis, les Canadiens, qui se sont si bien battus:en 1812 et eu6 téunt dan~ tres: cireonatances, ont .6té enervés parsune paix.de 50 années, ct main-- tenant ils ne craignent rien tant que d'avoir &~combattre. Enfin, com---- ment défendre un pays dont los fron-- tidres sont si vastes ct ouvertes de tout coté & .Pennemi." Pour moi, MM., j'ai lintime con-- viction du contraire, ct j'ose espérer que vous pcrugeraa mon sentiment si vous voules bien me permettre de wous présenter un tableau succinet de IE'i;th .miliudim des do;z I:;inpl:. voyant, pendant une période de 125 mb,';: Canada &ouer le role de David & Pégard de Galiath, vous conclurez :avec moi que les peuples pss plus.que les individus no doivent se mnserer & la taille, et que par con-- séquent notre petit uom%ra ne doit pas nous fhire perdre courage. Nous ne suivrons pag orateur dans Pexpo-- s6 de In lutte plus que sécnlaire que le Canada a soutenue cnntr«]a les %o-- donies w.. ut ud s'ouvre en 1689 et le(t):rtl'rflue er'xelgw a la gloire des armes canadichnes, n ét6 présentée par le Rev. Pdre dans un 'tableau rapide ot complet qu'il faudrait citer en entier. Du reste, ost--il si certai soit tout & fait impossible r & nos ve supposé qu'ils -- ellement l'intention de nous envahir ? Est--il ai cortain qu'il n'ont qu'd se présenter pour'devenir les paisibles pom de ce pays que nos Pres ont t par tant de nobles sacri-- M" (% n; u:;u';fé'x;t d'em:eix'xi'i,' A Elo ite qu'il y avait d'Ames l& Colonie. .m).' L en soit do ces denx opi-- le lectureur, je ne puis hok d:.niéro soit oo(l,le éln C et vrais amis du Ca-- nada. Le Oanadien vraiment digne de ut embrasser uno ligne de con sl'firente de celle de ses Pres. Or, vous le savez, la coutn-- rindrm sothine Tepeniiighe par. to u e double «de lln?umim:s:: g:r Pé. f o réduits au plus dé-- courageant abandon, ils avaient & ré-' e tenir tote & nos envahissours. Uautres, plui cigu dedl'ltl:ou» ob . ue 'hon-- igar national, préter dout que toute : ,',' étaut inntile, le plus sage serait de nous résigner & ns se fusg uici i on Polot . im w Jn ralité, sou-- wunnl péorint ons probabilite d une moins prochaine tre le Canada, $ gamemait oc e f ien dans . Lefebure. sur 1s situa~ pays dont il Brars--Uxn. «i8 lo K a Aembeent w remidbe --ove a cher des exemples --dang des .&nnml..Dih& mol: coux qh!m morts an champ, d'honnear anx Pla{-- lfl'hflu'n ne brillent--ils pas,on x aussi, Pune gloire impérissable, et un gouvernonr _ anglais, plein d'admi-- ration pour tant de vertr g:'e con-- m'atil pr senti in de , par Pérection d'un momn-- q ..'.,.v,.ir des hants faite 4o Mais, dira--ton, peut--dtre : En sup-- posant que l'Angletorre nons envo?e tous les secours qu'elle peut nous en-- voyer, et que nous moutrant nous mg'mes & la hauteur de notre passé, nous fassions tons les efforts dont nous sommes capables ; que peut le Cana-- da contre les 600,0&) hommes que le Nord peut versor sur nos plages L.... A cola, {e réponds encore une fm"no les peuples, pas plus que los indlvi%ul ne doivent se juger a la taille. Celui qui aurait ju'gerupuléon ler par sa. stature, et Tarmée de Salaberry par le chiffre de ses soldats, ont assuré-- ment porté un jugement bien faux. Je réponds en 'second lion, que la victoire n'est pas nécéesairement lige & ln véritable gloire, et il ne mangue pas de faite dsm Phistoire on la gl§n a 6té décernée aux vaincus seuls. Qui a jamaig songé & donner des lonanges anx Porses vaingueurs anx Thermo-- piles, on d Gfl&i ot & ses Pidwion-- ::," nquonrs a Lorettel... on i~ impdan, an le-- it & manmm ue les i no gauraient flétrir. é'!l'fl- : besoin,, Moi f tamment engagés dans la lutte. Mais est--ce ld une raison de mous qualifier de poltronat... En 1812, lorsque nous avons pris les armes pour repousser nos envahissenre, il y avait presque In Mdme période 7ng nous étions en paix, et cependant, Phistoire est 1& pour prouver Tw quelques somaines suffirent pour Porganisation de mili-- ces nombreuses et puissantes et vous faire cueillir de nobles lauriers. Cé que nous avons fait, nous le ferons encore; le passé nous est un gnrnnt' de Pavenir. Tl est clair, syouta--t--i1, ?ue jouissant, depuis 50 ans, d'une paix profonde, nous ne poitvons avoir la méme ar-- deur qtie les peuples qui on 6t6 cons-- mun. Et n'en aijo une preuve !dmls ce qui s'est pasrl'ln d;;rnier. Pourqnoi, si nos compatriotes ont les dispositions que certains advorsaires leur supposent, pourqnol l'an der-- nier an premier bruit des hostilités, unesi noble enthousiasme 8'est il ma-- nifesté dans tout le payst... Doi vient que des oommiu se sont ai promptement organisées? D'oh vient quil s'en forme encore de nouvellest Quoiqu'il en soit, M. M., je ne puis m'empécher de croire que le d devenant-- imminent de la part fie' Etats--Unis, les partis dilpusuont ot tout ve qu'il y a de Canadiens: dans le pays, s'uniront dans une sainte--i-- gue, afin de repousser Pennemi com-- Mais, cest & l condition expresse que nous ferons taire l'intérét privé, que nous cesserons de disputer sur les hommes et sur. les.accessoires, pour ne plus considérer que l'intérgt X: ln nuu:; et que nous réanirons tous nos efforts afin de former un seul et unique parti, le parti Canadien-- Frangais. . n o : n'ai jamais com: wil pdt y avoir de Jll'lil et de drv?-ignu p.rmiylu Ca nndpiem-l"rung.h. Etant, comme ils le sont obligés--de vivre & coté de na-- tionalités étrangéres et souvent hos-- tiles, comment, si leurs forces sont divisées,. pourront--ils neutraliser les efforts de lenrs adversaires et faire prévaloir leurs intéréts ? Messicurs, nous trouverons toujours dans notre intelligonce et dans les nutres §uli-- tes que nous terons de nos Pores, tout ce qu'il faut pour nous faire. une position enviable sur ce continent. certain point qu'll y ait des partis ?;:i reste au Canada de nationnalité en France et dans les autres pays on ngmu. Quelque résistance que la population eat Wn mais je | les Canadiens puissent urposer Al"}n-- n'ai jamais wmrfi'qn lp?tyl'd: flnence des Etats--Unis, leurs mceurs d:dpnnil et de divisions parmi les Ca-- s:imm"fl seront absorbées dans ie nadiens--Frangais. Etant, comme ils | flot des habitudes mercantiles ; lear le sont obligés--de vivre & coté de na-- | langue s'effacers dovant une autre lan tionalités étrangéres et souvent hos-- |£46 ; lour drapeau héréditaire devant tiles, comment, si leurs forces sont|UD autre drapean; ils deviendront divisées,. pourront--ils neutraliser les | Américains. Leur culte auguel 'An-- efforts de lenrs adversaires et faire|gleterre ne porte pas atteinte, sera prévaloir leurs intéréts ? . Messieurs, | tourné en dérision, harcelé, l"-ltl"é nous trouverons toujours dans notre | PS n_)uocel iuventours de nouvelles intelligence et dans les nutres quali--| doctrines, par tons ces prédicateurs tes que nous terions de nos ?érel, fou.&ueux qui tournnent contre ce o{: suis peiné cependant, MM. de voir qu'en--cette .éirconstance, nos compatriotes aient, par lour csprit de parti, donné & nos M':'u--- sion de parler.mal de nous, . Et puis que occasion s'en présente, perinet-- mettes moi de vous rappeler ge qu'on nons's dit bien. souvent et que nous rappelait encore le savant 1octurenr de i dernier. . L'union, voila ce qui fait la force d'an glai:;fo ; ls dé-- sunion, voild ce qui fait ul'olbhuu. Mais si cette maxime pout s'appli-- %uer & tous les:pays, cest surtout au ]?unda qflj convient d'en f.ir"' Pap-- cation. . Je ao?uln, jusqu'd , un gcrt:in point qu'il y lil":rq- partis on 1775 et en 1812, iminédiatement | betville, fi&'du De Levis, Bula ' l'ud.ifiun'fn- ue de | berry, ont ldupqsad:"nblai [ :'Hru. pour | Rappelons nous que ce serait pour moui m preave.du reste | Hous, une sorte d'infamic que de ne que l'Angleterre ne s'eat pas laissée | PAS profiter de tontes les occasions que tromper par les invectives de. quel|Bous pouvons avoir de imarcher sur gamulldl ses journaux et de see l.lnm Du reste, nous voulons mmes d'état, c'est qu'aprés.comme | 9n jour ou Vautre étre un uple a avant le rejet de ls mesure, elle a|PSft; nous voulons vivre :K:uu vie continué & nous envoyer des moyens | qui nous soit pro;pn. Dds lors, com-- de nous défendre. patriotes, n'oublions pas que ce riant Je suis peiné cependant, MM, de | 8¥enir nous serait fermé pour jamais, voir qu'en --cette cinown-uuu. nz ol uod:o v;"ibol.'" & faire partie de la compatriotes aient, ceprit grand ublique eri proie en ce mo-- parti, donné & nos M':«--- mout id': ai '&.--.-.m.f commotions. sion de parler.mal de nous, . Et puis| Qu'attendre en effet d'une confédé-- que 'occusion s'en présente, perinet-- | ation & laquelle six millions d'hom-- mettes moi de vous reppeler ee qu'on | mGs préférent aujourd'hui s ruine et nons's dit bien. souvent et que nous | extermination t...Quelle perspective, rappelait encore le savant 1octurenr je vons le démande, que celle de de-- de r)udx dernier. . L'union,. voild ce | Yenir ie 35me de ce contposé hétéro-- qui fait la force d'an ::f.- ln dé-- Foqu forme le pouple ainéricaint... sunion, voild ce qut fait sa fhiblesse. | Noublions pms ce que nous disait na-- Mais si cette maximo pout .s'appli~ Eflfls un écrivain anssi sage observa-- quer & tous lespays, ceat surtout au N'x;l"'lmi de notre pays. anada qu'il convient den faire Pap--| , '"Dans l'tlnoxiouo vois 'anéan-- plication. . Je is, . jusqu'd , un | tissemeat rapide, ical, de tout ce sertain (point . q..'g_? y ait des partis|qui reste au Canada de nationnalité Sention --aux --circonstances Pont fall tomber. . Main cals o fait . poe qlthl'udonbil-mz'd- circonstances prouve ue ce z' '""""'"'hl;.:":utnwu- rage. . Et assurément, notre conduite 0"--5---5-13" rquait 16-- commment un de nos écrivains, que PAugleterre s'en est trop vivement préveenpée, ot n'n pas aiace fait at. qai det du Will 'de Amilice, T oo ommunds 4 in m de 'Eu premagedt veBlag boaper db reg) ols olrred E D-v:.: sortie l'-.-ng: de' In M,:h:mm?mgggz :--"u'lvu-.." Tunks iy sot "';""" Wastioft qut commandatt ies trouple vhien® No navenao in efi c tiec c on c t lfim,dhhmhuun- thandes de fatigne ot moorraient de soif at de faim. Iapnpbhhvillo-m. hhuhvnld.hm-hdd-p. H:--Mru Mars il se trouva on face mflhvwnnmdahm tes. Cétait los 'aoldats do général moff. ~Cenr qui .marchaient : Jos preasiors, (Swite et fin.) Los luttes nombreuses et sanglantes que Ia pauvre Polvgn- sootenoe toute seule contre in Russie Pont'épuisée? 'alle= sent qu'abandonnée de tousy jolle n'est: pas de taille & lutter 'coutre I.rm mosoovite. Rile a done renoncé depuis plusieurs aandes pour ..:.nqwu sa Iih.:'l politique et reti-- sappuyer sur hurbais; w:n hflm"'. I'hnm Rile: se contente de protester contre lea mesures op-- pressives dont olh";u la viuh-'cg d-z monstrations paci( sa résignat olle nhldcpl.)?u ::'.fiu"o,mnm:.'? fante ux des antels du Diew de in trie lfihmnmim E ?- * Muis qu: le l--.;: choisit pour ver ce in epparetaimin nc c'ext dana ces omebts couriges %h'. se revouvellent : en voici on it aniane rombrente proversiee revert my it dt--ane nombreure procession renant Par que la victoire n'est ru essontielle-- mout lige & la véritable gloire, et qne si; apros avoir fait toute ce gui aurn été en notre ponvoir, nous avous le mnlhu;r :10 naooomber, uouls devcl)jl'n dtre glorieux de partager le noble sort d%- héros des 'IPh.ennoper- ot des plaines d'A braham. LA POLOGNE ET LA RUSSIE Afin d'éviter ces mnlheur';,JMeo-- siours, sachons nous proter avec ardeur aux mosures sagos que le gouverne-- ment | pourrait nons propoposer aux fins d'o'rgauiuer la dgfen':: du Pays. Bachons nous imposer avec gnérusi- té lesisacrifices qui seront n ires pour atteindre ce noble but. Fortifions nous en cela de la Yensée de nosPdres. Leurconduité est Ie flambeau qui doit éclairer et dériger la notre. F?n son-- geant & ce qu'ils ont fait,A 'époque an-- tique od ils ont vécu,apprenons ceque nous devons faire nous mémes dans le situation présente, Or, vous le avez vu : La vie do nos Pdres était une vie toute d'union de devouement, de pa-- triotisme.. S'agissait--il de repousser Ponnemi et de soutenir Phonneur de notre drapean, vous les \'O{iez aussitot quitter leurs champs et leurs foyers, se lever comme un eeul homme et #'6-- crier de concert avec Pimmortel Moncalm, "Nous combattrons, nous nous sacrifierons, nous nous enseveli-- rons, s'il le faut, sous les ruines de notre colonie," Si nous stivons un si noble 'exemple MM. nous pouvons entretenir la douce espérance que la victoire ne désertera pas notre dra-- peau. . Néanmoing, u'oublions pas, comme nous le dissions tout a Pheure Lzctwas oo Ruv. Pres Pamunee. T Mmss dE ts Or, la religion catholique est dans le Canada la clef de vonte, le lien le plue ferme do la nationnalité frangaise. C'est elle qui a erée cette colonie,qui I'a &clairéo par soe enseignements,eri-- noblie par ses institutions. . Cest elle qui réunit dans un mdme foi, dans les inémes souvenirs, des hommes divisas par la politi"ne, et de plus rallie a une partie de la podpuluion, les nobles enfante de l'Irlande. Cost & 'Eglise Canadienne qu'on peut nfipli ner sur-- tout ge mot sublime de M. c?g Mon-- talenbert : "L'Eglise est plus qu'une femme, c'est une mére." Avec elle, je crois & la g'rpétuité de la race Ca-- | nadienno. ns olle, cen est fait de tous les vestiges qne la France des autres niégle_l a inissés en ce pays."" u'ils appellent l'idolatrie papale. 6:-, la refi'zon eatholione eat gng: h qud 68W chemins' étan in étroits ot l:-m d: =;_" nous serait atsez facile de ren-- dre du nombre insignifi-- Et alt, ie ie employés pi'&lbarry. t mluuu dans le plus m l'armée du géuéral m de in enoaln thoinin mt ianenamase nnions, Champlain, ot dans laquelle d'I-- Coe ie oi o taee nquelie o°F le it al Jien de t 83W" La revue des évenemens. de 1869,quts nous avone ; pablice» il y a deja quelqne tempe, appartiont, pa-- taitsil, & in Gasatte de Sorel. l 'F' Mercredi soir avait lien le de la St. Patrice an Théitre de : cette ville. Pris de; 80 comples étaient présents. . . Les membres de in Société 8t. Patrice: ont--dn dtre sa-- tisfaite dn résnitat --de ce bal. Jeudi soir ie Dr. Dorion donnait aa lecture devant un nombrenx audi-- toire sur " les bonnes 'et los vicilles habitudes canadionnes et Pamour do Mnhtr::';-n réservant de d':rnitof a dernidre enjet 5:0""' fui nvait trait :n"xfl'" moym" conserver nos institations natio-- nales et : religi "--Nous donne-- rons ne analyse de cetté lectnre dans notre prochaine fenille. ced e ul s ht PV Sn rmnno-, hommes, femmies, o.n'\'l-nll. viel-- lards frappés, foulés auz pieds ; les vases l.r: sout nnvhfld-, Dargent Io'al bijous tombent aux . m ins des Cosuques les plus avides mais jo .Ih'lrrfl-: i1 est des r.fne- 3uo tm plume se réfuse & dberiro. Les sol-- late ont reuni lears prisonniets an milieu de la nef, :ukfon?"n so vrnfipwmcm w leurs maris, urs ree, on les repousse, on leur rend une liberté dont elies ne venlent pas; elles se retirent onfin &puisées, san-- gllnln, les vétements on lambeaux. . Les ommes sont emmenés par petits groupes jnaqn'd la citadelle, le k:l-[dtmchumm J C-n-n les insultent et les frappent encore. Le 24 octobre dernier c'est--h Jim uelques jours aprés ces horreurs le gdugral Lmr;m était rappelé 6t le ghnéral Soukoranett ap-- pelé par le tbiégrache accourait & Varsovie pour ?y remplacer. . I1 annonca son artivée dans cette. ville par une de ces scénes i-- Torins.Comagie ot Fainrquime yeupwint ue ot ase galopaient A Povtour de -'nlblo découverie st enle -- :fl sicoupe de lances lon.chapeaus ot iox mela de ceux qui.ne sajumient pas asser ¥ite. vfl'u on o: Staiont los affairos en Po-- logne il y a quelques mors. t o e tmys decins parcouraient lagfoule soulageant de leur mieux ceux gne la faim et la lassitude accablaient. Enfin aux premidres houres du matin : les Lr'illo- et les portes de chene cédérent sons coups redoublés, et une masse. effrénce se rua dans _le sanciuaire le fusil & la maing ,Pinjure ot le blasphéme & Ia bouche. Llh;p;'umu-vou, pros de 2000 negdnsaes n dien nsl . hetbulissas ioi e ty avec «es thndbies odmyulu; la faim ot la soif ajoutaient leurs tourmeuts & toutes ces horreurs. Dans la Cathédrale on alluma des cierges sur F'autel et autour du Catafalque. Ces tentures noires, cette funébre décoration donnaient & cette scéne an ureet encore plus lugubre et toute ceite foule en deuil, pdle, inquiéte, semblait dans cette nef & pei-- no éclairée une assemblée des ler chrétiens se cachant pour enterrer leurs morts et croy-- ant--entendre & tout 'instant retentir le pas des cohortes de Dioclétien. Co fut vers le soir que les soldats regurent 'ordre d'en finir Iis commencérent & ébranler les portes a coups de crosses. Pendant ce temps .les mnl[;»emux chantaient dea tzmnc- et pri-- aient. Les femmes brisées de fatigue a'6-- taient étendues aur des tapis. Quelquos mé-- u10L 00 _ ERERCY Cemeph € @ne injure, donner un coup, puis repartant gour Jlar }nppu voler et injurier plus loin. "était hideux. Les soldats étaient lancés en avant, on leur avait donné carte blancfie, sauf les coups de feu qui étaient défendus. Tous les soldats coursient les rues sans qu'un officier les commandit : i!s etaient li-- vrés & leur inatinct brutal. . Quel aspect pour une capitale ne retentissant que des vociférations des bourreaux et des plaintes des vietimes! Doux Eglises cernées pur ies troupes et grh de 4000 personnes enferm¢es depuis 10 heures du matin et frémiscant aux burlemens sinistres et aux menaces de mort que profere derriéreles portes une soldateaque avide de eang ot d"r'"lp. La nuit venait vages ivres, altéres et de pillage. Ih':onni-nl au lnvt:r:nrgues. hurlfnl, in-- juriant, frappant & coups de fouet les fem-- mes e( les enfants, ne s'aridtant ue pour piller, déchirer un vétement de dewil, jetter une in,',un; douner un coup, puis repartaut la Cathédrafe M'v. Benjamin officiait pon-- tiflcalement. . C'était surtout dans cette Eglise que ia foule s'était" portée, toutes les olasses du la société y étaient représeniées, quand Poffice fut terminé, Passistance toute eutiére entonns le Boze cos Polske... Dés lo commencement de la cérémonie des offi-- 1oinn et des sons--officiers & cheval étaient portés prés des Eglises. Aussitot que les ohante retentisent; des courriers partirent dans toutes les directions et quelques ins-- tauts apros, les Cosaques et les Tcherkesses accoururent au z:'hp et Pinfunterie au pas gymmastique. églises furent cernéen et ceux l}ui se présentmient pour entrer furect saisis frappés et menés & la Citadelle. Ces fmits se passaient en méme temps d la Ca-- thédrale et aux autres Eglises de la ville. A la Cathédrale toutes les issues étaient gar-- dées et il ne fallait pas songer & fuir. . Aiors commenga cette louzue cuptivité de plus de 20 heures. Pendaut que plusieurs mil-- liers de citoyens étaient ainsi retenus pri-- souniers les troupes, les Co--aques surtout, balayaient comme un ouragan, les rues et les places publiques. . Co n'etaient plus les soldats d'une nation civilisée mais des san-- MPporiérent . le 'recit de ucuvelles . hor-- réurs et je ne puis mivux terminer ceite soi ree qu'en vous en donnant une couste analy-- 80. Le géueral Lainbert francais Porigine et de nom, mais dout ie corps et P'Ame sont vendus au despote Russe peut révendiquer Phooneur d'avoir inaugure un nouveau sup-- plice & Varsovie : l'muniwliun de la priere, le lundi 14 octobre ia prociamation de 16-- tut de Sigge fut lancée contre in ville ; mal-- gré oela mucun contre--ordre ne fot donne r le service commémoratif de In mort de E::oiuko, et dés lo matin les magasins fer-- més et In foute qui se dirigeait vers les Egli-- ses étaient de sire indices que toute la po-- pulation avait répondu & Pappel. L s ser-- vices fundbres commencerent & 10 heures & Vierge an pied de laquerlp plusieurs person -- ues se réumissaient le soir pour. chauics I'hymane favori : Boze cat Polske, Dicu protége la 'Pologne. Ces provocations ces imsultes An spntiment religicux se multiplient tous les jours et muntien: ia mise en @uvre d'un sysiéme caloul6 pour pousser le peuple aux extémi is. um;m nest pus morte lant gue nous vivrofs wiles sontyles premidies pa-- tolesd'an chant trés populaite compose pur le goucral Dunho-.!il: les Russes Pout: tra-- veati et chantent : Les Polonais ue sont pas morts mais uous le« twerons. . Les cousnicts asrivés de Pologne il y a 14 mois nous insi quun colonci de regiment Russe avait uny?:u;'-m.:ku -:::n'- J::;undiunrl-(:udh, Jarise Russe de plunohg-i_n_-_b'un une staiue de la tions coutinuelies ufin de porter le peuple a des viclences at da se greraingi Fucom c:-_d'o{ucog'h'nfib:;whn_iflu. Cent DasSudt RT 4 MMS 0o uitf ',_-'._.:.':.'1.:::. agte ; mmesremoue. Whitme Arnifont o saued prar ui: !f,'" .h_a les agorites Russes des vers-- bayonneties Inisaien de sanglantes trouges : hee thersile heutinimen 4o ate uh c femmes sgenouilices ut les éccasmiont sous lwurs sabots. ? de m.': Pure trogesomnn ea tur slle." Yous 10 fan depoome 'ane oo tails hideux qui I'accompaguaient S.'.;.- w l- ut, # ia nu' cxm '- cav «t : povelitinr s on vearr So: --rmgl .+. 44 wie.-- ied matin 31 Janyier 1863, "--ll'y a doux An'l..,ll.nfl. Hmex it a'établit an w :ro::- n.rillel de la téte du lac & la Truite." Abim&dh~withe Courage que tous let hardiw pionniers de nos townships; il était' d --le fois cultiva-- teur eth&hm hmm re qualité, #'établit fine tribut de sanvage da voidmage." T a un an il se maria, et la femme nq in partager la fortune de son mari 1¥ 'Le grand concert de la Socié-- to St. George doit avoir lien le 10 du. mais )rmin.- The > «pfograntime promet beancoup. --I"honorable M. Galt vient de doter le collége St. Frangois, a Rich-- fmowd;~--d'vme--somine --de $400 qui devra étre employée a aider. Ie:'ttu- diants de thérite qui se trouverafent. dans le besoin. --<Le Mercury annoice que des arrangemens ont été--pris pour éta-- blir un . bureau de télégraphe . dans Penceinte léegislative. --Nous avons regu la livraison de Janvier de cette intéressante publi-- cation appelée Les Soirées Ganadien-- nes--qui contient un magnifiq#e pe tit poéme par Adolphe (de , Puibus-- que, -- intitulé Stadacona," ;et le commencement d'une étude dé# mceurs canadiennes par M. J. C. Taché. L'Hon. M. J. 0. Bureau a accep té le portefeuille du Secrétaire--Pro-- vincial. IZ" Des courses auront lisu an Male--Eind mereredi le 4 février. meurer en ville?--allez vous reposer au Bile--End, & 'hotel ".Iframlyall." I¥" Etes--vous fatigues de de-- meurer en ville ?--allez vous reposer Les membres de Ia commission des b&tigses d'Ottawn ont laissé cette ville hier tionde I¥" Sa Grandeur M§; a laiis6 cette ville jeudi. ; doit visiter les miaginna do n n oC 20 NO Ee Do diomine oo venty aussi les impies ? de meme que Pon ne sau-- rait dire les tressmillements qui firent vibrer tous les ccours lorsque le Pape, aprés avoir devoilé tes tenébreux projets des encemis do PEglise, #'éorin en tendant les bras vors Passemblée : Mais vous étes {d, mes enfants. et vaus éloignerez les suppots de Penfer .. . . .. Vous leur direz : Fous mires pas jusqu'au Saint--Pore : Larmée francaise conservera longtemps le souvenir et Uimpression de cette heureu-- se journee. > gue ces paroles ont produite . sur Pesprit de 'K{MA les officiots frangaiss . Le stint--Pére était visiblement emu, ot son émotion était largement partagée par ses auditears. . Un officier me racontait qu'il était impossible de peindre Paccent plein'de dignité, de bon-- t6 du Souverain Poutife, la mujsté et la douceut de s0n--revard. in irigteasa at Dasn» Mode eoo o nCt de sont eceur doraqu*i! prononga ces p Et pourquct ne mest--il pas donné de Eukn Mnsd T 1! serait diflrcirle,]jn;-n;(': le correspondant de Rome du Journal dey Vills et des Cam-- pagnes, de vous dire l'impreuion__pqum!a Les yeux tournés vers io cie}, js vous bé-- nie au nom de Dieu le Pére tout--puissant, au nom de Jésus--Christ, dont 1*Egline ce-- lébre avjouru'hni la féte. Je vous benis au nom du Saint-- Esprit. Je vous bénis enfin au nom de Ja ainte Vierge Marie pres de lagn?eile f'intercede pour qu?elle vous obtienne _ toutes . les gra-- ces et les favenrs divines." ENT * EEAEATENOTEAnmmdmi i hi 2 Le sainte Eeriture nous wpprend | que le #aint patriache Jacob lutia toute une nuit contre un adversaire incounu saus panvoir le vainere. . Le jour vena, i reconuut cue c'était on ange. I1 s'écria alos : * Oh ! mon ange, je ne vous lMiche pas que vous ne m'ayez béni." Non dimittam te misi beaidizeria miki. Que la mispricorde de Diew, qui est gran-- de, leur dessille les yeux et leut fasse con naitre qu'ils combatient, . eux aussi, contre des anges qui ne desirent que leur bonheur, qui maspirent qu'd les voir marcher dans les voies du bien ! Je bénis toute --la l"rlwo,r votre patrie, vos familles vos amis, Pépiscopat, le cler-- vé, tous les millions de buns calhnliw'uu de Franee et de Punivers entier qoi m'ont témoigué tant vénération et tant dévouement dans mes améres tribolations. Oui, je benis tous les citoyens du monde. Ei pourquor no m'est--il pas donné de benir aussi les impies !.....[D'autres vr-- sions portent : Mais ')onrqum ne pas bénir mO'me les im|:'ies et les . révolutionnaires?..) Lube (rancaidd B# wliustre par son cou-- ot par ses succés; mais sa plus grande z-u,p puis yous To dire, ia missionque vieeise ""Zi&':.z&}'.,"" d vicain de Jisu m % tout indigne que je Biot ut en, |0eou|n Ia place en ce monde--et de ie de-- fendre cuutre les eunemis de Dicu. _ Soyez done bénis ! Je suis contetit de pouvoir vous donner, en ce jour, mia bénediction. Je bénis votre empereur.--Jo bénis |'impératrige.--Je bé-- nis toute la famille impériale et. surtout le jeuue prince anguel je. suis tout -- particulié~ rement attaché par un hen spirituel. Dieu, Vorequ'il a crée la terre ot las mere, a dit aox flots impertuenx de POcéan: Yous irez Jusqu'ici, mais pas au--deld. Cest IM votre 'thissiang mes ml:::. »Wiue crca oi pour empéche¢ qu@ les hommes in pies, en-- nemis . de I'Fqflw, qui elnptil.'zcul les saints évéeques et les prétres daus toute 'lta-- lie, qui jettent sor le pavé des rues, iuns le d'namum le plus affreax, de saints religienx et religieuses dont la vie ctuit consactée an nervice du Seigueur, n'arilent pas plus loins Vous Jeur dites : Vous n'irez pas jusywau St. Pére! Christ, mais qui voudraient le priver de tout pouvoir -riliwqi--vondr'um faire, les mal-- deureux ! la cn!('unlo de je ne sais quel ro-- Vume impossible, . Non, cely ns »era pas. ous éles Fi, mes enfwiits, 'ef vous ewigue-- tez les suppdts de Penfer. destinge, de wiita' é -Y tug 4n -bt flonolr;l: 'hf:fil-u i l,"w% vi embgumée du rang des martyrs, »a »ctifiée l:.hn cendres de tant de saints et dout dee mes pervers--qui ) n'uitaguer que le pooveir l_cmpn_um de J:::.-- Je suis inds--senmble aus vour gue M. be To es hnd tance qui mo pormut «o dire & Farmée fran gaise que je la remercie de is maniére dont elle mgit pres de. ma porsoune. Were le juut de de Wao, k e dont Hannee Poccupation se trouy eavers sa personue raciée ; Pere le o cette ville jeudi. MgrGuignes visiter les missions du diocése. Cest vous, deseniabte, dui garidesa Soupcon de Menrtre: | | ; Demain auralien la bénédic a nouvelle église d'Aylmer, son--regard, la tristesso et 'amour prononga ces purolres dOttawa bomnftt BP 1w edty jgaaiane To i m X: intule mom it potiliie que malgré ma pefite bravoure, mon courage me laisse, car il n'est pas -n-q-o.h:-.,;"{\t\)d. Voild deux Tois que jenvisage la mort, et je frémis encore, J'ai ton-- jours devant moi 1i du cham e ty j'étais entouré de i et es sis, ob j'étaisa ooté d'an n dommgh ooo Eiligns lotrin ane bom/ : on ddrawan me covterty hoX ie on ant ma td doux bal-- les sont tombées A mes. pieds; E- avaient été tirges lore:--de= notre re-- traite et l"Spaisseur de cuir de, I'ha-- vresac et de la couverte m'ont sans doute sauvé la vie. Des officiers sont partis, ayant ob~ tenu, nous disnit--on, un ennqt'd_'nb- sence, mais la vérité est qu'oh; Jp8 renvoyait a cause de lour |:flmu sar'les soldats; 7 primer a temps--cette révolte contre 'autorite. s a = Lo en (ett'y A ces mouvements d'dne importance ma-- jeure il faut ajoutér Dentreprise dirigée, con-- tre Galveston: et. Pautres expéditions der moindre importance le long des cotes et dans |'Arkansas. Extraits d'une -- En méme tem 8, le géuétal Banks et 'a-- miral Parragut «Eviv«nllélra & Pexavre de-- yant Port Hudson, et Pexpédion de Vieks® burg va étre reeommeneée sur une plus lar-- ze échelle, par une armée composé d'au moins l00,080 soldats de I'Ouest, sous les ordres immédiats du général Grant. Pistfboihinmt U DT Dans le Tennessee oriental, lanfslrnt livrera bintot bataille & Rosencranz: II n'ost pas croyable que le confédéré ait amené avec lui 30,000 hommes de renforts, comme on I'a dit, par un chemin de . fer récemmeny endomagé par Carier : mais, tgoi q9il en soit il doit avoir regu de M. Davis Portre péremptoire de deloger les féderaux, s'il le pout tu Tennessee central. cruche sans anse L'excuse nmtextion. --Le fameox Lully, entendant dans une église de Paris un air dopéra qu'il avait, et guquel on avail ajuste des poroles latines, dit tont haut: * O mon Dieu ! je vous en demando pardon, je ne Pavais pas fait pour vous." J'ai nsdiste aux ddi-nie}{: Br'u_pd' La orvoug.----M*** di:m; Wun sot sut le-- quel il n'y avait 'pas' de prise : C'ast une Nn ennih Lacoxisis oo marbcut oz saxe.--bhe maréchal do Saxe meitait queique fois beau-- coup de incouisme dans sa correspoudauce militaire ; en voici un exemple : Poor eaga-- ger le margais de Courtivron & contenit, aveo six cents hommes, quatre mille Croates 'sa~ fermés dans une forteresse de--la Bob&mey'il se contenta de lui écrire : " A Phomine de ccur eourtes paroles: qu'on se baie, «irrive."" M 2E M. Propitonace s mar, mommé.--Prod-- homme, procureur, fit une démarche un peu contraire d la piobité ; M. Le Camus, lieu-- tenant eivil, lui dit : * Prudhomme,ou chan> * gez de nom, ou changez de condvite." d AMmison. -- Ni $lar %6. taient reventis. arvey ' été asassiné vi la disparution du pe-- it sauvage. T fut suivit u6e deshitheute Pb ds hicte oat Ird cet évéenement le beau--frere arrivait r voir sa soeur. . En entrant dans cu:bbnno il la trouva mourante de faim et de donieur; a ses cotés gissait d' up enfant vou rde froid : R"c.un e'eulflnn%" ln que le lendemain d# Noé!* Harvey :n.':nnfuilu;ufit'-pu. e cursion de chasse assurant & sa fem-- me qu'i} serait de retour vers midi, fraits d'une lettre regue d'un Canadie n Frangiis\, soldat danyP'armce du hénnc. " L'namus »forent Nouvelles des Etats--Unis hs les bois. l' derni¢re fois femme était alors ANECDOTES. . _ Armée du Potomac, Camp prés de Falmouth médecin disait n par inuncjenids neude 408 vern's Wroants "Thm. w boln, j m-@"u t'de hl-v-ur.'.,. .: L"'_fl_'m:-- ferme contre ailt plas bonocs ot plos faite Pog lo: mettant en main C Eeun tontberbres mi las oidres poriseizent vite==Trie vitayrbpondit Péraule def.s md-- NCY WOE TT pibilihd ie htiniace ds stt Tires.. Napolbon Ill ayant «demand& m 44r Lo chijelain de Ferrigres as , veti n hm io on bronnfad frtiine me prownt infngure de Jn darte publignp... Go-- lrnx:: relus6 de Inisser coter & in Bourse de Pari I'mm gouver-- nement italion. !..gu celui--oi l.aq 'l' 1 h? une avange il~ I:m- Tl.mfiild a e'q-m?.l plyl-rlln prochnin anmesas d aca e tt L Mn adal d 9y t Pmd dans "In m' ie d: chemins de for napolitain't, d piet . Bastogyi ost ve-- nu'l.;i offrir aprés au'p', et le ."'-;"on ""K:: telus6 de Inisser coter & ia Bourse de i I'mw gouver-- nement italion. selnizal wulks 42 ues Ld 2 mmlinuxohsin-nta wa ot an au pilocige de te nourban m La maison Rothschild a refusé de d dnn-'n';:z-'-_'_'h Mus6 de prendro, i V OOOEDN Serdhicaicbal piubiosts deahs." J 'fz"'u.'."n meriibure pout Pimpression. 'L'emplorde ccus neure, pour impression. L'ewzploi de cett [@pinoto dane Pindusmnc pmiait so wot d-l"ll;ho'. On donpte di Li e es D Nourzav rarred. 41M *THibune de Chica go est imprimée sur on nouvean gonre do papier dans in composition duquel eatrent Pb t on t 7 1:{;6&&@-»,& part empereor, qui a planta --Un ami arrivé récemment de Toronto nous dit «it enferidé diré sbficuscihent par Pun des plus anciens et des plus respeota-- bles citoyens de cette ville, 1-' de magnifi-- ues fraises araient 416 oueillies le 17 on lo ?8 du courant anx environs de la métropole Haut--Canadienine.--Nous livrons lo fait aox Cotimetitair®d® de " nds lectcors, le défaut Inwew c mesmee on NUZ [6efeors, Te baril , Lundi matin, M6.de New-- Fork a découverte qu'un ble de soieties et autres articles, ;$20,000, avait 616 commis dans la\ lente an dé-- triment de MM. M ie., rue Chnr{. Lse articles volés ofi 416 recourrés par la goliee, moins les voleuts qui n'ont pu encore tre lpgrihen{"'. _ s -- --A Chatieston.1&ifeur we vend #46 1. du Col ky. --Le magnifique American M, war chu}a:Ni:guu est devenu, 18 6. conrant, in proje des flammes ! Mpuodnpaneete ualités do','rl' 0t e qrinump- de la vio." mn | gllg' de fou le sénateut. Benton ot ied e ternip i en o pah it --Le Maire de Québec, M. ost par. ti de Québes pour i'Eurapé, vml,mm mission donfruonur, an nom du Conseil de ville, une adresse de fehcitation au Prince de Galles & Foccasion de son prochain ma-- riage. --Le nombre de maisons construites du-- rant les sept d erniers annéesy-- & Montréal so répartit comme suit, pour chaque annee : Axnges. Maramce --Des billets contrefaits de $5 et $10 de la Bangue de Montréal sont] en cireulation & Toronto. . On les dit trés--bien exécutés sur beau papier blane, mais--les .mots 5. Concor-- dia Salus".sur la viguette du cété gauche ont étéoubliés. M o d s o etmen o neraiys 000 a .£60,000. Des propositions & ce sujet ont 6té reques d'Angleterre, et il parait que le Maitre général des Postes est en voie de prendre de nouveaux arrangements avec la com-- pagnie. --On dit que la compaguie des va-- peurs océaniques de Montréal a offert de reduire le,subside qu'ele; regoit pou r~|c transport desmatlesdé £104,-- --Nousapprenons avec plaisir que M. J. A. Dorion, de St. Oars a été admis, le.20 courant, par la Cham-- bre des Notaires du District du Ri-- chelieu, d la pratique du Notariat, aprés un brillant examen. Nous lui souhaitonsluccéa.--(LOrdn) Nous cée de Bull Run, les lante tailles d'A:tiehm ef de 'fii' burg, san compter les r escarmouches ou nous perdons jours begycoup d'hopmmes. Quarhers--genérauz, armée du Po-- tomac, 26 janv.--Ce matin, le géné-- tal Burnside: a is le commande-- ment de l'nrméewn Potomac an ge-- néral Hooker. Secoen s ifi sns 1861 1862 F 0 AEmeomp SETT TPCTD dans quelques moige. -- -- Aprés toutes nos défaites et nos jo ~qui a croine prorin ns en cone e faire bien des efforts pour trouver de 1859 ayons a peine donné notre Ame & Dieu et pensé & une vie meilleure si nous succombong le lendemain, que la paupigre se a... --malgré nous. Les Yankees, eux"fie pensent ou'a * On no protre qu'aux riches, is date A Jogtttidive Aicke love oo Ement» car une graiide parte d« La prigre du matin ge6 peut "" fond a sn ooob Pn A pjemitihow * dans un hopital qui regorge déja de maladen, e 2i (ot on erdige ie ve" meur 1' o ""N'-t.. m ::om-r-l:.. 'l'bt taille. Je dois vous a,.'-;:: menge 4 6tre fatigne de ln o La® Coeee S Reaeee mm lesjours & prendre notre revenche, elrlh-lne.)ivod.krhufin. dit--on, l'ordre de marcher A V'eang-- mi, Quolmln'&dfld.c't-.ov vement? Je ne veux rien prédire, mais nous n'eapérons point victoings "que, $S iR n lc ) (Len soldats dn Sud se hat tv:nmwnnfi..?kf. dois ajouter que la balle de Tenne-- ;nisunowuwm les Canadieus, car olle les. menage. soutenu par l'espérance. Mort, tout :'.'3'5':.'."."'.-'!"" enfermé , «a scour. femme donée des plus belles 1ova ie e e one I Quartiers--généraus Richard 8. Jooob, député do Kentuc-- voyons par les journaox que Mada-- Saits RBibets Total oye ) canon). On s'attend tous Eooo Pgey 0,. chemins de for est rendue pour chaque annee : Maisons, le New-- York a rable de soietios $20,000, avait b'dnnh au dé-- ie., rue Cherry. pensent qu'a 40u8 .@voug lantes ba-- tou-- du

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