'Sat alle n004 patait biew hasirdbe D'aprés ce récit, Pirsue da combat de Co-- rinth n'a tenu qu'un fil. Nous y sopone que les confédérés ont eté pleinement vainqueurs dans in journée da 3, qu'ils. ont poursuivi le lendemain leur avantage jueque dans la soi-- rée et qn'ils n'ont battu en retraite qu'A la derniére extrémité. . Le currespondant do Democrat ne dit méme pas qn'ils se soient retirés précipitamment ou que la moindre confusion ait accompagné lear mouvement rétrograde, Une bataille, sur laquelleon na pas enco-- re de dérails a eu lrea le 9 octobre dans le Kentocky, & quinze milles an Sud--est de Bar datorm, entre les forces de Buell est celles de Brazton Bragg. Des engagements préli-- MARDNDIREPE L cA0ida illidhs tus uhi " <« Parmi les sécessionnistes marquants qni ont peri, on cite le brigadier--general Ro i= gers, de !a Novelle.Orléans, et le brigadier-- genéral Johnson, du Mississippi. . L'enne-- mi était commande par Fan Dorn. Price et Villipigue, avec leurs corps d'armée res-- pootif. _ Nos pertes en officiers sont immen-- #ea: On ne nous a fait que quatre prison-- ie en ons de sanglroid, mais regiments, brigades sur brigades se précipitaient contre eux : ils durent reculer lenterment tout en faisant une résistance desespérée ; les confédéres avant-- gatent avec ohstimation; ils se tormaient sur les flancs et les derriéres des unionistes, i fallut se retirer encore davantage, et on était eu pleine retraite quand la nuit mit fin & la lutte. Les pertes des deux cotés avaient é16 énormes ; lm premiére batterie du Missouri avait perda trois canons ; le général Hackle-- man était tné, le général Oglesby bless6. * Le lendemain vers 4 heores da matin Pennemi se mit a cannonner la ville ; i1 #'ensuivit un duel dartilletie d'ane heure, au bouf duguel deux canons confédéiés avaient été démontés. Peu aprés on prit sept canons aux gens du Sod. Puis un si-- lence effrayant. Evidemment, _ Pennemi préparait un grand mouvement. A 10 h, on le découvit qui marchnit rapidement sur la ville, et Pengagement redeviat genéral. Les batteries du Nord décimaient les rangs des cecessionnistes, qui tombaient comma des epis. Le carnage n'arréta pas leur blan ; ils entoncerent . Pinfanterie rum-:-.e: pri-- rent un petit retranchement avec une baite-- rie missourienne. . Tout semblait perdu ; les unioniftes commencaient & étre en proie & la panique, les séparatistes btaient duns les rues de Corinth ; mais de nouvelle® batteries tirerent beureusement sur eux, portérent la mort dans leurs rang et les furcérent & bafre en retraite. . La jonrnée etait sauvée . . @* Dans la matinée du 3, now avant--pos-- tes ont 616 attaqués par Pennemi en force & environ six milles au nord--est de Corinth ; avant neuf heares Penvagement était deve-- nu gdoégral et le sang risselait sur le champ de battaille. Les fédéraux,sous Rosencranz, combattaient avee autant de bravoure que q tss 1 1 . Voici ; d'aprés le Démocrat, jour-- mal de St. Louis, quelques détails sut un combat sanglant livré les 3 et 4 courant a Corinth (Tennessee) : le le Pomman.;yt;rtve;ufi(;; des Fé-- dérauz.--Ordre du jour du général M:Ulelian. Bataille de Corinth.--Bata Te dansle Kentucky.--Le Statu quo ur Jms 0 F . 1 t On annonce comme tres prochain un grand événement littéraire. L'au-- teur de Madume Bovary, Gustave Flaubert, a terminé le nouveau ro-- man auquel depuis plus de six ans il travaillait sans relache. Le monde lettré se préoccupe vivement de la Eublicnion de ce livre, qui sera ientot le bruit général. Il a été, dit--on, acquis par leséditeurs mémes de Mudume Bovary, MM. Michel Lé-- vy freres, au prix de 30,000 fr., quoi-- qui'il ne doive former qu'un senl vo-- lume. Ce roman se passe a Carthage au temps de la seconde guerre pu-- nique: Amilcar en est un des princi-- paux rersonnages, et Phéroine qui s'appelle Sa/ambo donne son nom au roman. La commission d'examen n'avvit ru voulu prononcer -- d'elle--meme 'interdiction du drame de MM. Paul Meurice et Charles Hugo, les Mis/-- rables, qui devait otre joué a l'Ambi-- gu--Comique. Elle avait simplement adressé son rapport & M. le comte Waslewski. J'apprends &A l'instant que M. le ministred'Etat vient d'in-- terdire définitivement la pigce. Son Excellence a en méme temps donné l'ordre & MM. les censeurs de ne laisser passer dans les revues ou pig-- ces de lin d'année aucune allusion aux personnages ou & l'intrigue du roman de Victor Hugo. rethues choses s @crivent en 'plein dix-- neuvigme sigcle, et dans un pays soit disant ami de la France, A défaut d'autres novnelles politi-- ques, voici qnelquei glanures dans le monde de la littérature : Ce qui surprend, @est 'que reilies choses s'écrivent en ple neuvigme sigcle, et dans u: soit disant ami de la France, Ceci n'est pas une remargue ex-- trémement favorable pour 7'em})e- reur, elle dénote un esprit de bonté et d'impartialisé réellement prodigieux. P annalint thindindithisthintak & l?ccrivain anglais s'exprime mani¢ére suivante : " De tous les hommes celui lemoins mérité d'étre blessé es contredit Garibaldi, et cepend: est tombé sous la balle d'un fus en joue par un de ses campatr mais'dont la détente a été virt ment mis on mouvement par lc reur des Frangais." Nouvelles des Etats--Unis Tout est encore dans ls staty & propos du procés de G-ig: dunt !a blessure ne donne plus d'in-- quictudes sérienses. . Le bruit court qu'aussitot aprés son rétablissement il partira pour les Etats--Unis, afin d'uffrir ses services an gouvernement fedéral. Il sera sans doute asser mal régu par les Irlandais du Nau-- veuunfiuudc qui voieut avec raison eu lai Pemnemi a charné du chef de la religion catholique, . A propos de Garibaldi, permettez--moi de tous vra-- duire quelques lignes d'un article pu-- blié par un jourual de Londres qui réprésante la parti radical, sousle titre de: Qui a tirde sur Garibaldi t pD00N0E: 10. 1 Snd a id j O Se C qul & té d'étre blessé est sans ribaldi, et cependant il is la balle d'un fusil inis n de ses campatriotes, détente a été virtuelle mouvement par Fempe-- PHes: de C avec raison : du chef de _ propos de de tous vra-- ae 8 PI- de la avis an propribtaite un journal 5 ~ _ Toutsouscripteur refusant de prendre son journal au bureau de poste, od il lui est adressé, est responsable de abonnement, jus-- qu'au payement des arrérages et ordre de renvoi; renvoyer le journal, ou refuser de le prendie a b':r:ln dopplte n'est p-l'tv'ni que requiert. o A _ 4 © Tout aptscriptear qui chan ge de 2° Tout sovscripteur qui ne transmet pas les arrérages qu'il doit, au moment ou il envoie son ordre de discontinuation, est ex-- posé s recevoir son jonrnal et & payer tous les numéros transmis, jusqu'au payement de tels mé-' rages. _ 1 ° Tout souscripteur qui ne donne pas ordre formel Ze dis-- continuer Venvoi d'un journal estcensé continuer son abonne--, ment. Penneylvanie et celle de l'occupation de Chambersburg et de quelques autres petites villes, le dermer bul-- letin militaire des Etats--Unis ne con-- tient rien qui mérite d'étre mention-- A part la nouvelle d'une pointe de la cavalerie confédérée J;I'Il la CONDAMNE a MoRT.--Le soldat Mawn, de la garnison de Montréal, accusé d'avoir commis un meurtre sur la personne du sergent Quinn il y a deux mois, a été trouvé cou---- pable paa le Jury et condamné pary sentence de la Cour a étre peodu, a Montréal, le 31 de ce mois. Le, meurtrier a entendu avec un calme apparent ; Parrét qui l'a condamné' A mourrir sur 'échafaud Bow »or.--A propos de la grave question «e droit que vient de soulerer, & Montréal, son honneur le juge Mondelet, un Québec-- cois a dit : --Mardi dernier, dans 'aprés--mi-- di, durant le tranquestionnement de M. Semple. le juge Mondelet dit qu'il ne pouvait pas entendre dis-- tinctement l'interpréete de la Cour ni le greffier de la Couronne & cause de leurs moustaches. Une telie pra--. tique a été d'ailleurs abolie dans le Haut--Canada par le chanceiier Van-- koughnet, M. Carter, greffier de la Couronne, dit qu'il parlait toujours distinctement et qu'il ne couperait point ses moustaches. Le juge Mon-- delet répliqua qu'il était mal séant de paraitre en Cour avec barbe et moustaches, et quelors de la réunion des cing juges, ce sujet serait pris en considération. Il ne voulait d'ail-- leurs donner actuellement aucun or-- dre & cet égard. Si le juge l'emporte, sur ce point, combien d'avocats au-- ront & déplorer le sort de leurs moustaches ! (Minerve.) <@ Dorénavant, il n'y avra plor que du monde laid!** * En appelant ainsi Pattention de ceite armée sur les vrais rapports entre les solda s et le gouvernement, le genéral commanda ut imet simplement en garde contre un mal du-- quel i! a paru a propos, dans tout le cours de notre historre, de savver les armées de la républ.que. En agissant ainsi nul hommé d'un esprit droit . ne le considérera comme faisant la moindre réflexion sur la loyaute et la boune conduite qui se sonut si-- glorieu-- sement illustrées sur tant de champs de bataille. En exécutant toute les mesure de politique pubiique, cette armée sern natu-- rellement guidee par les mémes régles de pitié chrétiennes qui ont toujours signal . sa eondvite envers les gens sans. défense, -- 5* La discusion, par les officiers et les s ol dats, des mesures publiques décrétées et-- proclamées per le gouvernement, pour peu qe'elle sorie de Pexpression modéree et res-- pectueuses d'une opinion particuliere, tend grandement & dimiouer et détruire la diei-- pline et Pinfluence et Pefficacité des. trou pes, en substituant Pesprit de faction polit-- que a ce fermy, immuables et urdent es-- prit qui leur fait soutenir . Pautorité du gou-- uernement, ce qui est le premier devoir du sodat améncain. Lo reméde aux erreurs politiques, w'il y en a de commises, doit se trouver uniquement dans Paction du peuple Lci concernant les Journanx e in e e t' républicaines, et doit étre bien comprise et bien . observée . par chaque . soldat. . Le pr ncipe et les objets pour lesquels les ar-- mées svrout employées & suppriiner ln rébel-- lon, doivent étre determines et 'Pruclumh par les auiorites civiles, et le chef de Pexé-- entil, qui est chargé de Padministration des uffaires nationales, est la véritable et uni-- que source qui puisse faire connaitre aux armécs de la nation les vues et les ordras du gouvernement. #*2tmeulé: depuis que iemps, de ma-- uic a tormer un v'um corps d'urmée. En communiquant & ses soidats la proc a maton do 22 Septembre, relative a 'éman-- ©ipalion, 1e commpandaut en chef de I*»:mée du Potomac la accompagnée de Pordre du Mauassas, de Valiée, ils yo altaquer la ca suivant in ry Norfulk Dassss, de is Posinsnle: "--:;--b__(in-: . is yout eesayer 'un't-- at "l"'laupd::\'-_fln_hnnHA Sud en Faits Mivers. 1 peuple QUE L'ON AIT JAMAIS MONTRE EN CETTE VILLE (7°A TRES BON MARCHE. 21 1000 Paires de COUVERTES, blanches ét de eouleur, 1000 Pigces de COTON JAUNE acheté avant la hausse des prix. 250 * SHIRTING BLANC _« _« 6 t 500 «& 6--4 COBOU RGS, depuie 74. 300 «_ _6.4 WINCEYS UNIS ET CAROTTES, depuis 7J} 50 « 7--4 MERINOS FRANGAIS, des)uis 3s. 100 _ Doz _ MOUCHOIRS DE TOILKE, 38. la douzaine. * 250 « COLLETS DE DENTELLES et MOUSSELINE, depuis 2d. clufi;:e. 13 # VOILES de DENTELLE NOIR et de FAN-- TAISIE depuis 4d. 500 Pigces HOYLE, McNAUGHTON, et INDIENNES FRANGAISES a bas prix,--De plus une grande va-- riété d'autres marchandises, choisies avec beancoup de soin, seront vendus & bon marché. Nos Chapeaux et Manteaux 1¥ Le Bureau du Courrier se trouve maintenant Rue Clarence prés de la Rue Dalhousie, & la résidence du_ Rédacteur. Les personnes qui désirent annoncer, ou transiger quelques affaires quelconques sont priées de s'a-- dresser directement an Proprié-- taire--Rédacteur. CUNNINGHAM, BARCLAY & LINDSAY Couc qui nous doivent pour lml semestre ou deuz, doivent mmprem' dre qu'il serait enfin temps qu'ils| se rendissent d nos justes deman " Caisses Ottawa, 16 Oct. 1862 No« abonnés roudront <bien se rappeler qu'il faut se soumettre a nos conditions d'abonnement--yur sont "®*"Pavanues Davance. t tx"~Toute commanication que on nous fera parvenir par la poste, non affranchie, sera refu sée. IMPORTATIONs -- COMSOERATLES TAUTOMME 96 CAISSES ET BALLES mons les cultivateurs que nous prendrons toutes especes de produits, en paiement de leur abonnement. Pour faciliter lo cireula-- ton du Courriee parmi la classe c»gritolc, nous in/'ov-' *":,~THOR. & WM. HUNTON et qui est cause que le jourbal Jui est adressé an bureau de poste, de sa'ci--devant résidence. Jh. ;:Jsrousbhdcl'cuu' fifijo&]' L¥ Now ---.&-,.-hb"' Iii'ifiil.a:mhun-a,l-m'u yuu NOUVELLEMENT OUVERTES ------CONSISTANT Efi-- Riches Soies de fantaisie et noirs glace'es RUBAN®S, FLEURS, VELOURS DE SolEs rous sont dus. NOTUV BAUTBS et_nous invitons les dames et le public en No# ab Chapeaur, AUSSI ATTENDUS ToUus LEs sours Aux Cultivateurs. MOBES PARLSIERKES, de MANTEAUX et CHALES du dernier godt. de CHAPEAUX pour Dames et Enfants _« MANTEAUX de DRAP--4 grand marché. ONT MAINTENANT RECU TOUTES LES E xX A M plus grand assortiment d e LES PLUS RECENTES, EN FATT Di GENERAL DRAPS Manteaux. A VENIR LES sont faits d'apres les dernieres Chates, HUITRES FRAICHES ! !! 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