Le Courrier d'Ottawa, 30 May 1862, p. 2

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: 10« Reconmaissant le caratére f6-- _ _ déral de 'Union et le danger dessa-- N m..htdnchmgulublmd]e _\ agette. nnion, le gouvernement travail-- E\" ~ dera & rémédier anx inconvénients _ _ / qu'on rencontre dans le gouverno _ _ ment du en conflant aux meni-- e °. i mw-t Padministration --_~ sde ohuque. section . respectivement le .\ .. eontrole de . toutes Jes tfi;i:nd'un _ --oaratar local et sectionnel, Padminis-- % ratio entidre se chargeant do _ . #out--o6 qui sera.commun anx doux \<»Nous .somiges disposté iijn t le nouveau iministdre, comme egi't un de nos,confrores par f:j' qn"iil l'ea et mon par.ce qu'a pu. faire jadis tel on tel do 20e ingmbigs. , Pour toute mesnre, utile et h il anra.notre solide appui, aus al il nous rencontrerait sur T brothe, adversaire dmlué',flzonr toute me-- sure. tendant & Paffaiblissement du ou & la dissolution ; de la natio-- m' canadienne. j@vl_;-p;'_r;mma poitiqne de '> Enfint 1# crise ministérielle, est ter tminge; les nouveaux ministres ont Comme l'on peut voir, notre Cor-- poration se trouve dans une im-- _ Les membres de la Corporation ayant consulté Favocat Lewis sur le sujet, ce monsieur opina dans affir« mative, s'appuyantsur I':I-inion dun autre avocat distingué, M. Richards, tout en déclarant cependant guure nouselte élection. ne peut avoir lew en wertu des dispositions du présent acte _ Comment en sortira--t--elle ? Dieu le sait. Les membres de notre Corpora-- tion se sont assemblés lundi dernier. Ils se sont spécialement oco:;rél de la grande question sempiternello--sa-- At _ J, J. 0, Abbott, So.liciiear--Général Les nonveanx Ministres ont proté serment d'office entre les 'mains du Gonverneur--Général, samedi a 1 Le Cabinet MacDonald Sicotte est maintenant complétement organisé, d'aprés in Gasette WolEb les ses-- memibres avec les nomé des divers.départements dont ils sont I*onfinunt chargés : Un 0 0/ davr--camana. x:'lfl- N. J 8. Macdonald, rmnlnr-tu-l- . a M. l. Foley, lulln-'(')'lnlr.l dn' Hies Postes, #*-- W.P. Howland, Misiatre des Finan. T96\ DMW, MeDougall, Commis des: Terres *Thon. M; L. V. 8 cotte woha iféte hier, [I'Ascension] nous a obligé de remettre d an-- jourd'hui la publication de notre it 1 ul d'apros le présent acte mu-- Le noureau Ministere. J, E. Dorion, Redacteur. Le nouveau Ministere, Ottawa, 30 Mai 1862 F. Branturel® James Mortis, Receseur--Général, A. Wisoo. BSolliciteur--Général hbA numil A. Dorion, D. McGee, 2A8--0ANADa« «posséder la conti-- ; de sea représen-- DE VILLE comme ragle gé-- Pm-n;:@h'nl. Secrét.«Provincl.l. Présid. du Conseil, Commiss. des .Tre-- _ _ vaus Publice, _ Burean do 'A griout« ture at de P'lami-- n lacale no se-- on lantre des rince contre le ses nrgtn- ration de cha-- ¥Ottitvs de in Couronne. Pm&' M. Charles Laporte, :lwl Klie Barrette, que |'assembl w ses remerci-- ments aux sortant de charge pour la manidre babile et active :'.ihnt 0'0-,0 dans la célébra-- tion de is f8te St. Jean«Baptiste, P. Favrean, J. G m:-_m -:w-éprl Charle f N:r M. KElie Ba 'assem soe muxom':rm1 pour la manidre babile ProJ-:d par M. Narcisse Parent, secondé par M. Elie Barrette, que MM. Charles Laporte et Edouard Proulx soient élus Officiers--Ordon-- nateurs de la Société St. Jean--Bap-- tiste pour l'anuée courante.--Pasaé. Pro par M. Xavier Groulx, ltoom':bod l)."Dr. L. Duhamel, que lea IJ::n ci--dessous nommés forment le Comité de direction, sa voir: Narcisse Parent, Dr. J. E. Dorion, Elie Barretie, Oym Tri-- olle, J.--B. Parent, Alexis Foisy, G. Demers, L&on Pinard; Sau-- riole, Louis -- Tassé, le Le« clere, M. Fontaine, Cham-- pagne, P. Favrean, J. , C. Pwoné le Dr. L. Duhamel, secondé ptrp.l' Charles Laporte que Romuald 'Lapierre, Eor., soit 1!: Trésorier de la Société St. Jean-- Baptiste pour Pannée courante.-- Proposé hrcr M. E. Barrette, se-- condé par M. Charles Lngortc' que le Dr. i: Dubamel soit élu Secré-- taire--Correspondant de la Société St. Jean--Baptiste pour Pannée cou-- rante.--Passé. Proposé Er, MM. Fontaine, se-- condé par F. Sauriole, que M. A. T. W. Réaume soit élu Seoré-- taire--Archiviste, de la. Société St. Jean--Baptiste pour 'année courante. ProJ)ooé par_M. Xavier Groulx, secondé par M. J. Gauthier, que Alexis Filion, Eer., soit élu 2nd Vice--Président de la Société St. Jean--Baptiste pourl'année courante. Proposé par M. Séraphin Cham-- pagne, ncon?é par M. Charles La-- gorle que Hilaire Pinard, Eeor., soit lu 1er Vice--Président de la Société St. Jean--Baptiste pour F'année cou-- rante.-- Passé. Proposé par M. Alexis Félion, necoml:'s ar M. Narcisse Parent que Isidore B'hampagne. Eer., soit élu Président de In Société St. Jean-- Buptiste pour Paunée courante.-- Passé. A unc assemblée tenue par les membres de la Société St. Jean-- Baptiste, le 25 conrant, il fut : Les brefs d'élection pour la divi-- sion de Montréal--Ouest ont été pu-- bligs hier. La nomination est fixée & jeudi, le 5 juin prochain ; l8 vota-- tion anx 12 et 18. L Hon. M. McGeo n'aura probable-- ment pas d'adversaire, quoique Fon ait parlé ce matin de lui opposer M Ryl'::.r ou Pex--maire M. Rgfn':" $ gn g:; qne f';dlé"nlknar, le'(lléfinté "Hoc a son 6 *Hon. en 'a e Courrier on 'mnrel:lne I'Hon, M. Evanturel sera éln sans oppusition dans le comté de Québec. --Nous avons les livraisons de mai et juin delrmrla Canadien-- mes. Ellés contiennent la sunite de Tintéressante étude de mosurs cana-- diennes do Jean Rivard, par M. Gé-- rin--Lajoie. La Chronicle dit qu'il n'y a ancun «doute que le gouvernement a inten-- 'tion de continuer la vonstruction des édifices d'Ontaouais, et que Penquote «nnoncée ne durera tout au plus que trois semaines ; elle promet méme un vote de crédit pour ces méme édi-- M. Lazure vient de recevoir des hardes faite ainsi que draps, casimires chaussures etc., Il a chez lui un bon tailleur qui est rflt & exécuter tout ouvrage qn'on lui confiers. ;. Campbell et Duffy viennent d'ou-- vrir Wa de groceries et de mare stches dans la Rue Bussex. . I! n'est point nécessaire de recommander au public de les en-- courager, i1 suffit de dire<--* alles voir et juger par yous méme". ._"To, Un systéme de réduction dans Ti nds on ptapoznolhumt & see revenus ; #o. La désision de sa majesté udn an P onvetiniee. o oanntiep on aura lieu sur les batisses d'Ottaws ; anssitot que cette enquéte sera com-- pldte, fl({o teneur des contrats bien déterminée 'de manidre & permettre Jn eontinutlo: de Pouvrage, il noi :1; tem ur 'af-- ieaitnns nin in eadlice to progrds satisfaisant, La St. Jean--Baptiste. ts entre le créancier et le dé et pour protéger les débiteurs bics :d'une manitre économi-- .irkns Cl ol Pise squitabl le de ma-- -'EW' ww # 98 04 s S 7 at::'ni- Pont swit d.-.-im-:- L'A C degp ie :Qim-h.-dnma a'rm' btaire. L'abbé A. Scisson qui : to direotoor #ast retirk de in dn,:-l tion poar causes personnnalien, MM. Murtin Mhflnmmcolle'nn etmoinim':'u mbmd:m -nnpt: sure qui & t rvoir hdlz-uh M--ur -Pn:nn-nn qnnonm-m-' Mnm fnnottiont poltiguie sowe is proter u sous la H_'g.'w;xmdohfidlh si Jooou'&:fit goulement 66 dirigc contre je wen 'exprimerais pus de regrets; mais jappréhende que ce vote wera imoq-? par «heenx--l.-ot ils sont notmbreax--qui gont hostiles aux immqhqupm- dissements ironiques du de Pop-- position Bas--Canadienne.] 'Je sais qne Popposition a le droit de choisir la question sur laquelle le ministore est moins fort afin de l6 renverser, :nni-j:'dolhw qnoeovou;m nv us par ceux quisont h::i?u ':nx Jufl!ntlom d'};n'n? nada ot prin t 'aux Oanadi-- mhlgpnfli.. iNonvunx rires ironi-- gurk 1 090 + ) diminuer Tes reproches 'que Fon fera Bas--Canada, Oapo&n j'ai l :Mhfip"m:'od:'m: diminuer les reproches 'que Pon fera " Le vote de mardi est un coup s6-- rieux, il nous a défait comme aviseurs responsables de Son Excellence ; mais * Je ne puis cependant m'empé-- cher de féliciter mon collegue; le chef pour le Haut--Canada, de co qu'il est tombé entouré d'une majorité de sa section. Le fait que je félicite mon colldgue ne droit pas frire croire a mes anciens amis que je veux les bla-- mer; j'ai déja oxrliqné ma position visavis Wenx. 11 me fait plaisir de voir mon coll@gue, & qui Pon a si souvent rechhé qu'il ne possédait pas la confiance de Ia majorité des membres dans sa section, tomber sur une mesure anssi importante et en-- tourée de gloire--avec nue majorité de 7 du flnmrcundn qui. se scrait élevée & 14 si tous les' membres ous-- sent 6t6 mts. | (Cris de non, non; oul, oul. 5 -- e *"Comme c'est tris probablement lm dernigre fois que mes collignes prennent &lm aux fauteuils ministé-- riels, dit M. Cartier; j'aimerais qu'on me permit d'offrir imnes remerciments aux membres qui m'ont, pendant si lon'ftemp', favoris6 de leur support et de leur conflance dans le cours de ma carridre ministériolle. ~Jenesau-- rais oublier que nous 'avons 6t6 ren-- versés par 'Lo votes d'un certain nombre de ceux qui nous donnuient leur support, mais je ne couserve pas de rancune; tout inembre en:votant pour ou contre le gouvernement ex-- erce un droit qui lui appartient ; mes collégues et moi comme ministres dé-- faite, nous n'avous pas le droit de nous en plaindre. _ © --Le journal 1'Ami de la R¥gion a chan-- ' Ar'r:o les affaires do routine, M. Cartier: demande la gom.hnion d'a-- E)""' cequ'il avait dit la veille que r, Excellence Pavait informé qu'il lui avait pJu d'acepter sa résignation ot celle de ses o:fi[finu et que la for-- mation d'nn nouvelle administration était a se fuire. --Les Dames d'Ottawa ont résolu d'offrir une trompette en argent. a celui des volontaires dg la cupitale, qui montrerait le plus d'habilel.g dans le manieiment des armes. L'Institut Canadien Frangais offre ses plus sincdres remerciments & R. W. Scott, M. P. P. pour Penvoi des 70. ceott, M. E. E, pour Fenvoi des Ra;a)om,et Estimés ae la Province du Canada, ainsi gue d'autres docn-- ments d grande valenr, L'on assure 'que 'Ia veille de la !nndo bataille de Pittsburgh Lan-- ing, Beauregard, et l6 plus grand nombre de see hommes s'agenounil-- lérent, sur le champ dob.niz? firent une pridre en commun, et regnrent la Sainte communion des mains des nombreux aumoniers fournis par la Nofi:::l;n: heureux de ponvoir annoncer & nos lecteurs que ce mon-- sieur continuera & étre cgflsbonunr du on inedit ayant r . titre " Er1soo% ox d."_" d:',:,'h \plume J. N. Roussel Eer. N. P. de 8t André Avellin. _ Nous commencerons la semaine prochaine la publication d'un feville-- ton ingdit ayant. pour . titre " Un *vienmond, -- Nous no :serions regard serait &A guhum arrivée de McClellan & r Ils sont maitres de I'immence vallée de Shomnandosh, et--ils se fortifient & Un article--Ls Pont Rideau wis faute dPespace. * * Discours D'Adieu de L'Hon. Cartier. --La propriété de 1'Amé de lali' gi néle' mequise par M:>Jules MOn, ancien rédacteur do 1' Oni-- Les dernibres nouvelles de in comme feuilletoniste. Tavorabtes au que les avant nulle-- au moment do repiquage. La terre des planches peut--dtre muins légdre que celle des« pots. On met les plantes & huit posese Pune de Pautre; car on se propose de les telever en mottes & Pautomne poor les dis-- tribuer dans don pots séparde,. Cos jeones plantes sont si vigogrenses qu'alloa ne orai-- guent point le froid see de cing on six de Si on a somé trds olmir, on sora soins dans le cas de transplanter de bonre heare ot on aura la facilité d'attendra & une epogae convenable. Le mois d'Aodt est Pepagne erdinaire & laquello on comimence & repi-- quer. On live ie plant de semis, quand il a six on huit feuilles, ot qu'il atteint ta han« teur de trois pouces. / On lo repique dans une planche de terre franche bien amenblic ot fumse Pannés précélante, on terreantée i on seme on pleine terre, volci la mé-- thode. La terre, égali<ée aves soin, doit étre comprimée légerement avee une plan-- che. Sur une surface partaitement unie, i est plus fncile de vo «i les semences sont répandues bien égaiement. -- Elles doivent étre recouvertes d'un demi--pouce seulement de terre tamirée par dessue, comme pour les semis des pots, mais évalisbe aveo le dos du rateaus : On arrose lagérement et & plusiours reprises, pour ¢viter de découtrir les graines et do les dépincer. 'On étend ensuite du paillusson par dessus le sol en-- semencé. pour empdcher la terre de dureir et pour favoriser la germination, qui s'ab-- tient ordinairement au boot de quinze jours. S'il est nécessairo darrosor avant ia germi-- nation, les arrdaements doivent dtre donué« «¥eo un arrosoir & grille percés tr« fin, afin que la chite de Pean ne serre pas trop in anperficie du sol, sur laquelle on aura soin Pétendre um pou da paille menue, pour mo déres mieux Peffet de la chite de Peav. Aussitét qu'on voit la terre soulevde par les wermes, on enléve les pailiassons et on donme au jeane plant un léger bassinage aveo de Peau dégourdie an soleil. Lorsque In plante commence & avoir un pouce de kanteur, on peot, quand il fuit chand, con-- vrir la auperficie de In torre aveo un peo de mousse fine, en observant' que les foulles d'en bas ve scient nullement convertes par la mousse. Cofte petite précantion empé-- ohera in trop grande évaporation de Phumi-- ditd, diminvera Puction trop forte da soleil sar in terte, la plant vigétera plus trangoil-- lement, aveo moins de rapidité, ot prendra plas de corps. ' Pour semer on choisit des pots que Pon remplit do la terre ind'quée, et aprés avoir passé sur les bords un morceau de planche, afin que in taire soit parali¢le anx bords ds pots, on sdme trds clair. . Aveo un tamis & tisau serré, on fait tomber par dessus, & in hnuteur de trois ou quatro liznes, 14 fine fleur de la terre melangée, qu'on aura soin Warroser légérement. Pou de jours aprés, In totalité de Im terre sera tassée, ot Jn cir-- conférence des pots en deborde la hauteur. On seme avec moins de chances de suc-- cés en pleine terre que dans des pots, parce que I'asillet, dans sun premier Age, a besoin «étre preserv6 d'un excés de chaleur ou dhumidité; ce qui est plus facile, lorequ?il est en pots, qu'un peut placer sur couches ou dans le jardin, & Pombre, selou la sainon. teur, de fagon quune culture d'aillets bien dirigée, et au moyen d'une petite serre, peut donmer -- des produits fleuris toute Pannée. : On séme en avril sur couches chandes et sous chdssis; mais aprés le mois de Mai, on peot semer en plein air. Les semis penvent étre retardés, au gré de Phortical~ ' ne faut pas oublier de mdler au terreau une certaine quantité de terre franche bien ta-- misée et proportionnée au besoin. Si in terrg est trop perméable, 'évaporation est trop forte, twilement que si on n'a pas at-- tention d'arroser une ou / plusieurs fois dans !a journée, tout est fand, grillé et perdn, vuna now grandes chaleurs. L'évaporation sera.wu raison de ln chalenr. \ 'i- des viedx peupliers est excellente, & couse de sa legdreté et de son amas de tarre végétale on humus. . S on léve la premidre couche gazounée d'une ancienne prairie, on mura une terre & peu pres semblable, womposée de débris de végétaux. Toute espéce de feuilles réduites en terreau par Ia pourriture sont excellentes, en exceptant orpendant celles des noyers, des chéues et des arbres ou arbusies qui renferment un privcipe astringent. Le fomiet de vache biviconsomin fournit un bon terreau. 11 La terre pour les semis d'aillets est Ia ferre francbe, ou la terre de broyere, Pune ut Puutre mélées avec partie égale de bon 1erreau. . On prépare le mélange bien incor-- poié plusieurs mois uvant de s'en servir. En Angleterre, on compose la terre & aillet« de trois pariies de fumier de cheval trds consommé, deux parties de terre franche normale ct une purtie de eable fin. La terre & bed oidinnire, argilo--siliceuse, facile a diviser, est trds conveuable & la végétation dee @il uts. -- Lo terreau peut dtre pris dans les vielles couches épuisées des melon«. '..n terre que l'on trouve dans les trous pour-- Dans les pays oi Pautomne ext froid et humide, l1 graine, m@re en apparence, n'est pas toujours féconde, et trés souvent elle ne léve point. O siwa ds proteroise los n 'On séme de préférence @illets semsi~ bhsarres--few. Les meilleures graines sout celles que Pou 1bcolte soi--m@me, et qi.'on sémie de suite, quoique plusicurs personnes prétendent gu'il vaille mieux les tirer de in Belgiqoe, on la cultare est supbrieure saus daute ; mais a graine da véentable aillet flamand vaut un frane 4a graine. On tre In graine des @illcts simp'es ow semi--doubles, Les doubles donnent qualquetois de in graine fertile, mais' onlinairement 1a graine des dloubles no germe print. -- La yrai Het conserve p'usicuss unubes se« :!" minatives, pourru qu'un ia tienne des flacons bien Lonohés. f M-fi-&hbdh par quaire moyens, par le somis, in 'marcale; par 1e boatare ot par is grefle. . A 0: D#Mts--Pour entratenir sa collection h""-."lm,i'bu in ieimicem n uin sn issent les eonditions exighes pour entrer dans une' collection d'amateur, valeot mioux que les boutures et I--l dites ; ils sout moins uojets I dbsénérer. T _ B £5 On aitribue » premiers procédés de l"'fi'%.""; i de au commence-- ::ll.'-iauorbb.u Provence, es France, se consoies, par in culture des hfl*mh-'-'p Ce prince paralt dire le promier qoi Pait cultivé avee ur les semis d'cillets est in ou la terre de broyere, Pune ées avec partie égale de bon prépare le mélange bien incor-- 3(» Los aillets--commencent & élancer leurs dards on tiges on Mai. © Cest ioi I*épeque on commencent réalloment les granda tra-- vans da flearisto. 81 plusisure tiges #"bik-- vent du méme pied, celle : du : miliew demando & étre conserrée ;ot les : antres sappriméve. A merure qad in principa's tyge s'6idve, elle poosse de petites tiges ln~ leore, afin qu'elles produisent plus d'affet. Les gradins eont communément placés as nord, on tout au plus tournés . vers io: soleil levant, ot recouverts par des planches on par des toiles, afin de conserver les feurs pius longtemps ot de les garantir du soleii ot des pluies excessives, qui les foot pous-- ser trop vho. Pour prévenir --In chfte des pots par des coups de vent, il est bon d'as-- sujéter chaque rangée de pots aa moyen de cercles on fil de for peints on vert 0t adaptés & in planche qui racines, 6t Im fleur ost moins bello, Les di-- men«ions les plus convenablea pour les pots sont de dix pouces de diamdtre & PoriGice eupétieur, de six de diamétre & la . base et de huit de hauteur. I1 vest micut aves que les pots no soient pas vernissés on pein-- A mesure que les @illets feurissent, on p-ml.pu-ul.cnih-d-lh-ph..-' &tro, at le fleuristecherche & assortir los cou» cipelument & la Beaucoup d'amateurs compromettent lour collection d'aillets en ne leur. donnant que des pots trop petite. Ces pot«, sar les gra-- ding et dressoirs oi on les: di«pose, pandant im floraison, font, il est 'vrai, un meilionr effet que autres plus grands, parce qu'il potage ; puis on remplit lee vides, on répan-- dant de la terre newvé autour et en pressant légérement. II ne faut pas oublier que dans de grands | ferment do pots la plante s'amuse, ell6 a beaucoup de| pas, «i on terre, autour de la motte; on place ensuite an fond du pot assexz de terre & aillet, pour que® la motte, replacée sans étre briske, affieure le bord da pot, comme avant le dé-- son existence, il a pu . avoir cing ou six @illets nouveaux ; mais i a ou tous les ans de centaines de beaux csill<ts appartenaut anx variétés déj\ connnes. L'6poque !a plus convenable pour le rem-- polage annuel est vers le 15 Avril. Pour rempoter les willets, on les enléve avec la motte, en ayant soin de ne pas détacher la terre adhérente aux principales racines. . 'On doit, dans ce but, saisir pour cette opération «lélicate, le moment oi ia terre des pots est au dézré convenable de consistence, plutét trop séche que trop mouili¢e. . Tandis qu'on tient la motte dans une position renver=6e, on détache légérement, en frottant avec. ia lame d'un coutean, une petite épaissour de. on ne lui donnera d'eau, durant cette eaison, | que la quantité absolument necessaire pour Perapécher de se dessécher entidrement. II no faut jamais submerger Ia terre dos pots méme pendant les chaleurs. -- II faut seule-- ment la raftaichir. L*humidité produirait Ia moissure. Au retour du printemps, on se botnera & enlever les feuilles pourries, & donner de frequents binages avec précaution, dés qu'on s'apergoit que les plantes commencent & pousser, jusqu'd la fleur, qui--a lieu au com-- mencement de juillet. ~Nom seulement on repiqhe les @illets semés &n pleine terre, mais méme . les cillets: semés on pots sont souvent repiqués, pendant la belle. saison, en pleine terre, avant leur premidre floraison, qui a liea ordinairement au bout d'un an ré-- volu. On ne met alors en pots & Pautomne qne les plantes qui ont donné des fleurs dignes de figurer dans la collection ; les at-- tres serviront & orner les platebandes du par terre. Onobtient trds difficilement par. les semis des variétés rée!lement nouvelles, L/amateur qui s'est livté toute sa vie d cette culture est heureux, loreque. dans le cours de En hiver, il faut tenir les pots préa dos fo nétres pendant le jour, dans des apparte-- ment bien a6r68, ' On leur doune Pair et le soleil tant que Pon pout, quand la tempéra-- ture est assez douce, et on les met dehors aussitot que possible. Quand les asillets ne sont pas en plein air, ils boudent. La végétation de l'@illet étant complétement interrompue pendant Phiver, 'udonn du sol, afin d'empécher que les vers ne péodtrent par les trous desiinés & laisser couler Peau superfiue. . Si les pluies sont trop abondantes, il est & craindre que In rouille ne s*btablisse d la base des feuilles, et no gagne peu--&--peo jurqu'au collet des racines. On courrira dono ces pots au be-- soin, ou on les conchera pendant quelque temps, aprés avolifisssujeti ia couche supé-- rieure de la terre par une pression. -- Il faut ensuite la biner, pour la rendro meuble. ' faite, Lo point easentigl ost l-ju:. plantes aient le tempe de uggu et de se charger do racines q-b-n- avant Phiver. -- Arroser, saroler, biner, piocheter le sol de temps & autre, tels sn 105 seuls noine . qu'elies 'exigent jusqu'aax grands froide. sont arrivés, on lévera le plast ane segoude fois pour io replanter dans ds pots sbparés, qu'on rentrers dase une sarre froide, on dans des appartements bion segs JB bien nérés. 11 no faut rentrer tes pots (n&. ta dernidre extrémité, les préserver : sertout: do Phomi-- dité, qui, pou: les ailiets oxt mortelle. . 'Ce n'est pas aux branches, qu'on s*apercoit que is plante est morte, mais & ia racine, qui. quelquefois, est entibrement pourrie ot dé-- sorganisge, tandis que les branches semblent étro encore & I'btat normal. Les pots d'asil= lets demandent & étre expoés & un libre courant d'air. 8i on les place prés d'un mur, les plantes w'allongent et se joitent du céte dioh vient le courant d'air. . On fera trés bion d'exhausser les uns et les autres oi couvert, !s reprise sera plus assurée. Si le ciel est clair ot sersin, in chalous forie, il fast: couvvie chaque --plante--par sn pot venversé, on par do larges feuilies, que Fon ealevera, dés que le soleil swra couché. et ainsi pendant plusicurs jeurs de suite, jus-- q0*A ce que is reprise 4: in plante soit par-- ¥40 y uB Le choix du jour planter n'est point jndifbrent. m.;"' ..z sooffient tovjouts un pea de leur ment. 8i Poo pourait \btionts semer & aura soin, en les coursant, de lour ménager mais il vaut mieux avoir dgard prin-- édistement de gelées, Comme el '&"uru"nfi les o'il en supports le gradin supé-- soit, si le temps ost pluvieus Lo Chronicle nous donne les renseigne-- -.-i:'- sur bl.ntui'n- nor-- -*h danois arrivis a jours en Mrn woae m gables des agents du gourersament en Eo-- "Tas vyout a'établir dans les ¥irem donares 564 Tc ( 912 nge: ie etoned k e ragmniie «m que 13. y-u.!: des astres nlost lectours ot lectrices, que .non--sajet est épui~ #6. -- Prenons un pou haleine 1 Au revoir an prochain numéro du Courrier. d' Oftews !..... pais an is petits calices," qul reus lu-.vn':':('lw,lnn. Si on no les fend pas, si on i6 les ourre pas ct sion no les supprime pas, catte partie de la flour avorte. «C'était peortant de ce centre que devan pars tir une folis houppe de fouilles. l faut de Padreste et de im patience, jorequ'on en~ ldve des calices partiels; mais on est bien dédimmagé de ses peines, lorsque Popera-- ttot ost faite & temps. -- Plus on differe cette shppression, et moins les pétales grandis-- 'sent. Si Popération a rbussi, on aura sou-- vent das asillets rnonstrmecx dont !a corol's présentera un diamdtro magniGique de quatre: pooves at do tootss souleurs sp:endides. | Je vous laisso, on sais «Or, on extase 6t -mm-.illn.-udl{ fh 1.....Mair, n'allez :pas croire, airmablbs Apres cette opération, il en reste fne se-- coode ; c'est Parrangement aymérique des pétales et sans confusion aucungé4ur toute Ja surface du.carton, A cot ef@t, on se sort Pune petite pince de bois at/c Inquelle on les range fenille par feuille/ Si on a Inissé deux bontona sor Ia tige, on peut los rbunit afin de présenter of corps plas volumi-- neux. I y a des feyfistes m adroits'qne «on csillet médicore,/ils ont Part de lo faire paraitre comme un trds bel aillet. Encore un petit ....:r Prolif@res. -- Lo« @illeta Proliféren ont le centre de !a flour, de-- A mesure que la flour s%6panonit, i1 faut la Coiffer. On appelie Coiffer ue aillet, pousser entre mon culice et se« pétafés, un morcean de carton mince, coupé circulaire~ ment et de la grandeur qu'on suppose & la fleur dans la perfection. . I1 doit Stre percé «dans son 'milieu et son vide éiro-- du diamd-- tro du volums desonglets de ia flour, guanite fenda en ligne sonrbe, depuis un point de sa @itconférence jusqu'au centre. D'une--main on saisit tous les pétales, et on les rassémble. De Pautre, on glisse adroitement .le carton entrebulllé. entre le calice et ses pétales. . Le calice so tmuvera andessous du carton, et les onglets des pé-- tales remplitont le vide laiasé du milieydu J'ai observé que toutes les coroles d'ail lets fendus, soit naturellement, soit artifici ellement, ne portent jagnais de semence. rompre, faute de résistauce. .Les pétales. devenus moins géné«, prennent une nourri-- ture égale, et no sont plus déformés. La fleue ne perd aucun de. ses avaniages: Sans ces précautions, !a fleur se jatie d'un neul c6té, une partie de sa circoniérence est «dépourvae de 'grandes feuilles, et leur tota-- lité ne présente plos un rond parfait ; ce qut doit étre cependant un point essentiel & !a beauté de la feille. Si malgré ces précau-- ' tions, Pasillet'se déchire encore on entoure le calice d'une bague en laiton sembiable & celles qui retiennent la tige fixé & son to-- teur. Ouawa, 30 mai 1862; Beauconp d'aillets sont sujute & un incon-- véaient provenant de Pabondance et de ia pesantear des pétales. Le calice ne pou-- vant plas les contenir, se fout entre deux de ses divisions; la fleur perd.dans 'ce cas la régularité de s3 forme ot dépare in collection. On nomme Crévards les willéts dout les fleurs ont kabituellement ce défsut. Les willets appeles Proliféres y sont sujets ainsi que les| Houppés; les 'Granadins jumais. Les amatours prévoient & Pinspection 'da bouton de ces flours, 'si lo 6alios pout . dtné oui on non déchiré par Péruption du pétale. Lorsqu'on prévoit quan aillet ne wouvrira pas bien, il n'y a plus de' temps & perdre ; Cast le moment daider la nature. Queiques jours avant la foraison, avec une lame: fiue at bien touchante, on {incise légdrement le calice sur lea cdtés upposés & celui on il tend & orever, san« endommager les pétaies. Ces incisions se font entre chacune de ses divisions, et aussi égale que possible & Pin térieur du sommet des angles rentrants de la division da calice, «ans péuétrer plus avant que Pépaisseur ducalice. . Les pétale« en--se-- décochant du calice, ne peuvent le trouwerout .bien, si on les arrose légérement aux.raciugs dean do fumior. + Lorsqu'en» depit de tous. les soins, une plante d'aillets en pot vegéte faibloment, on doit pour lui rendre »a vigoeur, in melire, pendant quelque temps, en pleine terre et sapprimer, das qu®il se montre, le bm. centrél, qui doit donner naissance & Ta tize destinde & portér des flours. "La plante u> yant pas de fours & nourrit, 'se reposn ot se fortiGe.~ Elle doime en onire ~ un grand nombre de drageons, qui permettent de is mauitiplier. : | ~Quand les: conlouts d'un/:@ilict #em' brouillent ot a'aligrent on l réablit quolque~ fois on le plantant ¢a. plsing terre, on térre filtnche ot sans fumior; mais i ne poursait sontinuer & y végéter longtomps sans s'al< terer do nouyeau. ' P-u-loplumui"n(pludnnin que I'asillet de collection. ' Les plus babiles hor-- Hicalteura, 81 n'ont Phabitude de coite cul-- tare spésiale, y échosent . tres squvent, Nons citerons Pexemple réceit de la Socié 16 d'Hominalture de Loodres, / qui, ayant ao quis une superbe collection Carillets, les' perdit preaque tous, pour lea avoir confics & un jardinier trés habile du reste, mais qui n'avait pas la pratique de ce goure particu-- lier de culture, , '; celles--ci sout encore On ne lainse point.aox aillets Un Amarzon. d'abord par bien préparet lear ml'-h':---fv-p lear lfait obstacle M &-bfin vealent pa« por-- pas preparation des champs dasti-- wha # la/ oulture. Mar qu'on ne le croie pas, verité aura son cours, ot oelui qué une terre mal préparée, dank on sol itmbib6 dean, et i peine effioure par : ls so¢ (e is oharrue doit a'atrendre & voir une 'lp de ea semence pourris, et lo rete. le> h-'o'?!--d'umvhnm Cest anssi l6 moment de repéter ce prover-- be : * Tal th séme, tol on recueille." Si tous los re dtaient bien pendtré« de cette ver quelle différence no vertsit--on _ PC PAXCCECC possede une belle cor-- verle & vapeur, i*Immaculér Conception. Pen-- dant son scjowrs & 'Powto--d'Anzio, il ® fait uns proivemade on mer surce navird d& wnorrd, ot 'uc"..- n!bn!md.' '.M': Détat--major et & Pequi !a corvetth;i a déchié que «i jl.q:iln'if;-nh-l Ktate, i1 omburq versit sur |*Iiumaculée fom, abrite Er io pavilton puntifical. m wroy--ns ja > 10 {nit.. Ou none w oatre, que (Imma-- tulde--Comouti M & (hit. ses di«positions et qu'alle est toujou: a preudre la «mer «u promier ordro. des souverains de 1'Europe : de mettre & sa diaposition une frévate & vapeur qut restera mouill6 dans le port de Civita--Vecchia. #« Nous croyous, & titre de--simple informa-- tion, devoir citer un fait uoum-dil getie assertion, of qui a do Pint dans les cir-- con--tances acthielies : * Lme Saint«Pé.e. posséde une 'bélle cor-- * Plusiours journanx luin annoncent que le ;.i..nTPc;r"_v'i:ul z'dplnmk-r & un La Parsee a ta Novretic--Ortians. --Six joorr--aux quotidiens de la Nouvelle-- Oriéans ont survécu & hi pris@ile cette ville ; ce sont le Picagune. le Dfla:..L To ue Delia, lo Crescent, le Bulletiast 1AeCe. Doux de ces feuilles; le Dets r' TA e, (la der-- nidve écrite, comme on drit, Boiié en an< glais et moitié en francais) ontie to at temps conservé queiques sympathiesp »ur | Uunion, et sont édités et rédizé pu.leoCnif. du Sud ; les autres, au coutraire; en§éipser.t dévonés & la Sccession, sont dorivé« pites naufs du Nord. -- D6diteor do Pi:ayune}!. Holbrook, et son rédacteur eychef, M/Yilson, sout du Massachussets| un autrod ses réduc~ teurs, M. Oigfibii{de.Ja_vil ton. . M. Nixoa, éditear -l{:"'nm. t da New--Jersey . . Le rédactour en chef du Bu!-- Lt'n. M. Stephen R. G-yfio! du . New-- Hamp<hire. Eufin le Dilta, 4 édité par M. Walker, antrefuis de I'Enguirer de Cinciu-- wati. Lavise &.vapeur le Renaudin est égalo-- mout de retour & New--York. 1 sera euivi |sous peo de jours da Gussen i du Milan ot do Lavoisier, qui viennent faire du chaston ot des visres, t dont lo sbjour dans nos enux sera conséqueminout d cuurte durke. -- Cos navires fout tous partie dp Pescadre station-- naire des Antillos, . lis.vieauent en deruior heu do la Havme. Nous sommes houreux apprendre, par les officiers du Monfezuma, que notre es-- cadre du Mexique a 616 compiétement ex-- ewplp de malndies, nonobstant les bruits alarmants que Pon a essayé de repandre sur sou état sanitaire. . Pondant tout le temps de sa présence devant Vera Cruz, pas un seule cas de fievre 'jaunie n'a' 66 constaté parmi les équipages. . Nutre armée de terre, plus exposé, a eu quelqu» malades dane ses 'angs, mais san« que . Ja--mortalité ait pris & aucun moment' l«s propriéiés alarmautes prédits par les pessimistes. *# Voild le t . Le Montezuma nous annonee Parrivée pro-- chainle Pane autre frégate, la Guersrdre, qui doit prendre la place do. la Bellone, comme navire amiral do Pescadre des Antilles et de DAmbérique da Nord. A Parrivée do la Guerr.ére, M. lo contre--amiral Reynaud taansportera sur ce b&timent son pavillon de commandement et la Sellone partisa pour la France. Nous lisons dans la Patrie: nieu CeTR Craviere, qut retourne eu Eutope avec une pastie de son escadre, dout le 16le dans Pexpédition du Mexiq ue se trouve ter~ ming. * _ Hier matin estentrbe duns la baie ie New-- York la frégate a vapeur francuise le Monte-- zuma, commandée par le capitaine de vais-- seau de Russoll. Uo navire vient de Vera Cruz et se read en France ; sa reldche dans notre port n'a d'autre but que de prondre da eharbon et des vivres pour contiver son voyage. A bord se trouve M. Pamiral Ju~ tien de' Graviéte, gut retourne en Enrona On lit dans le Counies des E:ais--Ua's do mardi, 20 mui nanx. . Loreque cotte guerre sera terminge, nous aurons 4 on 500,000 hommes biew ex-- vxo6s, des officiess et des. hommes bien aguerris, ¢t alors nous serons en état de dé-- fier !e monde ot in balsnee du genre bama'n. {Acclamations.) Arrivee des Ravires f New--York. *.i'-uhp.mmq-m.'u. roms pas & le faire. -- Dabond in vieille An-- #leterte a joué un double rdle etuile a c16 bien représentée par son Dr. Russ--ll lors-- qu"il dtait isi, soufflant lo: chand et le froid Et je n'aime pas non p'us le ton de sesj ur-- N T c n dn ic : .200 cette chose, messicurs .ct mesdames, upés *""'*"'.fim"u'm l-ll-l---q'd PAngleterre ot in France is désirent, nowis lear donnesous is volée & toutes doux ! (Acclamation«.) rree cous ot ts aidant, nous les bcra V,J"'f:.!'.#'l)lfll ra les paroles au'on va Nixk & rflit'brfiqn... va lire a #@..... Mais is grande conspirasion du 19me sidble e@ de grande rébeliion sont main-- tecaat & l'-vn. Je erois que Lincoln, Une menace contre 14 ot in France. poat y pousser et datruirs toot 0e qui #* Celn doit so faipn ot cola so fora. IE.A]I.I.B. P poor quelq@es --ans, do in-- l2 so fora, . (Ap-- avnir, -- accompli francais, a MEILLEUR ORIGINAL DT SPONTBLE t¥ & #

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