Le Courrier d'Ottawa, 6 Mar 1862, p. 1

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& AUD, ses amis et 1 vient dourtr d ai bien oo complet de iment complet d * BA # des familles. IER, faire a son #a-- pied & ne ie r,m-ti Montréal at s étre 'de s Voire #t de coplay, lérinos i e ,F¢~.. onnes écuries. ur, pour lean t plag ... 24e Plo# gre5f 46 hats 91b #it Jamals a,; 820001 6 pos t d'Hliver coons. uty L220 es e "a o Biatles Tane hex lul. 'IERE t 4 est convaiye, t qu'll th SV 6t de To iuu en ville aree 'w 9 ae team t ment 8ST, NERRj h\m :9 Olle, IOM OUSE, ET. HE, antres tie as |p uzl N Aui. In:..':~h IER Casnumes, 'X au dep. 'A W a, cette ¥ilk." t le pobli¢ fhits a l Te meileur remide e to Tthe: --...l.ua:"'i.';'.,.hk '-:"':'"b:dogqh k <» \ommalaulion, des .. MnA NOUVEAU--PAIN KILLER JuwEnt by iE neawy Dyspésie, nffeotion da ownr, abeds,. épi-- lepsie humeur sombrey névraigie, eto. hes De nombrouses cures--da.ces maladies ont 1 opérées par la puissance ultérieure de cette lrl: atimule vigoureuse-- mant les fonctions vitales, et combat des muladies: 'que» P'gn pootrait | crotrw an«dela de: son -xfiu. basding 'do/pouple ont longtemps réclamé.ce reméde, et nous * certains qu?il. opérera tout quil e 35 oo e te . epbrerm tout quill ost an poutdit de Th medbdinie do faire. Baume P pour in prompte €2¢nsson de idey in ie mert, croup, m n-hc-'.:t i:.' phase »vancte de cette dernidre maladie. y Co vatnlaln ied in lanenafc uts l ult Fieain que les agenis ci--dessous .nomimes se font un piaisir de fournit gratie & tous ceus qui en fontda demande. . . _ Dyspésie,: affeotion da omur, abcbs, épi-- le Dr. "8. C mfl::r, I:!, Prik 45 bent# pir boits. > On "ii"-'m" porté beaucoup de cures ac-- compli cel. exceient reméde,: et.nous ""g-_-_: lecteurs i notre almanach ame--~ " J. [PRBEAM: Jules Y, Geichell de St. Louis, écrit ce qui suit :----#JPai' 6té, | durabt" des 'aniées aftiné dune affeotion dnurlwl com+ pietement detruit ma. santé.. -- Ancun vemdde ordinaire n?ayant pa me svnlager, mon bien-- aimé 'mmn le gvd. M, Espy m'a conseil-- 16 de faire usage votre salsepareille on me disant quil connaissait.que toutes vos prépa~ rations no , pouvait wfl}:i'n me du bien. Gr:p P i'f-.' y:o- e!:qullo 19@b ih'a uéri a "Ill.ll ar mon san ue ;'n! sens mmllugcm ;:n Mnlum: e me ons tajeuni, t pourrais jamais, -T- ce ml{&nl'"rlfimm ;; umours canoéreuses, dlargement ulg\o'ru, warie et exfoliations des os, Dr. J. C, Ayor,--Monsicur, fai 616 aftti-- @6 -- pendant Log':mp. dan ,MMM' chomatisme chranique contre lequel avaient échoué tous les efforts de la :'D?u;l:' Jai en "recours . & votre 'swlsepareille t "une rh boutille m'n 'radicalement guért on leax . semaines, de sorie 36 jouis actu-- dilement d'une, biew -mfi::u santé gu'd~ vant d'avoir 616 aftaqué de cette. maladie. Jo peose qde clest une merveiliouse méde-- citie. t ' Rhomatioore; qooveratioensinnn mss umatisme, gouttoaffeor g h'd;gondnm:c, Preston, C:mmncu!, aillet 1859, ie i en e arand reméde, 6t jo.n'ai pas; ,.0u conséquen~ ce, 416 étonné dv:- hug;_n; résultats. Tout & vous fraternelement. agent m a fomise» ue Yotre préparation, e u § sortie de votre Iaboratoire; ne pout étre qaran daillours hnd e en suite d.'l'humdhb. a 6t6 égalemeut l;o;u a la santé. en fl"'lq"" rm Jo sain FU Y RMieeipiengs t slnbd vaut > t on ismm h d i ie meme . mal Je mercure, ot qui avait 16 in prote» d thoroyubles souftranbes J in maintes ourés cans les cas de maladies +6-- nérienties: _ L'un.de mais malades avait des ulcéres au gosier, & !a' botche 6t an netjil a 616 guéri--dans cing semainaé: 'Une antte auaque e Ja wéme u'diu."fidunm guétie et nulle, trace n'en reste sar son vi-- sage. Une femme trailbe auparavant pour k'-'o'm -.u par Je mercure, ot qui avait sa sopateille une tumeur ovaire qui avait jas-- Ju'i présent défib tous les .a.fl':'a. 'll"ho- lecine, mais aprés avoir @mploy6 votre re-- méde durant six.semaines; il nugestait aucon »ymiome de la maladie," y ' Maladiea syphilitiques ou mersurielies. Nouvello--Oriéans, 25 aoft 1859. Dr'v.'C. Ayet,----Monsieat; jo ~tis, tout A--fait do l'bgimn de votre ugout sous le ? Pal dans: inughs Untaniatiot n "ai ma, , maint maintes ourés cans les cas de maladies ¥6-- nérienties: -- L'un--de mais maladés avdit'des Wns 2 B PnR ce gai suit :=* Trois bouigilles de yotre sai-- salsepareille m'ont, complétement guéri 'lr\ hideux 'gonflement du cou gue Ton pelie gortre et dont ja souflrals -n-uo-ut.gqm. deex wns. 400 Edward 8. --Morrow,:do «Newbu , Ala= bama, 'mite. l0 cas. suirunt i---"J'.l? guor. dans ma .famille, au. moyen de votre sal--. salsopareille une tumeur ovaire qul avait jns--" hi an #z de $t. Anioine, E.'?..-., Calvitie, Maux @yeux, Ldnpr., i o en date & A'snp-h.'" bre4809 qeenl a N. Y., on u & goéri redicalement .uu. cas "W': gqui menaghit 'd'étre fatal et ce Je' moyen de votre salsepareille, 1 a -pn'l..h--. In.care de. violent Irésipéle 4. fortes d do mémy remdde qui en outre_ gubrit les: MnEiou onlinaires. ite, goitre on' du con." > Bebulon Sloan; de ~Prospect, 'Texas, scrit serviieur PS T ibodh Pevelfnaincc in 4. Phomanité qui alent existé 'dans 6e sidclé, ot jo saie lv?- reconnaissacce votre dévous lisse ot 'an on lpornal is Ueape:"Hoarthan, io w links Iu"' ve e Inimant, do sapmettod hoi o t Your_oue ARTT e longues on. 4'1":* tanidt dlflrnu Pastomac, Jn Bs atont on ont ancun soul '..- it, 'out au contmire le mai pite dee mainient utae mron s 'Oakland, Tidiaou, 6 Juin 1859; v Pnsc e umc Teaai sonflert durant de longues annbeg" Pour purifier lo sang, et que d'aprés la formule yue votre rory io pmiiiighey: w4 ou 'ai fad S io Pat peiaedot d ha slest m MIAME@ 4 J@U\)Z,'::,,:'; ) 4140 iA f outiort a#3 Alfred B. Tallary Ayer & Co., le bien Payer JOURNAL PUBLIE DANS LES INTRRETS FRANCO--CANADIENS DU CANADA CENTRAL To ifeil ie des Pounons, ot & ie en mm on tema de bone ~Dand .deox oat, oi la Consomption sembinit étre déciarte, le obtdnt Tew: ts hats | los : plos satisfaeiote. L*" l:?.'fi:' de Mktlobtks dund ass ntedcal Esn Amers Oxigénés dans ma . pratique 9 i le Daopoenrmcaniter Pmr.'m' on Rhame on une Tous své faut faire usage do Hanme de Ceriatér Snavage dn Dri Wistar, Pour gubrir in Tous crigide Jn Grippe on l: -:'-:i- des Bramches, il "fubt faire usage du Banme de Cortster Sanvage dn Drs Wistary Pour arréter ition A Jn ' "don 1 fonPraietoniyeh o o wog hrmm%'..';, il faut faire usage des AMERS oxicenes. Pour «obrir PAsthme, PAcidité on lo Brikle» m&f"-"u&u-.u. AmMERs oxicenes. Con. ramddes \ produtment , tiuts tends hlh.-lg-nauh«". ddois t -"-"h..'-'-i' aux mnfi ln consolation et le comfort. C 60e Wayne, N. Y. 10 . Te o. & rociea t l Ir mile h: reax: de dbcluret 'qus fai 'fait wsage dos shpany orCiss par Carren, Kuaar. Ci6 YTaos et Cie., par Canren, v. Ci6 et par Lamrrovex ot Camracts. 308. "MOSES, seal L8 rastiLLke PoLMoXAIARs pe aaxax Sont garanties devoir donner satisfaction & fout le monde. PaSTILLES PorMoNAaiRE® z. pryax Toute personne devrait avoir une boite des L2s PastiLLes PuLMosaings ps Bavarm Fout sonlager, elles guérissent N:-vrw-om pt:t loqour'n. GRANDS ~REMEDES | . Mn PASTILLES Poumonatass ox navar® Guérissent 1leritation.de la Lactteot des ' ; Amyedales. ~Lks PastiLues rorsonaties D. savaw ~ Soulagent les maladios ci--desus dans Nes pave: de dix minuies. ie mlstrles Pebmblalnlte' oR névier Sont un BibifFait z:r toutes: les 'olanses 11 toutes les constitution. LES,PASTILLES. PULMoNatARs px payax LBs Pastuass Poraoxant on mevax 'eLigs Malaiber du Ponnen Gubrissent . Je PASTILLES PuiMoxaImES pe mavan Tout yoyageur devrait avoir une boite des PaSTILLRe PULMaRaIRRS pr BRaYAN dane an + PASTILLES PuLMmonainze pe navan "w refusera do payer 5o AP" : fl:ino onl i ] "Les PABTHILCRE bPormonAtKid be saviaw Gugrissent les Rhumes de Gorge et de Cor-- réan,l6n Mauk do lb.o'a'&mnmu. Les rastiiues PormoNaiREs be savam Gubrisse.t de 1'Asthme, des Bronches et de 1'Oppressious. ' a ranme t aale OOE T PuLMonataRs, "'..."".. 4 ; foutes les i :'%':"""'! "mm.flm Pponnaiteent "-"-nmdonunm est apposée sur chague PASTILLE: 1297 oo tet fe Bromicy hritrie de oo ganeeoan aitzamaie 46 présenté sous io nom de 1: 22 y~ matas O s ds LESPASTILLES PULMONAIRES Sonlagement on Dix Minutes. dE" BRYAN. Bt:30; ri6 uin Gas .ls LJ *.k', ML * achateurs leur «arg a -'o-a-u., ...".: en hemer=n t j avous conso de e * mt mtong mt Petuan trmane o Pooan t Prem uk et nous somnies wrri ..x Nee To Deut 'poovions repporter sn + nove ereiane qui los surparsont lwom minkkt mh_fl'"" '"'Hdm'w.'" ; nous avous fait de cet ardiolt %et y kwons apporté quelques change. meuls, pmis essay6 ensuile, €+ 10us sommes aerlaine fme lo. meilieap qui 'f:"-zm%-l repolanas ubiiepens des autres; mais nous demandong aannt on fasso© Pessul, of s7il ost trouré flmt tout autre .uJ. de ce tm t e m mm s -""'h'.'.a"mmhn- ecomandent aux Chantours et Orateurs. 128 rammibue Poraiosanezs or pxvan Sont faciies et agréables & prendre. UR® PASTILLES PoLMonauaes ox nayay M omprennanenccennrac e ) on gue avoonder Pies uts iemire ie "'U:h.-"c-.-.*. may raph praatst mpoge on on o "notre "Lanarsmad LE 2 Cerre Mansome a Votre tout dévon. A Vendre & Québec; chez 0. GIROUX, J. 'MUSSON," & Cie., 3 OWLES, J. H. MARSH,3.'s. BOWEN 1'#(?&_5_: es ovokie s ? 9 féy.. 1861, CSES, seul gro'riq' btaire A-_-"anl lontréal, ~i Maintds h Ruster Cerner (27 0 ie Rour 30 sous, et nous HENRY & PILS, vi. ri6 Saint--Hanry? wiact ce i9X 23 le --Ctachament de at los Doulours de Poitrine. "_* 1. E. Surrn, M. D. °. 1. . OCH® _8 rewlettre wur " 'argent 'dans" le cas oi ils Pa# satisfaite« -- Nons.donnons. en: Dix Minutes. Montréal, C, E. 107--12m. dm--135 welto* Lvstam, OR C . # ----Qul i to l's di n-ph-h-'?-:q.b :'I-ht:: siivaitarem Sos 'eoesmeree dn it "mma.mr"' *A ul --Ah b'ir-'ouild;edudezéer"rl:,"l 'vinette ; B'y est pas : il a t (B"on ariome l6 paressonx !.... --Tintin? répond la petite Toinct-- te qui--épluche de in m;m zuul'lpr-vonntl 11 doit ld--bas, tout: contre: la monta-- venir ot ) vas tremper in soupe. I-£uhn mqu'-n ':'sul de wduflodeu tante In Lan rende ;; il entre;--domante oi est Tin-- ._«--Meére, ditil, jo: poorty ; aller jouer__.vu; le mdni; Posr? :_----Va, gargon ; mais: ne t'éloigne pas . trop, car ton pére va bieutot re-- venir ot j'vas tremper la soupe. > ) d'un: grand -- tablier rempli~ d'herbe pour le souper da--sa vache; Apeine Jean--Louis at--i} déposé ses liscrons dans la cubane ; A Laurende, t d'Augnstin, va t_!'n par sa flmi ois Leurent,. mari urende, «st »nare Ns B e t en un bout jusqu'a terre;:tout . pirbs mfl est uno . cspéce --de p l;'}:: tote duguelsont umom robe indienne / d'une: petite fille de :dix anoe ; ot le: pantalon --des dimanches ('un ~petit qnpnda-'xl-?cma. Une table boiteuse, un buffet dont !s serrure est cassée, une: huche sur: In-- quelle on voit un.amas de fruits tom-- bes et recueillis sous les arbres voi-- aiml.dnx chnises de bois écornées, un fauteuil d'enfunt & moitié dégarni do sa qtilh: voili tout le mobilier de cette habitation et laspect qu'elle présente. --Le jardin n'en offre pus un pius --agréable ; quelquos choux mal cultivés disputent le terrain a des groseillers a maquereau, qui sont enx-- mémes déja anx trois quarts étouffés : sous les orties. .. Une vache maigre et | sale beugle dans 1'étable, attuchée préos d'unratelier vide --et n'ayant { pour toute litidre qu'une pmgnza do M raikns 9 . 0 m oem ene mm étable, -- méme petit J los 6 d'une ihn.ie vive et arro-- un ts 'mitoyen. -- Mais lo chla;':o de mh:oydenxx maisons #st couvert --de: monsse et percéc en mflu endroits ;--le hangar ne sert qn'a des bronissaillos ; 18 salle basse est hunide, mal , occu-- pée d'un c6té par--un lit défnit, dant lflldflp'l de toile jaune tnlnom} Tout--cola est la proprioté de Fran tite flla' Bur ceite page blanchs ou met vere ¥ont éciore Qu'un regard queique fois ramdne voure cur, De votre vis in pege sat tlanctie encors Qu#ne puil<je y graver uh Seul 0t Te bonbes» M--fl'ro-',u-bnlno "fiv.ub-va-,o'u":nmu Na, mon cofent chéri. d'ube Tamille a Adicu, sole yon -.-]nGEi{i n6tre t ¥». 18 & Fmutre ue ht Pm eetel dver Brain h im # .00 Aoney v wrebere manks Soenes du jeune age. wrait on A VWB dbvacl PiLLE sor som Litterature. t, mari de--Catherine Ja udb de--Toinette . ot rulgairementappelé 7in-- mille et par see camara-- Impromptu, prs que to fais RBoesic. rempli( d'herbe Beul mot; Te boubeur A. 20 Laxanyigy. Yicto® Hyee ALBUM »nAdore Jean--Lonis 'IO-G & pleurer, L i® wen prit a aa femme, aur ce qualle no suryeillait pas assez son fils, 4t lo Inissait aller trop souvent lnrt cousin . Tintin.--GCe n'est pas t fl:but, ajouta--t--il, ni im-- uL. #H,,CORIPRN® vraiment, | _ --Mille--tonnerres! s'6cria Gagnoux mbm:nr la table de maniére & tout trom bler, si je te prend ja-- tanid .nvec ces vanricns & J faire in rane pour demander Taumone, jo te casserni r-_; béche sur le dos, jo t'en awortis.. . 'endre Ja main anx sunts! qudter un sou! lo fils m paysan,~d'un .ancien soldat de la z-nd. armée ! Fi done! tu n'as pas honte! Et de quoi mangnestn "n"i'lbnm bean métior? *'u-u pas du pain pour tous les jours, et dee gitennx Je dimanche ? l-.'o-t.u sana chemise et sans paotalon, comme un paurred Th vas nu--pieda, --cont vrai, quand il fait beau ; mais Phiver ta more to tricote dos bas, et je :ravaille mbgflbw te donner des sou Quas--tu besoin ~d'aller de-- mander P'wunione sur Jn grande ronte ti will Et Jean--Louis raconta naivement comment Tintin s'en procurait, ot la promesee qu'il lui mvait fhite de lui apprendre'A faire In roue quand il le smurait lui--méme, afin d'avoir encore plus drargent, ~----/A h : pour ce qui est de ga, mc pé'ro'l! v»gagne assez des sons, --Jon «cousin !<ah sbien | oui, ton cottsin ! il ne vaut pas: plua que los autres : clest un petit paressoux qui n'aura jamnis le sou, ----Afl I--DOUF c0 anl--ect dn as sls --Pdre, j'étais avoode cousin, r6-- pondit .Jean--Lonis en tournant sn casquette dans ses maing et sans oser lever les youx. -- 4° en anraitéte r:i- jaloux s'i} avait ru'em arer le sou ui les a lait toul:,dmu. (g Assis devant une table proprement servic, .le pbre Glfuclll mangenit une boune soppe au lard et anx chonx, dont le partth so vépandait si loin, qu'il. avertit Jean--Louis et le fit so presser pour f'étre pas grond6, car son «pére exigeait qu'il fit rontri & Phoure du repas, --ale n'entends pas que tu restes si tard: loin de la maison, dit e pére Gngneux d'un ton . ferme ; qu'ost--co que tu vas ifaire sur ¢'te grande route. avec un tas de gam do mauvais dtoles ? |,, --Vrai, .comme . je m'appelle ; . ot . ;'nn vais hienmgupwr autant; mais | fout pas le dive a ce vienx chien Si-- mon, le borgne ; il me battrait --com> me il asfait Pantré fois, quand f'étais de--Pautro.coté de In diligence. _ M'en &t--y donné, I'guenx d'avengle, avec son bitom ! Suit-yl:.nrngé de no pas vour 1 sous . qu on je-- mdo h?(;m Ma fulh:ldn 1'311- rage, tont de;méme, pour les -- ramac-- ser pendant qullimo cognait, vienx ladre, va, quand J'sorai plus grand, tu me le prayeras ; je dirai aux voya-- geurs que tu n'es que 1 e ! Eun disant ces mots, ;mfin déta-- chait un petit morcean.de pain d'Gpi-- ces, pour le faire gouter & Joun--Louis t et celui--ch admirait Je génie de son cousin, qui Ini procurait & si peu de t'r-'i'n du'i donces fouissances, i --Est i1 bote !-- mgqnd Tintin .en hanssqnt . les~épaules; tu n'us done va le bon goiter que frit tous Hjonn Plerre Cloud ? tBl faites) 0; ----Eh biem! ce pain blane et ccs fmo cervelas qulil inange, cest. en 'lu'!nnthrouqu'il gagne tout ce-- la 1 .. --Vraiment ? dit Jean--Lonis d'-m[ air--ébahi. 8001 sns¥ 0 .cttem Ihaot \fl e C806 M0e vu(;'n'n")'.u,fl;.i on a ean<Louis 4 ----E'yk il E: te !-- ravrend To ply® U@ Jn place ott in rnanchan de de pai ; Juunétdu «chiques matin ao l;: M% tlans Pospoir de ven~ drecau rouliors quirdescendent an bas {do. in moutagne pots 4n ; franchir i pied ot en czusant entro eux. Tintin:jette.denx sous sur in table, et Jn imarchandedui--donne un . trian. le do pmin d'épices qui~ fait couvrir 50 grands youx d «Jean--Lotis. m«Oi--doalé tas trouvé ces : beaux soue--ld ? détiande Jean--Lonis. --Pardine! cest. in: viellw..dume ;ui_mo les a jetés ; ost--ce que tu ne as 'pas --vnet~Ab! ga sera encore bien mieux:demain Pierre Clond doit m'cpn-ndn a faire la zome. T roue l qu'est--co que clest que ga ~+Oh ! cleat joli, la roue : on .imet 'd'abord les--denx mains par terre, ct F\u'a on tourne: avdo ses.. jambes en | air;. mais il ne: faut puitn main-- droit, -- tout de--méme parce --qu'on | tomberait soua l yoiture,: et clle pas | serait our... I . ~--Oestam--vilain jou, ca: il n'v a | \| «+--Vienmi! cxieneds répond 'Tintin alutroter ; fant 'pu que le pére ;;nn 1OLB vOies ; ..« Bt Jenu--Louis so imet & courir juse quile in placo oft bn tnimehandaidl SOL .. ~»Qulas--tu ; doned «lit-- Jean en le voyant arriver prés de lu dPhaleine. ts si¢ze, sefforgunt desuivre une voita--. }mf;-w-_-«-«r'-'-?fl"&;' A 'mfi m+nw so Ferprer mt mrmpatatt hosd.06 m'lm' fuchets mn"'a"'- gas Jmhdut tas (-h'pun';l;; ae"huné;;'t's. +H.C.) Joudi--matin, 6 Mars 1862. N})Nld Tllltln en Jean--Lonie de lui hors il n'y a NBVIbanodiin tds Al 4 malkenrenx enfant dont la paresse a fait d'abord un mendiant, et 'pius tard un voleur, . Les larmes qui inondent le visage dA in en se sentant serrer dans les bras de Jean--Louis, le dévonement conragoux du rym\ pour nn ami cl)ld.mfl, insptrent qulsu pitié fi Dofficier condnctenr de In chatne. permet & Jean--Louis de fester pros du prisonnier pendant l6 temps que les _ gendarme# fo#t~raffatchir leurs chevanx. ---- Cost alore qu'il --apprend l comment, . entraiidc par los: narhdem '] _ A_ Dinstant. méme oi Jean--Lonis | faisait toutes ces suppositions, nssi« & | la pointe du jour sur sa porte, inan-- guanc un morceau de prin couvert de mmnsu blanc, et en attendant que |son pére fut levé, il entend le bruit lointain de plusieurs yoitures ui marchent lentement, . Bientot i| (?iu- tingne sur la montagne denx énor--. mes .charrettes escortées de g'nd-rn' | mes, Pulll'ézlfht'uliofil'té, al court. vers la chanssée . pour voir Je convoi de plus prog : Cest la chatne des ga-- lériens que Ton,conduit au bagne ; i1 | les entends rire, chanter, jurer, has | premiers qu'il apergoit ont des maing | se sont jointes, il a levé les yeux au | ciel, AJors Jean--Lonis pousse . un | eri déchirant, i1 §'élance vers la char-- | rette, s'aceroche aux barreaus, mal-- | gro tous les efforts des gendarmes | pour Ten éloigner : car les annbes, | qui ahugont les traits, la souffrance, | Ie remords, qui les altére, n'ont 'pu empécher Jeap--Lonis de reconnaitre 'l son cousin. Cest bien lui, cest ce | PUTDqu n volut le vieax fer; il au-- ra donné de mauvais .conseils A ce pauvre Tintin; tous deux finiront maul. . D'en sus fhché, car jo Paime ce pauvre cousin, et si mon piu ne m'n-- vait pas défendu de le voir, je I'nu rais peut--btre empéché de quitter le pays. . Voild déja quatre ans qu'il est. parti, il doit étre grand & pré-- sent. T1 avait deux ans de plus que moi, et j'en murai quatorze & In Saint--Martin. Quelmétior ait--il dans | ce Paris qn'il nvait si grande envie | de voir? 'i'enl-urn bien qu'il y a fuit | fortune.. qu'il est devenn un monsieur | et qu'il ne voudrait pas me counaitre, | mot, son cousin Jean--Louis. I Mdiats cotadiaaiial c cltiiin d t Nemours sur sa -- monture Iair fior, I le. comme un vainqueur, et l?:'tnm de | . toute in force doun voix: Zuse done./ | t i :fyae» 4 :nfln tout le vocabulaire & / du &8 viema a) "a5 _ OO . 068 travanx : ai/~ EtiInveliarrotte: se mot sa vigne, en effet, avait 6té moins bien ment. * cultivée, elle n'qurait pas produitila| -- Mais le commandaht, somune nécessairement & rcquisition | Pétat de donleur of i1 voit dune --'bonne> Anesse, . -- Aveo quels | lui rronwt de traiter son . transports -- Jean--Louis--réve au mo-- quelque. meénagement, o nent of il reviendra du marché do I KOF DREDoniinlag auteweal _ Jour on lia atteint sa dousiome 'an-- née.' Im récolte tai en Appartiont ; il a déja depuis deux ans ? importan« ce ot les ngitations drun propriétaire, Que! soin i1 prend de son travail 1 car ai hn vigtie &niz mal entretetiue, ' 1 ; Inigsnit croitre de manvaisea her fm, le« grappes soraient moins four» niew, lfwupin aprés le-- moment de P23 Hund!, Woes on e ermette o mua:' nu;z m'm- ::n»hjld.ul ne, uno demi¢--liene, on ) In o d'une'voix plaintive : 'Cn perit Nand, | man ail vous platt ;*et comme ilm-bntruue ehaque soir sa poche pleine de gros| d'dtre sons, i1 bublic en es comptant les in | et, pl jures:qn'il a requnes de qnelques voy=) menté ageuts indignew OeWnL\nn xvgmehéd fort et 'bien portant, en Ago de tri-- ) conna vailler, fitre un al vil métier, /~ Louis Pendunt que Tintin ne pense qu'd ) En exciter in pitié par toutes sortes. de / ei #'6 mensonges," JearLonis #élove dune ' #'emp tout autre manidre: i} va--lonatin & qu'un Iécote; puis, an retour, i ultive & | boire lui seul un demi--quart 'darpent de | vre vignes, 1uo won "pore .lui'a' cbd6 o coups jour o0 il a atteint sn douziome 'an-- ) le ger vée.' Im ~récolte tai en Appartiont ; yeux ; U n déid dendia Amnviane Wikll 2c + & rovallione Witimedstulc a 1 1700000R puis, an 'retour, it eultive & boire _ et« 1 un demi--quart Parpent de | vr6 (Tiitin 1uo won "pére _lui'a' cbd6 ied coups de pl i n ubnkins specducane 2 IF I ot chabmer ana [V f0L_"o0 2008 A078000,) #0 «t 1 16e D an hasard. "_" 'Gt-lnq'per une plainte, il était monté f ment, 61 90 nuxhrdql'im'dalnmde churrette, sans, merser | glais o 2@ lo r en pen MW}UM lanng ; anaig ib n'uvait pasi pr6-- -.....{. trava ns le tilent de Mla) vu que cet affronx cortége passemit ninug ot ipeint hui H Pn ropnc\ vg J dant son &i"ml ."""'I;' i | duive, (pogir procés 6-- n 4| In a voisine ot de |* tive : U"fw' -Z:"b Oneupre 1. ot la ama at n LA kh salernnec ty c Ees w'élére dhune t."un},l.};'fiu va lematin & ) qu'un.dos s T Pm m mlflfl'll-w...q & 18 i1 pueia l6 | "OHRORNIO: m0n:spore . ot la--uue d'n géogrophi,, st now wie b 1e il revient | catte vhnm"nfl:"'m]ée la crainte | diowes, & is tenua des Tivres, aox solut ine de gros| d'dtre apercu de 'qfl"'ill"!liulfl, dee problémps arithnétiques que P'on pour-- ptant les in-- '«, plus que tout celn, les embrasso. tall expliquer ot rendro \ntereasania .. Voilp elques voy=/ ments de son 'Cousit _ Avaient 'riom-- | le« vxereives qui peuvent et deivent solider w irgon ) ph6 de.a4 'flfim: it était fotnbée--sans Péducation diémoutaine, ot quis l...u;, Age fihfi-:t'xonn-i-ulcc duns les bras. de J can-- ¥aito cat iniremamuls CCg. SHe far. « ants . Raisonnons ; %} faut & un .jeune enfact 4 00 5 ans pour apprendre & lire dans cen écoles ou in nombta est si grand ; il lui en Ipmlnfimea ou 10 #\l enteprend deux choses & In. fois. Clost absurde, 8 on 10 ans bien employés sont masez pour faire un couts d'etude des plus soignts | 8i Panglais 06 pentétre ratranch6 e u0s beoles [tan-- gmises; do moins, on ne devrait y admettre qoe des enfants goi auraient deja on com-- mencement de francais. Je erois méme que Pon devrait se contenter d'y consaerer une 4 heure par jour, e h ' Lo f vrait_ avoir la pré-- mm':v:'"h éevles. On devrait obliger les enfants d'an faite une btode aps !"&'" tandis que Panglais oe devrait _ Cependant, beaucoup de Térent Panglaia ay frangain. "M'IQ. Je dirai gu'il ny absurde. . I n'y a nen de voir des potite ennadiens de & Pécole armés. d'un Flirs déterminks de n'apprendra. gleis, diauiros venlent app fagons; tel est ln dosir dox p M. le Redacten Soyona glorie penwsotis y bieg monde | ! n | . Mais le commandaht, : touché de on !l'étutde donleur on i1 voit Jean--Lonis, ols | lui fmmot de traiter son consin aveo, nd-- | queique-- meénagement, ot de lui inis-- do I ser prrvenit les secours ane a. Gc0il. gnoux & son fils, son camr; embr mercier ton pbre un brave gurgon Clové a demander te, moitié en pleu riuln[\lu scéve qu of qu ""v & NWO p grenier. Iu"ll'"(\nfl IN;"" l" ma nrrivona trop tard, ( Ancases seront vendnecs plue ":" le fretin. --Oe mestt pma ln p mon pére, dit .Pmm Lou je n'wi plus do quoi I'm En ce inoment, «a i coutait, hnd saute an c te 1 e RTCT T le Inisso parvenir jusqu'an pr L'argent est tlf-p«mé:?mlu sa c il ne sera pas sans gecours, petite sumuia servira a ad captivité. . Augustin In req vant les yeux mu ciel, et fnit de In rendre & Jean Louis, exauce son gincdre repentir, Jean--Lonis revint an vil eux encore tout rouges, * --Et bien, Ini rlitK:n pb dOffama. ~ N&cmssirk vimna lo peut lui donner, ' .-i.:ndmfln n'en tage: l corrt & a duns son coffret le f avait iWhinssé par i« somme de quarante lui rssurer tant de ' ,flnmwa qui devait fh i ----Fant mieux, tant mic le --gendarme: cela en f mbind; it y a tonjours "th gnenaeld. moment . eneore, en . v tre le vienge pdieot tes 3 du jeutic prisonnier, --Regnrdez--le, dit--il du désespoir : si on ne i1 va mouris® 10 --Tantmieax tane ) conn I 'Arrrat mailticuciito d ed Pampsliaily) camalics. S (0 U'Gitp o6 une | avait . aubi Ja eraelle om qui / languedirangire, i Ith- hL | renait de rives sa.chaine sans lnisser | ¢u s 1 Jr6erit at purlp que. échapper une pluinte, i1 était monté ! ment, 41 supprimiant mr:: dane (w fatale churrette. sans merser | gluis ow 2# lo regurdant gque comme us 'na lanng ; nais ib n'uvait pas: pré-- wu-'. travail du maltee #e, d vu que cet affronx cortége passemit fninug ot apeit hui mh&:' dans son, (yil qu'il o'm'h it th | duine, pronbder & expligation . de dn lm sporte de .1' voisine mh atde 'histoi's, nux,analyse, & }a mnison ~do. on:spore ; et la xue de | géogrephi,, st aoy wae « C@tte uh.m"n":'yulée la crainte | diowes, & is tenue des T aux solutigns d'Atre apercu de 'qn""mh't-ium, des problémes arithnétiques que P'on pour-- et, plus que tout caln, les embrasso-- | rit expliquer ot rendre intereasania. . Voild mente 6 60H Gousin (nvatase n o | CC 10 nccroienituboure on ger id accroissait .. encore éeespoi I('Wflulil voulait A:pwflnln.- ow o t n ts oh. | #00. n N. mveo, Avait oubi J4, 190000 O HOinge . .A venait d »i /2 _\ j 8, OPOtatiOn .. qui ) lnnguedirangore, renait de rives sa.cluine sane lu'-..rfu «i lbaru.. échapper une pluinte, i1 était monté | ment, $1 00 dans l« fatale:.churreite. suns Wf;hu U 0# le ne dduenen mdisln Ca P T Correspondances. En le voyunt 8.094 état l'éllllfl.! 'nup-m (;:\l cl n'apprendra & lire vealent apprendre RANG AISK I e desir dos parents, 89 faut @ un jeune enfact apprendre & lire dans ces nbre ent si grand ; il lui en ou 10 s1 entreprend deux it L. Cost: absurde, 8 ou 10 yés s00t masez pour faire un VC ON, pEtit verre Ooat--de des . gendartes s'apurta UX de notre de quoi l ment, «n saute an n pleuran Ceu ife ume btode ap» qu6 I'anglais oo devrait ntme uh accesair "'P"' hfghr P&ude do octte quarante franes qui tant de jouissnnces devait frire la riche m' celr en fera im y a tonforrs "thop de io PC AOTC MB Miphowse 0 la--maison, enfin le destinnit & sa mére dit Minc 16hit ~avaler ~an pan-- 1, "R098 "a'MpercetDiE . des lat de satre gite Tui donne ne. > Amgustin rouvre los ut server la moain do Jean-- fg'lw. do-- reconnaissince. et le petit tréso par son tmivail NTE DT d ans nn petit anc de sous sn blouse, ct se outes | jambes -- pour ton® dit--il aves I'necent on ne le secourt pus, Sormm: ( entend pas in maison, dele & sa parole fll'ml prisonnior ans sa ceinture que & faire un Panglais le« fran« admettre les doux f'npm;it' F en monve ux ct serment s1 Dien davan-- prend rcqu'il -- cette devait _ cotte arrotte [l --»=Rhq olt 4,'me Wte dat sa wl tre d whod 3 omanbe *m. Cooo, pMNARG ndg#e® 'on ies a.~. dn ciel nvee le pai de son habit ot son mongholf & enrteans. --<Imbécile, Int erfe un monstour armé dun rquoi . me mote--tt pam m-mv tn 'tito afin de to préssrver an mnoing do in phiie ? d 34 tih .f0" 1. On lit dans le National ; " Goco, bon nogre Jouisianais, avait 't:(' avee ars économics nn superbe cha-- pean & longa poils, en fi do tuyau de poble, et le |mrt.ai"l:'mlh' Mais voild qu'une averse commence A tomber : aux . premidres Coco g[i?ac avecsoin son, m celui febquent tales de I tem nd ach qhion prin mme pat e pour y comprendro puiler Pune teile r rang des animuua, d diatinguer, !"nnoe sévit, le fouot, in p perte du tenip«, . 11 salle était plus vas tmnt pas ley ; --lgs J Ramvrer et so forme mblo ¢t Petude un plaisir «uwl aftrait peut--on avoir P Von se fuit mutiler 20 foim P régle ou de fouet ? Auasi, | T @NBL 0s M# peuivent tairg.une addition | ti nommer une capitale sans que ce soit en | anglais, . Cotte eroyance est ids commune, particnliérement chex lu' gons de In onmapa-- | ENO 1 sarail temps de las déssbuser. Finalemant, }'eapérp que lon accédera qu'ilest imporsible & un on méme & deux instituteurs do. maintenit Pordre walgre in plos serére .diacipline, loreque 170 on 200 eulanis sont pele méle, entasies et mal assis sur des banes incommodes. dans une salle | moitié trop petite 1 c'eet-- derhauder Pimpos» wible. . Les enfants de , leur nature sont pe-- tulants, pour peu qu'ils sorent gonés, ils ne poussent et reponssent, se puicent, se bat-- teut, se rogiont de. 1@ s'eosrit un désordre irroprimable dtot i. ost méme tres difficile de distinguer, |'nnogent Paves lo goupable la ' sévit, le fouct, ln punition est pire engore, Ia perte du tenipe. . 11. est évideat quo. i, ln salle élait plus vaste, cos «lésordros n'au« imunt pas ley ;--l9s classes pourraient ma~ namvrer t mo formar avec ordre sans cohue, Von pourrait assiguer des places dhonneur} (listinguer, les clasges. et lam éléves les plus capables du premior coup d'ail, De cette maniére 'école deviendrait un s¢jour agré~ usns 1 o | io oo mt . | U! y a plus do bonheur, " \ us uon | ! @ducation, diémeutaine, ol qui» sane uz. ¥aine <et.infrociueuse. . }} w'?:i. (ue les personmes. instraitea nemployassent Aupros de pelies gui . ne . le --sont pas aln de Jour faire comprendré que celui qui aacquis Jn connmiesauce do Parithmétigue @t de in «dozniphie, atc., dans noy écoles, n's pulle~ ment besoin de rappreudre cas branchus en | anilats ¥n que ces ghoses sont absolument | Dareilie t no différent que dane in maniére Td ty Ce Cexpriingr, 11 unt troe: fréquent dentandre ds pores et des mdros assuter que leurn en'nuts connaiz~ seat & fond Daritbmdtique 6t Ja géographie ; maie, qu'ils ho connuisgent ces choses quon auglais) sn« peuvent taing une addition i tamtner une Gapitale aane ana an se 20 Can inatrtatour infloe d sur ses devoirs. . S!il s tu pruple souffre, et l Tnoptan® €1t0 oblighs de venittg w0 A 20 par cent de perte, wmikiny mce !.... oar, e# petit ncoident, trie #et dh ux leniour= gouvernemen-- Padminiatration primitives Un Montrevn av More prup's soufre, et le mal rejailit hlie en genéral. Copendant, #%il anible pour le present d'ambfidter ) il« devraient aa" moine pou¥oir _ leurs honoraires: dune manidre has +# répondcai :. Jorsaue les enfants serout Tustrvhs va Tor Jangn j qprite ty 8!8)% 14 tup, ly.voisinage, los rapports «n lw ichantement mliens ont nasgz nox mémen peot quocs le.-- Enku, eprouve pas do la repugnance eil pr céd&? Copendant, il est rgonte nbsessité, sabd Tui on' ne 1 faire, tion obtenir. ' Ja le dis m avail [ospace la plus grande -- Nolu, m largont: Auide out puissant venaient aussi w«' ou le porte fonifle de Wobstnoles disparalttiient antement ! _ On ne regarde-- ine« ni d in jnate mesure da "on «en doute, que Pon le nicro . positive ; Ia position tatonr influe d'ane manibre levoirs. _ Stil sotlfee, Padu-- s ont nasez de bon sens dro qu'en »e faisant hous~ o manidre ils se mettent au 'X, i%. bvileraient le obati-- role doit etr» & Phomma, se cheval." Luniformité dans wient ausst esssentiglle que Joi devrarent toos étre de Jn (Nous no. sommes pas en eut Pexiger san« serupule.) + centribuent leut boune Ju. répondcai wtnbuent leut boune mat dos allegutions inu-- ure qa'une regle lui a t Isotr: prétend par-- | a cependant repris & ns exactemunt pareiln. mt uno foils troublé ot is que tous ces éa0n-- d etermiora ormer 4 et perterent rourer q0' ast frangainos gréon ant sont bien loin a la population # accrvit do jour it. Convenez--en pour tin adjour oi PM . .' d coup de quello ost Pinsti-- bprii¢awiicar n de ! ean habit ot de jour chaque ; celte ut lore-- to leos

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