\, ; MB# EDDMI0®s p'ovtaovai. % 0 tiin 3 ».'pihamn lo Journal de Québéc & comun ln publication :d'uno,86-- 3; ': dont nons serons hu'- " c o Nh . mutre. .Comme ces dunh.vi:::nt die.bonine source et qu'siles sont four-- par un homme qui a vi-- on diffor circonstances nos »pmablics, nous croyons faire «Al y .a encore un puissant 'motif pourle, colon désireux de s'établir sur--mne terre, do s'y porter sans délai: afin.de profiter avaut que le spécula~ tenur, le commergant s'on empare, dos bois de.service, qui existent sur tous les points ef dont la destruction par 'le comtnerce sera nndinml;v.éniont in pas encore dans beaucou :&m .De l'onoonnpmnn': «&\ la manufacture des alcalis ) un,'excellent effet. dane les ob abondent les bois france. de ces sels fonrnirait a;flu «moyene de vivre en dé-- ' @a.terre. ot. on augmentant tous Jea:ans sa culture. + L ure des alcalis a encore . avant tr8s --important en . ce qu an cdlon de Nouvrage flrlm terrain pour lui ot ses enfants, .. Bile lo tient chez luiA sur-- h nfimflh'n travaux. agri--| le met & l'abridu besoin d'al-- | 'dans lég chaftiers, on | wont Pengagé se démora--| 4 en revient paurre comme au | L#entretion de certaines routes dans ) localitée on le nombre de g est encore peu considérable, wertainement trop onéreux s'il :al'fli:: emiérenlzont & l;m- charge ie ; mais il existe de dee tfl?fi de'ohumm, mninmnx::: ou~ verts depuis plusieurs années, dans M'MH&& ol la population est as-- #es. considérable pour. les réparer, sans antre assistance que leur bon vouloir et le désir unanime d'en ren: dre la.circulation facile dans toutes saisons et cette obligation. devrait dtze de rigneur. , "L'intention du ?uvememnnt étant de rendre accossibles en tout : temps W proprés a la dolonieation, il 'me suffit pas pour parvenit & cette Ifi;noir ouvert de bons chemins ; il fant encore pourvoir & leur entre * Les prétendus : fanx raj rts pro-- nl inspirer l6 d&%mont »l'q": de ceux (:qui itent m valoir par coux qui en jouis-- ne sont qu'un futile prétexto :' homme quirprojette a'établit IF whe' terre nouvelle 'ot en opérer lés défrichements afin d'g assurer son avenit' examine préalabloment par ane vhfl:'.ll nature du sol on il sait fill g' concessions & faire, : Dds se convaine faciloment: sans considération aux mauvais bruits que pénvent faire citculer ceux--ld sur Jn 2ulh' du terrain et il n'hésitera 'so fixer sur ces débouchés yai m\ Wu communications avec centres de population gii avoisi~ et les obligations auxquelles on t les prenants sur ces terres sout moins rigourenses 2ne les termes ahi' sont posés & Pacquéreur & prix ue ;fi focalités par fois moins fa-- __ Aarsque l on volt & avee t_ ; or _'f'_,* les 'colons dans e de POrtawa et see b l e l bons s qoi bordent : 166 chenxi -M:rbdm- lntion 6t coux que fait ourrir le gou-- verpenmient, actuellement ; on 'se sent f Wallte porté & croire que ce no sont «is' Te# cc <quil & n co-- Doffenti 4d los 3 :}T ~comimiin rntfqnh uns plus: échelle. to p, sons d' m cireonstances, . non e-- de profiter: de cetté d déja si es nos uk re, mais anoonlde Nactiver, .MT.\.!' tout Pencou ment dout go:::momont pentgw- r' @t gomune il . a déjd 6t6, dit," @fait de colonisation et dagtricul-- ture,, il a'y sma de sacrifice; tout ent judicienx est un gain. ; pensons aussi que ce systame il' pis. gratuits (/ree prmug dont pratiqne n'est u'encore qu'a m, nonobngnt L manui'lle d:- et Peffet pernicienx ?ue quel-- quesipersonnes croient devoir le tax-- er get 'bien plutot trés recommanda~ ble: 6t (susceptible »d'un effet salu-- taire 'aur 1'établissement de nouvel~ le# 'localités rurales' au sein de" hos imnienses towmships. dag k \ L1 .. _ (Suble at fim.) Lorsque l'on voit ceperigant mous du sol pour le colo-- urs en reproduisant de 06 travail. dans is Canada |> °. a dit dans re. © avoir on frandes ow AZCEERUIICR, €L.at 00' Tes aus ; étunt | gi pou la vérité, il est facile !50 prédire temps | d'avance le résultat de ses travaux. iation, I?:llnt de 1'a smnco de Pédifice i 0""0 du Parlement, ilp it : 3 l Un aussi vaste espace, fait en entre mud:unu::.n terre, ies [ iMn' qzi::a:n.l ue denx eb to fors le rez» s dans 3Mhmnh.';:»'i. d';:u 1 a une hauteur re do | suffisante pour un étage." W . rable, | _ I! @'agit du palais du Parlement. ix #'il [ Or, la hauteur des murs & partir du harge | plancher du rez--de--chanisée est do 45 andes | pieds. . Le plancher du rez--de--chaus-- nt ou--| sée n'est pas enfoncé dans la terre, dans | il est au contraire audessus du hivéan st as-- | du sol 6t la hautour de cet étage ést parer, | de 13 pieds, les denx nntm"fign r bon| sont de 17 pieds chacun. M. Des-- i ren; | saulles n'a vnjne deux ' dtages on outes | comptant le rez--de--chanssée ; et, pour vrait rrunver davantage qn'il est logicien, 1 a trouvé que Je res--de--chausaée motif| était assez élevé. Mais'ilne s'cat pas un nacaaly dpaut e e . u s rocimcle on ow Notea son plus-- grand cheval do bataille. _ Lon sait, ainsi que nous Favons dit plus haut, noql Dessaulles a été obligé . de r&truur cette .colom-- M. Dessaulles a un regard degé-- ant et évidemment tout se rapetisse sous sa vae. », Mais voici une autre conséquence dé-- eastrouse de |'incompétence des architectes et de la frando des contracteurs 'qni creu-- :bnl 16 sol pour lo sout plaisit de oréer das pout admeattse -xergu quo si un rez--de--chaussée do 18 pieds est assez élevé, les denx éta-- gos supérieurs doivent ' l'étre anssi quand ils ont chacun 17--pieds de han-- teur, et que Pédifice entior a une él6-- vation anffisante. .& Bi la commission suit} M. Dessaulles, et ai o!lfil B'il t'wzvnlur ces autres meser-- tions gur le caractore de colle--ci, on aura &rhimmem une triste idée de la véracité de l'écrivain, de Phomme qui affirme s'dtre reudu sur les 1 pour mieux apprécier et" pour d vé:;lté au pays, . ; «e Nous'n'hésitons pas & dire qu'il daia Jes u:h &lilwu;l.u'u de ';)m p{od: «de murs de refond qui supportent les murs de briquo, dans los btages supgrieurs ds colombages des maisons urdinaires; ces murs : hr:.qu sout de 8 pouces & un pied d'epais ur Lo croiriez--vous, lecteurs, i\ n'y a iza 720 pieds de mur do cette espéce, Dessaulles a done inventé les 19,-- 280 an giodl! _Bil l' valuer cos autros msser-- Bi. es excavations se sont faites dans un terrain aussi impénétrable, W le Pays .et in (l:ommiuit;l: u. uvernement, . se plaignent-- es n feune llee sont de la nature nt pale M. Dessaullos, : elles n'ont yuét%. suthi-- samment payées. Le . lecteur /. voudra remarquer. que nous raisonnons , logiquement, d'apréed les faits avancés. par le Pays et non.d'aprés nos propres assertions. M., Dessaulles no, s'apercevant . pas, sans doute, qu'il faisait un arguinent idlutmu&unu; mais co n'est pas notre faute & nous s'il oublie qu'il lui faut avoir de la logique lors mome qu'il netdit pas la vég". % ~*Tous coux c v.-;-"r-; "'f"".":"" btait . trds.dur et que. lo ) umm;muu de 2 pouses d in m' Voiln o# gue l'on le a6 mauvaie lomlnpowunds-im. |_ Est--ce qu'il se trouverait quelqu'un dusses insensé bitir sur is terre un édifice ansai et anssi mo-- nlmq?li en les fondations sans '#'assurer d'abord si le sous--sol est anssi .dur 311- l surface ? Peut-- dtre qu'avant d'arriver au roe on au-- rait trouvé, ~comme on . l'a % parties de terrain trde molles. est done celni qui, en batissant pour Ini.une maison J. remidre classe, vouldt onwuttui:og- murs sur ls terre ou sur du gravier dur, . sans sa-- voir jusqu'd queile profondeut ce gra vier se. trouve ? yrand nowbre dPondrens. Las boormes more :l'nnb.hvu les terres ex~ tmites des fondations, demnontrent que 18 on iL o'y a pae deroc, on trouve un tof utremé i U 14 donpetiies plawns reode?90}, parsli--iI n saulles sur les excavations, qui cou . lusicurs . arpents d'zundlu, c que sur un caillou, rond somme le sont d':gua. les tailloux, mais que, lai, s vu carré ! reusoment pour lui, il toute is théorie de M. Dcs-- hge e traces de mais ronds. ou de 16e 4u--, i6 fournaliers "lnntn-m' telles que le posage dos elochettes, les ouvra-- ges da plombiers, ie posage des : tu-- paux & gat, le peinturage ot le vi-- \ ox 30 artisans et jour-- }m t la smison 6t chaque ouvrier" @mployt ' aura <besoin,-- on moyeune, do Paide d'un journalier 'mhth.ph do ces opérations. ng'up(.:htlomh- Pouvri-- ore i nous avons : tree ouvrages qu'il--faudra faire an tout des oh-(nlmhn Une .grand __®* It ~ faudra viagt--cin us pandant une p'viodo'::llg -.m:.. pour compléter cette partie des che-- minces qui so trouve entre --le Pl.- fond et le toit, et les 'voutes & Pair chaud dans 16 bassement qui sont tout ce qu'il y a d'incomplet en fait d'ouvrages en briques. On esti-- me que dix douvreurs en ardvise oom;)hmt la . couverture des toits en 19 semaines, et ot it faut huit ferblantiers pendant toute la saison pour couvrir de métal la par-- tie plate du toit ot pour tous les au-- it pripeet n mdenan for a ra .dix uin Paptnal t lo mm paue ix) * Les vestibules tux'princip.l- entrées exilpront quelqnes ouvriers additionnels; mais il n'y. a rign. en rapport aveo leur construction . qui puisse justifier la. pensée que: cette opération retarderait l'achévement du tout de quelquemani¢re, ot réel-- lement, il sont aunombre de ces cas fortuits auxquels on pout pourvotr' par un redoubloment d'effort. '«Vingt charpentier et vingt me-- nuisiers compléteraient, avec --Paide des moyens :c séchage, de la méca-- nique, et de engin qui son mainte-- ment gur le terrain et en bon ordre, les ouv en bois de lintérieur ?ui nn:'ggl beaucoup avancés, in aible '»rtie du toit qui reste & ache-- ver t les filets entre les soliveaux en fer, et des planchers pour mevoir' le ciment nécessaire anx ouvrages a Véprouve du feu. _ T faudrait envi-- ron 60 journaliers pour grépmr le eimo'nt et le mettre en,place. _ La tour contiendra, quand elle sera finie, environ 1200 toises de pietre ; et lesmurs auront cing pieds dé-- paissenr ; et ils ne seront certaine ment pas trop épais si Pon prend en ligne de compte la bauteur de la tour, le poids de son couronnement et Pébranlement augiel -- 'assujettira le carillonnerfibht des cloches, * Mais . Dessaules a des notions plus exac-- que tout cela,sur Part dr constrai« , car i1 a déja fait des écluses et des moulins & platre. Bonlm%mnn- rque un peu de précision calculs, et sur une quantité da toises, il ne fuit que la lég&re t do 920 toises. Artisans, oto Forblentiors | Mais ce n'est pas tout. En diant qu'il ne faudrait que 280 toises de pietre pour élever la tour & 160 pieds, il a -- commis une erreur de calcul capable de faire rire aux éclats es enfauts 'd'école, car, pour fare cette tour aves 280 toises, cette tour de 30 glodn de dinmétre et de 180 pieds délévation, il faudrait ne don-- ner an mur que 15 pouces d'épai-- seur. | Tinagines --done, lecteursy un pareil chiteau 'de cartes avec ' des dimensions aussi énormes, destiné & contenir un carillon de cloches et recouvert d'un toit de fer de 80 ton-- neaux do pesanteur. M. Bourgeault |'s done mal ren-- seigné, puimqu'il. commet . d'aussi grossidres erreurs. .. in s Ti n'y a pus doux piliers, . muis if o d.l:& h-'vdu' nmh: sans compter dohtourqnim).:ls'ht-dohr- gour sur une épaissour it pieds, et que 1'3!--911', le grand archi-- tecte, voudrait laisser sans hpmuu. De plus, is tmasse dont il ost raverses par un conduit & air . qui, dans tous les cas, surait exigé de 'chaque--60té, un mur de quatre pieds. ' 4i taut encore ajouter . an vide, an gentre de i.tour, une superticie delQ pieds carrés remplie de ciment (con-- aréte,) lequel reconyre i; conduit a sir. ..Cetté masse n'u pas 12 ou 14 pieds, mais l:né:ment xlpufidod»(;;' paissour, et ux .. pi nt bdse suivant lui, n'nbl:ut::nh que gix toises chacune, en. prendrait: an toins neut, selou ses propres calonis, ue sutant. d 'errouss de mota L..'.'Ef.'.'f!!'.!' nh': sur 22, mais nont pas 5 pie Pu Pleds us detagiddt Pauvre M. Dessaniles! vide mitriur de is tour T --". _ Y ' ,-I:q-uh-u&-u- wour de 6 '"W-,nh_u-'---w prode de _.:'--M pus conteuir plus de 200 tisas -uq--m:uouf @2 dooble au wruae £ presque in quaotiié, woyou a 80.dans tous les sens : .. _ _ Les piliers, qui ont is forme octo M" fH - de 12 ;? LJ Feraibet on aloohe eb uols wie in tpers d A xi t aminied cié PAFtuitement sultisuate 1 Peurgen; cet eaorae bis us udautant:d'erreurs que de mots Total Edifices Publics. TRADUIE p® "L'ymiow." uter le méme »nombre on ardoise & cour qui devront (sutre. ) pas 5 pieds, mais bien as,duuer is puur soulstis : nde; Pun, irr.ifl;i;i,'uvn;;m:;n'r;- naliste 6t comme ayant déjlnfi: senté les intéréts de notre ville :'w-m. t de plus yonrhnvou' on circonstances, de son journal ot umms::,r 1.3:: :h?t des intéréts do nos compatri-- Ne Mr. Fol ue o:-: Wu-hn m l 30 mt h ¢ n'avooat éiminent ot capable, ne lai seront pas dos plos favorables Si chacun des contribuables veut z'lc:gzmr A.frire son dovoir dans les ons qhise présentent, et faire choix d-({;ndidnulu plus dignes de persuadés que, nous ne nous trouve rons ni dang la position de Prescott on de H.milu";"mh si nous davons demourera Vétat de statu gue comme Tm Mank qn wo pin uin n n'est point sour ml-nfiah downom":pd senter dignement. La question est r-- Anx blcnial- dmndm Nous publions u'aur los réquisi-- tione ad électeurs de cette ville a EFnoI ot Fellowes, les priant de ) présenter comme mm.l a in nurk pour | Fannée 1863--Cee Messiours sont bien con-- Le temps des élections approche, et les oonrr.ibnlblq doivent s'empres-- ser de considérer quels sont les cito-- -- Le rapport du Comité des Finances de la Corporation de notre ville, éta-- blit que les taxes ont été fixées & trois chelins et denx deniers et demi dans le louis.. Cette taxe dans un temps comme gelui--ci, est passablement oné-- reuse, niais elle n'est cependant pas Fimpot ordinaire. -- Le &:':ité fait de plus rapport, qu'un ecédent de deux chelins et deux deniers et dewmi, est nécessaire afin de rencontrer les récla-- mations --mises entre les mains du Shérif, faisant en tout cing chelins et six deniers dans le louis, que les con-- tri})nsblu agront & payer. C .du parlement. ont été mig faite-- m'on':'i l'abrides effets de l::rftem- pérature, ce qui est une preuve, comme l'indiquent du reste tous s travaux oxlwut&w le con-- ,'no,mw, n 'caractore" mi" ifique _ ¢ conomique -- de ' .capstruction. . . » Nous avons la oonfinn;:d q'ue cet ex sinrple> et sans au-- ra l'Mo illlxltnliner un grand nombre d'idées erronnées qui ont 6té dues sarm--eette question délie'z: 4 ** Nous devons remettre & un au-- tre numéro une évaluation du coit des batisses .du_ Parlement, mais nous saisirons l'occasion-- la plus rochaine possible pour la mattre gennt lesapeux de nos lecteurs, En méme tem nous estun plaitit de p:'omohuer que, grfe:nd Bh:}:ile énergid 'de P'ingénieur en chef du département des Trayaux Publics: (John Page, . écuyer), les gdificel' des départements et coux --_**Nous avons mille raisons de croi-- re que l'administration, en nom-- mant la commission, n'avait su cal-- oulé le temps qu'il faudrait & celle-- ci pour remplir sa thche ; mais il est peut--otre mieux qu'un examen complet est lieu, pour permettre au pubfic de former un jugement sain sur toute la question. La CerPoration et in Mairie * Nous avons maintenant fourni ce ?un nous croyons étre une bonne évaluation de ce que sers le coft de ces édifices départementaux quand ils seront compléetés, et nous atten-- dons le rapport de la commission, cdnvaineus que quelque forme gqu'il moe, rien ne pout militer contre F;;ponnnité de procéder immédia-- ment aux travaux nécessaires pour rendre les batiments capables d'étre oeouEéec avant la fin de lannée prochaine.,, -- \ §179. 0 ropdepiindiia® mirls. se # m_bit se persuader que toutes ll::t- et h':uda mb*do la i une re de I'Ohio, le fer, le plomb, P:e': etc., sont rendus sur le terrain, ain-- si que le matériel et les échafauda-- ges. Ces items fourniront aussi les moyens d'activer |'ouvrage si cest nécessaire. NEDWn ou en chiffre ronds $240, 000, repré-- sentant toute le ,lomm_o nécessaire pour compléter les édifices consa-- crés aux mhn-' en accor-- daot, a ls , une grande marge poar les ¢as fortuits, et le temps en-- tre l:\l-l mars et le 15 novembre. dents, ciment verrerie, ar-- doise, Jaties, tor, ato ... . . .. o . >' THRRPRE NKE Aity ) i7+--> thesscccmmass A yus maycune de $3 barjour. : . . { svone un excellent moyen de cons-- later; :n é & ln position rela-- !i'pdua: ifiees viga--ris le gou-- retentcn g.'.fi:::.:: me névessaire pour les comp! -- ter. tout 248. ** .' i8 -- & _ 4. Npintentitt on Savoir 198 oavriers 0t artisans 12 surveillants, 200 jours & Pierve de 1'Ohio. D Op oue tere rByuis pour qui se présente, posées sut ce qui fermit gp 210 jours, petit capital en attentant & Poovertare dune terre, et son impuissance nous le ramdn« rait & Jn ville md-'e-il-'.d-y-- nfihfiu:fi fortune dont it 6tait na~ gudre [..voris6, la vignenr at in santd, Bienheureux, mille fois heureux, Phomme rh-hnhflpfighuflm cette i lni donnent acode l'm: Toue lex corpe politiqnes, in presse entiére ot Padaninista-- T n eaxoiaitans. . de la réconnais vous méritez sous ce ra $ J 1 le plu vif comme le plus t x. we Ma cela, par votre coopération vous contribaes biew d"'pbn en encog-- rageant ieation, mm-nm cate» worle qoi "te te pas moi':: sous tous les rapports Partention et égatds des amis du peuple ; s'il nous faut des cultivatenrs i la campagne, il nous faut a «ans low villes, dee bras habiles et on de manier ln truelle, le marteas--eto., et ne nons faat--ih pae des artisans en tous gon-- eiggine mhiinpae on re , mest--i and i« dent qu'il doit étre onmm'v-riv, mécani-- 2"' nmduriol nwmommf ot l:: -'- vrm c6 me somble dépeupler les vil-- h-p-':-pbrh campagne ; chose d'ail-- lears. sorait bien puisgue 'l'i-'iv':-. -in:-u- fere tempe & '::h, .;"a W \Pun mé«. quelqongue, n tout au défrichement Pune h-:'u -lm in foret, ot ost homme, an liea d'étre 'utile a im-- mdme et & ln société dans les townships, deviendrait plutét un fardean, en ce qu'ii irait comme cela s'est vu lnn:i..-u see bras, wa constitation, quelques fois on joli nications que vous uisez chaque se-- "muim du?- u-m me fonr:l?n--nl In preuve que ses aolomg sont ouvertes & tous les sujets qui ont tra'tau bonhear et au bien étre c'u compatriote?: de coux suriont quiv'en o nt dignes j tous égards. t Infw:':ham'r: de la colonisation ; vulu-Qh-olom s ludmdomw iareex wogh, ePifbront iiyiime teax -nfi, \ prosélytisme i..conx' gui. en' in e mt -- Dim-- portahee, et qui en m recueillir le fetki 3«:01"0':«!- digne & tous s des justes bloges que F'on vous prodi-- o k_Lommllmw,un at qui ne wont gu'an faible La nature des matidres que vous traiter fi_limrinlmal,mlo de toutes les commu-- --Un correspondant du Zeraid de Montréal dit que les Torontoniens sont généralement sous Timpression que leur ville va posséder le sitge du gonvomamewnt jles quatre an-- nées prochsimes. Les loyers ont haussés de 20 pour cent. L'f{on. M. McDonald y a loné une maison pour transporter sa famille qui a .eonjonrsl p 'au-- ?m: la campagne jusqu'an --Il y a eu samedi soir vers minuit et demi une éclipse totale de la lune ui a été visible dans toute Pétendue Jee Etats-- Ux;is.le ?ew--York on a constaté que la ; to n'a dis-- para eoml:)lém:flx maie a pP:senté une surface sans rayonnement et res-- semblant par sa colloration & un dis-- que de cnivre. ' L'Arabia parti de Liverpool le 30 est arrivé. Les nouvelles qu'il appor-- te sont sans importance. qLe mouve-- ment en faveur de lacandidature du Prince Alfred continuait en Gréce. n MIRINAE Snd a in arbnii hA 9 8 fut submergé avant qu'aucune assis-- tance put lui étre donnée. M. Brown, le propriétaire de -- l'établissement, était dans Pappartement contign ; il entendit des plaintes et il entra pré-- cipitamment de Pantre coté, ou il trouva l'infortuné disparaissant sous le liquide bonillant d'on i1 le tira pree-- que immédiatement par un bras et on le transporta & sa résidence rue Dal ol tous r; soins lui furent prodifind par le Dr. Grant. -- Aprés avoir hor~ riblement souffert pendant prés de deux henres, le panvre infortuné viel-- lard expira, laissant une femme et quatre enfants pour déplorer sa perte. s u8 P oo mtc Pendant qu'il était enfingé & quel-- qu'occnpati(?n dans Pétal liuemgnt a cette heure avancée dnjour, il tomba dans une 'zraude chaudiére & potasse, 2mplied eau a Pétit d'ébullition et y e adp e e td ' CORRESPONDANCGE Monsnere, Trasrs Acoment.--Veudredi der-- nier, vers six heures et demie P. M. Henry Farrar, agé de 70 ans, ein-- ployé & la maanfacture de savons et chandelles de M. Brown, rue York, trouva la mort dans un accident, du eal:ct.é)re le plus épouvantable. A M. ie Rédacteur du Courrier 5. Chanson Comique® 6. Morceau par in Ba 7. Chant Montagnard 8. Gregoire Drame 9. Chant Montagnard pridbaspe mieg aik o o a qy a Mss seroies aar "he en est prié d'assister & M des luqtmud. t seul l': vau 5'! dcntrce. drame--comiqve regoire yzm:: d'étre des plus u; ,"w, t, usera urtuumon GRANDE sOIREE musicate Morceau Chasse & INSTITUT CANADPIES, (GuuepzEpr 17 nécennee 1862) Morceau joué par in bunde Rideau No. 3 Comuge 'ou verre pius. bas mne Fon verrs pins. bas par le PROGRAMME s LA sommEe. sd Ottawa Mgr. d'Ouiawa m'whm!-'u-m --«~.--(ebant) Chour de in 0(20 t C euks o ds Damey ind .. Chosur de la rame Com |.: a-u::-:' d'a:-'. ied Chasar de la . Cathédrale -l":, dfi;;; trmt@iy,? 'tious ot --vous itfteistb.cment gou-- t demearez au pays, 4 pen-- | JRetranger,.restez et soyex temoms dey ou-- bvi-- | trages U --. dee _ injustites _ quon cani-- | vouh.fait cha@ue jopr ? Non jou \wi la gerti-- 25 conts. nh--q-dluflnu Tout & vous biew respectuensement. S"il devait en Junvier prochain, se faire un recensement dans notre ville, ie résultat démontrerait d'une maniore Stonnanté; un Afrenr déficit -*:m,..,. ereis Aando PBOWs Toh m 10th wan por 4 pn--"'uulhll".nnqr" Croivgement est dd an total d'gecu» Ponvrior, mlh cher ls ==:- \n salmre ,fl-m" ceur gu'ile ot mérte loi on remots vile classe d'avantariers, de leurs bords pros-- enis, gui Vienment iti hous contester nos m ks oo mt ty ) | gies par le lnn? de nos fréres, pour la plu-- i | part unis par le désespoir et in triste per-- . | spective que leur présente e sol qui les a ; | ru naitre, au basard dee armes américai Malgré tout cela en wentend qu#tn c | aime partout, dane tous ler quartie Im | ville, c'est calui du découragement, dé-- | got, quingpirent 1Phabitation de notréiterre | hospitaliere." Les amis se rencontrent; se consultent sur leurs projets future et réci-- proques ;.la réponse mutuélle est ahol : on se prépare roor w'en aller aux his, on est da'om du pays, on forme is qui stentcaident mutuellement pour mr le depart et rnunuivm le 'Yoyage jusiques daus lee localités qui, d#ici promettent 'da-- vautage ; et w'il n'est pris des mésures offi-- caces, si cette vieille routine de favoritisme, nest bientét réformée, les villes, les vilias ges cahadiens, ne seront plus dans quelques annees,' qu?on --large w dans le-- quel on n'putendta que le des écus sta-- guanants, dont 'Ja purssance, bien que ma-- gique ne trouvera pas d'écho, et ils no so-- rout ?ln- qu'un embarras aux possosrours qui s*efferceront en vain de Jes échanger contre les nombreux besoing 1Ii se font sen~ tir dans Pexistence du riche. 11 se verra for-- 06 de se mettre Ini--mérme & I'euvre, ot opé« tet les divers travaux que la onpidité ot Pura rice Ini empéchent aujourd®hui, de confier & ceux qui nhndn:fl'nn bescins de !a. Pecdant qduc des miffiere d'ouvtiets, :i"ln- dustriele, de toute es , languissent dans le désouvrement au E:n.uh, on voitchaque jour des étrangers arriver du vienx continent, chargés de lettres de recomatandat n# j la |. pitié '.l Jn soummission peintes sur ure, «t le ufup ue (ot. ie se dans la I-nx:n:lq c porte des bureaux publics, des di de I-lmi:gmkn et autres, 0d il kemblait | it Alparbihies itmibnis in Cest en vain que nous déplorerony le movvement de . Pémigration canadienne ; la politique, la presse haranguera inutile. ment Partisan etc., sur . son pertchant & fuir le sol canadiew ; elles prouvent ebaque jour étre impuissantes: dans leurs efforts. . Mal-- gré les tronbies et Pagitation qus régnent en ce temps aux Eull-lili!; nonobstant toutes les représentations, qui pourraient n'étre pas #ans loudemnent, que des hommes «ages et expérimentéy font ehaquejour au peuple par la voie de la prevs@y ne voit--on pas Pémi-- gration prendre encure son élan et récom-- mencer & l'.uhm:unar vers ces régions rou-- eluarsade sedeane un iean TT D Ces hommes ne sont i! avssi chers au pays ? sont--ils. moins BJSI.; et moing dé~ youér & la patrie que ceux cités plus haut ? ne devrions--nous pas aussi établir quelques mésures protectrices pour les retenir luu leurs foyers, chercher & utiliser leors: ser-- viced, et s'aesurer de leur précieux concours parmi nous ? J classe ?um:olu. ne devone noqu»u nous in-- quicter de Pavenit de Partisany da» madou-- vre;de cet autre qui se trouve daus lu néces-- sité de metire son éducation, see connaissan-- ces commerciales etc., & contribution pour y trouver sa subsistance. C pigenter taiil sost Das axment nutit ar le pionnier tapit soit peu expert qu'il puisse étre, peut l'xlir ln ulourp:'}. I:b- 1ét, il peut determitier le montaut qu'il poor-- mm retirer de la cor pe da bois, lors mémequ'il n'y a pas encore fait setentir le bruit de in co. guée> Douc »ans étre mathématicien, le eo-- lon peut faire le calcut du trésor que ren-- ferm» la forét, et en le--meitant en parallcle 'avee le moutant insignifiant qu'il glengage & 'rembourser pour son lcTn'lillnn. il peut voir en un coup d%il, qu'il ne peut manguer «en retirer un bean bénéfice et qo'il peut 'ronver Ia du pain pour sa famille: -- Ceux lA done n'ont plus & désirer que la santé, ceite autre fortune dont la Providence est 'Ja sau-- vegarde, -- Mais au milien de in félicité que nous fait gobter cet état de choses chez la classe n}m:.ol.. ne devone nous pas noue in-- P a t a Ne tn OCRT omm les premiers benéfices de leurs acquisitions, ceox sur lesquels ils peuvent compter aves certitude pour le mardn. lours entreprises. in en en T is TS Sm e d NP townshipe. CO'v:uun avee les calamités mw:_ * quelques mois =£:flu i_p-.a:.u.;,.inuicu i0ut ont (ofators-- fomom ".:-'n':.l:' -u".a'.-."'.'-a-.u""-_s. 16; ramenant de» freres immigrés ot décabusant ceut qut méditaient auss: d'abandonner lour sol, leur patrie, la terse de nos péres. Sepece Meooe n ietet rogul pramait une on qarves 14 PV Amdenforp eb sns es supposent et qui soot suss ious Em xi f. ce A * pg:-u;g.hhm.i:a-:.. sout péuibles recutilieront « souriront g» 1s prospér $ poer jamais e ' Nfiqdncnil.d'nqaupluml ces a¥antages, ubes, sur areade tohalle w anee fan is Mbaalnd, unt alteint parfaitement le but day inspira-- "-'fimo-iymm-q.q:fi.. maniére que ce soit ; elles on mis un Le:me aumouvement d'émizratigngui se manifestait paiticipanis & wutes ces concessi lee jours (\& preuve, et. croyez--vous M"'.éflmw' !'; celui--lA ay ditre dbtran -- mie sans aut e 6t souvent ception vient Bi wat son aux indigenes.. Voil ce dont on Ce recomntandai El Iiiklr:~ > issipn pomtes sur Miiigure, | J2VARt ) arigaique 'ot , ie :','l,.dn di Shes --Un n ot sutres, on blait | vaicus, . 'l on » mi--li as 1itre n-- C ans au e 6t souvent j , vient Dient@lgrouvst son udte shone, alirtitant de PPaitention dont i &rait Pobjet, 6t parainaant on prois & nao exaits-- tion religiense. ll-n:;hi---w: ='nu. 'hd':.- 'l-.a-'l- encere cher un a n.nu-m*m -:: Un M. G......., de In famille des com-- }:."v;a"&.......'" £ o Te buhotiges gosr Pesends t Phinl io ie athonts is hon hoi oiA Aprnhige pronk .~-- jyile hocg WULp Lo P oo ow 1 & droite eta 4 ont 616 faites. ,(4\(' | #a B C irscoareitiat _. L "Che ['pr w',fif. """".'l': o ot le Prince deP int 616 reguipar. lo Pape en andience monatration politique." La polied etiles co-- en Aichete néraillet 0W in congtesse Kerwooski comme Ayant en toure In signification d'une dé-- --Un home et une femme con-- vaicus, de meurtre aux derniéres v de Belleville, H. C., ont été nés 'A otre 'pendus. --| Une udte de commutation de Poine a adrssée & 'Exécutif qui l'a reje L'exécution aura lieu le 17 --An dire du eorrm&ondnnt de In Gazette, de Montréal 'Hon, T. J. J. Loranger & c@ plaider @3 courant devant J6 @Bnserl Privé. Les guérillas de Morgan ont fait subir un échec aux Fédéraux a Markville. Le nombre des prison~ niers et des blessés n'est pas consi-- dérable. Hakville était une forte position facile a défendre ; aussi les officiers qui. y commandaient sont de mauvaise humeur et accusent de lAcheté une partie 'des suldats fedé-- raux.--Si l'on en croit les dépéches du Nord, lia détresse utgrumnns l'armée confédée. Le soldats qui est soomis a de rudes labeurs, trouve & peine une mauvaise . nourriture, est mal babillé, mal chaussé et sou-- ffre de toutes sortes de privations.-- Les accusations de Pope contre Si-- 3el soulévent une vive indiimfiou lans l'armée qui est attachée auw dernier.--Les généreaux sont, dit on d'opinion qu'il est imposible de li~ vrerune grande bataille, dans la sai~ son rigoureuse oh noussommes. Tous les blessés mourraient de froid. --On écrit do Rothe an Monde Un M. C..._.' 0 L paits > W'Adtriche a amnistié tons nPiget,ey on mt 6# legifea®xle Varsovie parient des fo-- Qve Dieu vous bénisse et vous conserve Mou bon Monsieut,cest in toute !a récom-- pense que jo peu vous offrir pour vos bien-- veillants services en | reproduisant mes jus tes plaintes. _ do}ei (mor Monsiear, bien qu' malheureux. 9 i esd ui d n e ces oetne Sila voix d'un pauvre meodiant peut trouver un écho dans le cceur des bous Mes-- sleurs qui président aux intéréts do ia ville et de ses citoyens, dites leut done s'il vous plait, que moi aussi je crois étre maintenant an llC'Lllrl @citadins, car mes jambes im-- puissantes . s'affaissent . sous _ |'influence dune affreuse vétusiée et et dune pitoyable décrépitade &t he pourront rlna je le pré-- #age que trop, reporter ma fréle charpente dans le vi'lage d'adoption, et si ce«pratiques qui font le sujet de cette petite plainte se per-- pétuent & Pavenir, j'augure que j'irai bientét dormir sor la cote de Sugbh. dolo o en en e en n enaPe les rues fussent propres et la ciroulation h?uv et agréable ! mais Diew ! n?uvez--vobs done pas de corporation ic: ? on a--t--elle moins de vigilunce qu'ailleurs, pour permettre que les rues soient le dépot de toutes les immondi~ ces et les vidanges de toutes sortesdardures qui sont ailleurs déposées dans des endroits exp'rér afin que les rues en sorent exemptes. 1 s d e étant gelée tond les tipitoirs 'I'u--nh-'n- me une viire el qui sembleut dtre ainsi pré-- 5:16- exprésséement, dans le but de douner Damusetheut avx enfants, cat & chaque pas que j fais, les marmots on essayant leur adm:ic et leur agilté sur les patin®, sescri-- ment & qdi miehx mieux et viennent en toute vitesse & ma rencoutre et ne pouvant les evi-- ter, leur contact me fut déjd plus d'une fois funeste. . Je ne suis pas ingambe et alerte comine aux jours de mon printemps et jo comprends que toute résistance serait super~ Aux et ne poutrail quaggraver le resultat do ma chute; je me laisse alors choir sur ma be-- sace, remerciaut Diea bien sincérement pour les contradictiuns ot les épreuves qu?il lui plait m'envoyer. La epécialite de ma marchandise ne me fait pas craindre qu'slle en soit affec:ée «t quelle en souffre des dommages: mais mes pauvees reins se ressentent bien fort de ces injures, et voila ?u'iluu courbent péniblement sous lo léger fardeau que la charité publique dé-- pose dans mon sac. -- Ab! Monsieur, si vaus saviez comme je re-- grette d'étre venu & la'vilie ob Pillusion me faisait espérer de rétablir ma constitation et mon patrimoine. . J'avais oui dire quil exis-- tait dans les.villes une corporation . qui veillait & ce que tout fut & sa place et que fesquise e ons en etog. Votre trés humble serviteur Prasavir. Ottawa 10 Décembre 1862. Yous vous piquez tant soit pen. de consaitre veire viile d'adoptiony vous ne me désap-- prouveres pas si je wous dis qu'un maihen-- reux vieillard court bien souvent les rixques de se rompre le cou en lougewnt la voie es pigtons qui bordent ies diverses ru--s ce in vile. l- sésidenis tout : iccousidérement et sans prétié pour ces quelques pauvres pié-- tons qu! comme moi ont peine &.se soutenir sur lours jambes, se permettent de jeter toute #spécn d'immondices qui encombrentet obs-- trueut im voie-- etd'y répandre de Peau gai étant gelée tond les tipttoirs glissants com-- SsB au s o TS CHponegt TT Ca o en o je sollicite. ; * Endossé de ma besace e armé de mon biton. .uhhhufi-mbl'ihih'o m'avait doié mes bras, alors qu'ils z.nlon,d vigoureus, me voild dans Oita-- wa accomplissant ma piloyable mussion et demandant Paumdue de porte en porte, et Dien sait si js survirai & inon extreme dé-- adement dont |cffet eat aggravé journelle-- ment par les tribulations que o rencoutre patiout. _ Je ue suis wous vous pi vatre viile d dn uds 'ee anect puinga'elle a fvit comme e. comme m est empartée '-'""-l'u& F-':-l pauvre, indi-- gent, brisé par in vieillesse et recherchaut mon existeuce dans ia bieafaisaute obole que io sollizite. L P en emeringet im t mm rerlr us' d--ws.beuhmiuugd- join aL.d'capé-- rance ia cite considérais comie une """I"-J.': couservani plus de ma ,h'l'_hlhkmq.'g.."_. viep doox M@Gtant lnissé séduite par les avis fallaci-- -l'-«_-l------.uu'-._u...x rr-u-"b quitter le eaje fais habstue!icment élection de domiciie pour venir dans voire ville, renom~ mée pour i itaiité et la bénevolence de hh« ile n'avais pas, j dois ie dire heat 8 daus qaclques heures *!fl.'!&'llfi!fiffiqb jois.@t.dPcaph~ £ S OEemelJ 20Ve piein de faits Bivers. pas pessimiste Monsicur, et si rues en soient exemptes. pauvre mendiant peut qo inconnu et §A 's