es, en 1851. tet D. Black u jury. cialement ap-- Canada, sor-- C HICK ®-- par le ute des public des des & des visiter son urtont; une on que par la Itigeurs Musique de positions des x sur tous les Carre's, ureté du son, lemeut -- toute ncontestable-- ci au public. ompléte ap-- américains et tinean t une foule y a de mieux ut en fait suiraats TAWA. 'ETE, TTSCHALK URE, ravaux. NEAU TATL , 2400 plas s sous sa di-- upériorité de irait to y6 par més de ar an a s a cré 'ge aur bOttates ROIT ) Y OR ILLE8 le recevoir anada. elles FAITES, dienne HOLAS FFES 2eurs Presse & $2.00 a prié CHICKE-- Port L ~ tm Yh_inin! R--antenirendh 22555 ai réussisses. " Depuis trente "!";P"'rhr-g.h Miais ne yous faites pas iMusion sur le peo de part que j'aurai an snceés. £ je lutte avec les Taibles &n:b%.fim eo;tro cette chose mmefiinfimfldgyen 'no" as-- zd'j-tieo mfwla it fnenn, B duié ow tportaner s + D'autres ont fait plus et e ol o ";'N:;"m- d terrain ; voild tont, mr-mm.hu:-.dmruh. ;pvh-udo toute cette kimidtre. guillotine a perdu son assurince," sans abdiquer pourtant ; chassée do Ia Grive, olle a reparn barridre Saint a ; ; chnssbe ; de h'hnn.. "m'a.'&j!-m.n_ in' Ro-- & Ru on nty | 258 -- "" CHefayant tug Vary, pour-- Quand done la loi s'ajoutera--t--elle 3100i ne pas tuer Elcy? En fiplgne, au droit? quand done lJa justice hu-- fi J a la garotte ; en Russie, la mort tnaine grendn-tfelle mesure 'sur In | par les verges. A Rome, 1'Eglise {nstiee ivine? quand done ceux qui/ ayant horreur du sang, le condamné isent.la Bible com ndront--ils la | ost assommé, ammazzato, L'Angle-- vi¢ satrve de Cain t Ql::nd done ceux | terre, on regne une femme, vient de ui lisent 1'Evangile comprendron.-- / pendre une femme, Ho le gibet du Cfr"ilfl . quand donc' Cela nempdche pas la vieille pém-J' prétera--t.on Poreille & la grande voix litéide joter 'lés hauts cfis, de pro-- vivante qui, du fond de l'inconnu,,ted.erqn'on la calomnie, et de rsirei crie & travers nos ténébres: Ne tuc | l'inn es« On li-unnon compte, int! quand done ceux qui sont en 'cmt%' Eile m tonjours 6té E:a,jnge, prétre, peuple, roi, s'aper-- | douce te ;'ello faiemit des lois cevront--ils qn'il J a quelqu'an au| qui ont Pair sévére, mais elle est in-l dessus d'enx% Rédpubliqne A esclaves, | capable de les appliguer. Elle en-- monarclries & soldats, sociétés a bout" yoya Jean Valjean an bagne pour le J reaux : partout la force, nulle pu-]e{vo d'un pain ! Allons done! il estl droit. O les tristes maitres du monde!') vrai qu'en 1816elle envoyait aux tra-- ch;;zillu d'infirmité, boas d'orgueil. | vanx forcés & perpétuité' leg &mu." -- Th 2 uk oo t u1009 9 C nell Une occasion se présente on le pro-- he use RE LCOE L 0 change e f git Genéve est a la veille d'une de ces crises normales qui, pour les nations comme pour les changements d'age. YVous nlreoz reviser votre constitution. Vous vous gouvernez vous--mémes, vous étes vos prorres maftres ; vous étes 'des hommes libres ; vous étesune république. _ Vous allez faire une action q:;xsidént_:le, remanier VO&I'E" pactesocial, examiner ou vous en dtes de progrés et de civilisation, vous entendre de nouveau entre yous sur les questions communnes ;.Ja délibéra-- tionvas'onvrir, et parmi ces questions, plus grave de toutes, Pinviolabilité de la vie humaine, est a Pordre du jour. _ ,.___ Hanteville House, 17 noveim-- | s bre 1862. t * /4 "" Mowsreo®,--Ce que vous faites est | " bon, vos efforts sont nobles, vos écrits | " sont excellents, vous avez . besoin '" d'aide, vous vous adressez a moi, je | " vous remercie; vous m'npi)elez, j'ae-- | o caurs. . Qu'y a--t--il? Me voild. |le 'Victer Huge ot in polibe do Mort.' est de la peine de.mort qu'il s'a le ~JOURNAL PUBLIE Di M)'fl-n an affamé, d . Non, pe|nous lassons point. ' monsient! : En octobre 1849 !r i:'g. un joge instructeur, voulant faire avouer un vyol d'un f; 'glol d'un corbestible! Encore In im !) a une fille appelée Mathide Wildemberg, lui serra les deux pou-- ces dans un état , at, at moyen d'n-- ne poulic ét d'une corde attachée A cot étau, fit hisser ln misérable jus-- u'au plafond. Ainsi © i potam on vtlet an Remaned is que jhabite,. Js peine tortonnairn L. Dile 0n & par arrét de justice, fouetté un homme de cinquante da ue aicsle Poit © ge Jean Valjean .onblient in [;:fill'otine de Buzangais. La faim a toujours été vue de trav rs part la loi. Je parlais tout & Theure de Ia torture abolic. Eh bien !en 1849, la torture existait engofé. O en-- Chine? Non, en Suisse. -- Dans votre | )22 Cf 9n 0n /a calomnie, et de faire Pinn e Onli-unnon compte, 'cmt%' Eile a tomjours 6té douce te ;'ello faiemit des lois qui ont Pair sévére, mais elle est in-- capable de les appliguer. Elle en-- voya Jean Valjean wb-fne pour le: ; vo{d'nn pain ! Allons done ! il estl | vrai qu'en 1816elle envovait ant tra. se oo Oe ie vaux forcés & J)crpétnitéi les émen-- tiers affamés. dn département de }a Somme'; iN/est.bien vrai qu'en 1848.., --Hélas! cenx %ui me reprochent la buqne de Jean Valjean .onblient in guillotine de Buzangais. vooRk o P . Cet homme se nommait EFC Loo h Inffeiedrearmads Ci , | a.temps .pour que' cette lettre ?)M > | btre reproduite utilement ar les jour-- } naux américains; on nlfnit pendre : | un homme & Québec, un nominé Ju-- --|lien ; le peuple--du Canada considéra |avec raison comme adressée a lni-- | meme la lettre que javais 6crite au | peuple de Guernesey, et, par un con-- tre--coup : providentiel, : cette lettre sauva,' passez--moi Pexpression, non Tapner qu'ellé visait, mais .fulien qu'elle ne vin;t as. (Je lcite cee faite; pourquoi pfm u'il 'prouve 1..&.':.'3;6%. permictst.-- Heélas! lo glaive persiste ausei. Les statistiques de ln illotine et l de la potence oo::serventf:nm hideux Dennii, ; i; u_ C&B® aucun pays. Depuitg--une dizaine d'années méme, lesens moral ayant baissé, le supplice a repris faveur, et il y & recrudescen-- [ce. Vous, J)etit peuple, dans votre seule ville de Gcnéve, vous avez vu deux guillotines dressées en dix--hnit mois. En effet ayant tué Var , pour-- Twi ne pas tuer Elcy? En E{plgne,' il y a la garotte ; en Russie, la mortJ par les verges. A Rome, 'Evlise miveany ; M ul L umcy par six cents notables de Pile, Phom-- me fut pendu; maintenant écoutez f quelques uns des f'ournnnx d'Europe qui contel&aient a lettre écrite cgar moi_aux Gi ex. le supplice, Ww wfiqno' | , Lentement, j'en conviens. Il fau-- dra du temps, certes. Pourtant ne nous déconn\Feons pas. . Nosefforts, méme dans les détails, ne sont pas toujours inutiles Je vieuyde vous rappeler l6 fait de Charleroy ; --en voici-- un autre. . J y a huit ans, a Guenesey, en 1854 un homme nommé Tapner, fat condamné au gibet ; j'in-- tervins, un recours en gfice fut signé par six cent: notables de Pile, Phom-- ven es e 1 eanx ; le chiffre du 1 B'e.n' amoifidri| dans @choug, Bunoonr de nobles esprits se sont dévoués & la méme tiche; et il y a dix mois a peine, la généreuse presse Belge, me venant énergique-- ment en aide lors dé mon interven-- tion pour les condamnés de Charle-- roy,, est parvenu & sauver sept tétes sur neuf. M---;&.v. *.'.u_ ne. _ d'aiidénoncé sans reliche cette :v:oi._:'fiitd-hldd'-b..hu han Racs ardle o Oopartement de in ; West_bien vrai quen 1848... Nt a IR 1862, & QGudtnesey | MNPCTO®. . B.: paroles bien qu'€lo-- eFindemene fos io doee Anarle d z. . Wé M'"-'.M'm' 2 ug, . 108800 | nour il venait solliciter mme de CinQUANtE | lag l'g ohie e nommait Torode. :' *::int-qu'u tlxmr ces Accpp y 'inmone poing, , 31. | vBte tipéier. 7 PP mint des ay-- rn'mar en France le e fer chaud, ils ont Dans votre rique h "i-_----- --fi.;" -:'q- e on uc oC ol flt p tarote Be pacie tos rehie" Voratent 6t an vanité a a :l' Iq:fl venait lollidur' a':'fi'fl':'_";z" qun'ao coor ; Telle qu'elle éthlnnonoéel 12 no-- Puapout £2 C LC ROTUC m P tE "Us ce 'lla ville se :n--ontrzrdnt':nii-?"génémnx envera eux qu'ils ont été expéditifs J dans l'éxéention de lear devoir. w es ....-..ia u';nwpmmnon fat secondée ovin Porkine., A"OIIA.E{EOII' &r., secondé 'P.r mond lore JH;;J' Friel Eer., &'nm..; As Py n e neeh TV NC mination des candidats & la Mafrie it [lien Lundi dernier an milieu dun concounts de personnes qui en 'w de Vintensité du froid E'étcit rendu & dix heures du matin en face d'Al'Hm]'d&vvri"F Lett Eer., Gref ne «2. F T. rel-- fier m:&té edt annoncé lnynomi-- mation i de# cantidate, M. J.IBQ:. P;;- ' mtunlr-et roposa M. G, B. Lyom_ _Fellowes ;peetta matian &4 Jsent. _ L ( teurs. dn sent. _ Le jour de Pan les petits por-- tenrs dn l{w distribugront re(:lr adresse ou "soubafts dg.nogvel an." ,l]-.'t'i espérer que nog wbonnés de geud1.dernier étant fote d'obiiga-- :;'onp(Noe"l) et Joudi prochain le jour J. K. Derien; Redactenr,| Samedi matin .27 Decembre 1862 KeWourriet b Ottatox. dus, ge TL & Landres, trois 'ZS?.:?.; de la classe des rt?ged (déguenillées) furent condamnée & mort pour vol. Le plus , le Ne calendar oonshh l":?fit, n'nvs;t pas 'quator-- ze ans. Les trois enfants furent pen-- Ana 2 0 UInpl! son rale pour répondre: out, oui, dites--lui queje Daime. _ Au commencement du sigcle sous Geor-- hib 20 t vat l en hh sds t 25A * |'ta la camisole, découvrit jusqu'a Ta ~| ceinture le dos de Is femme, saisit "{ le fer dans le réchaud, et Tappliqua, ' | en appuyant profondement, sur 1'é-- | paule nue. Le fer et le poing du 4j K:urruu disparurent dans une fu-- | mée blanche. J'ai encore dans l'o-- |reille, aprés plus de quarante ans, |et j'aurai toujours dans l'Ame 16-- gouvmhble ori_de la surpliciée. our moi, c'était une voleuse, ce fut une martyre. Je sortis de 1M détermin6,--j'avais . seize ans, --&A combattre &' jamais les mauvaises actions de la loi. De ces mauvaises actions la peine de mortest la pire. Et que n'a--t--on pas vu, méme dans notre sidcle, et sans sortir des tribunaux ordinaires et des délits communs! Le 20 avril 1849, une servante, Sarah Thomas une fille de dix--sept ans, fut exécu-- tée a Bristol rour avoir, dans un moment de colére, tué d'un coup de buche sa maitresse qui la battait. La condamnée ne voulait pas mou-- rir. _ Il fallut sept hommes pour la trainer au gibet. On la pendit de-- | force. Au moment oh on lui pas-- | '\r'tle ncoud coulant, le bourréau | ui demanda si_elle pvait quelque | I chose & faire dire A son pore. )?lle ' interrompit son rale pour répondre: | £ Jeudi.dernier it lige!"" " 7C200rer durant le, terme que 'esrean au cou, écriteau s gtt';':'ldnm son inandat. . T fit ressorti _mh i T snets | doke manidre claire et concise le mé-- I-II: Mbtiig ""d."-n. rite comme les défectuosités dos mé-- ou une jeune femme. Un ré-- sures agitées et débattues par in pré-- 'chaud plein de charbons ardents soule :gniniutuionm 1w it & ses pieds devant elle, un for oi Inunitipaln 40g+ r" tag w 6 fignm avec la précision d'un savant manche de bois, P""f' dant 18| homme d'état ot dun financier con-- braise y "'"&-l'- la foule semblait soming les remddes les plus efficaces contente. tte fomn!o était . cou-- pour la réforme des maux qui, s6-- pable de ce que la jurisprudence vissent sur notre ville depuis qu'clle Apr.l;e vol b-my-: st.la métapho-- | eat laissée a elle--méme gans Passic-- re banale, danse de Punse du Panter-- | tance d'un maire pour véiller & see Tout!eous. comme midi sonnait, | intéréte matériels. 1 parla dune en arrigre de la femme et sans itre mani¢re habile, contrastant bien sen-- vu d'elle, un homme monts sur siblement avec son opposant sur 6. 'échafaud ; j'avais remarqué que|tat de nos finances et sur l'énormité la camisole. da huwa As ... 1 2._ 2__ | "1" C® no# Hinances une créature flllrlling"-- -u-nel-;;:o' fille ou une jeune femme. dn ré-- chaud plein de charbons ardents P'n & ses pieds devant elle, un fer i Ottawa, (R= C.) Samedi matin 27 Decembre 1862 une émeute de lhlngg 'ltph.lfl.J.FrNI... ul s'a-- l'tlloumhl*m N 'nq-don au milieu des -?mh-& la pénalité, tons | tions les plus frénétiques de la foule ion, qw les "%h. inriuu & Pentendre. despas finor;nl fait Friel fit un discours qui dura les circonstances atténuantes ! ml_d'nlo heure et <i! tut plus d'ung vous m;:"?""" fue jo vae lon m:m poulr.:ddwg " A Paris, 1818 ou 19, un jour d'§-- | la gfl'- I "e%m"" l'"'f', #€, vers midi, je passais sur la place | cotte 6"'{""' Phabileté qu'on lui du Palais de Justice. ny.,mnlwnnk;i toucha tous les points sar utre foule® autour d'un poteau. J,l la-&nol-.le futur maire de la cité auy -'W',, A ce poteau était liée!"* 4 délibérer durant le. terme que (L4 fin au prochair numéro.) d LA Nomination A nos lecteurs 8 LES INTERETS RRANGCO--CANA DIENS,DU CANADA CENTRAL --de-- ite, M. J. Bte. Pa-- roposa M. G, B. cette motion fat _ Oftawa a va, m;;;q;;ul"nvhw de minnit, Cest & ln Cathédrale on nous arons 616 présont ot gu'a ou: lieu cette féte oute céleste et par les chants stiaves et tri omphants do cheeor de in eathbdrale ot pa; $ Conaling Sm on d e O 1 In piété dee fideles qui #%y btaient it adefc dA d sur Noél ot les fétes du jour de Pan dont nou« publiote anjoardhui quelques oxtraits : 8i le printompe parseme les champs de fleurs quand vient le riant mois de mui, le eatholicisme repand sor in triste at froide saivon de Phiver, sur les moin do décembie et de Janvier, de saintes fétes qui sont comme des fleurs dats !a ie do peuple chrétien. . Voyez qu'elle sucsession dtjounJ j x : Nobly ler sar Innocents; ie -- Tier a. Par'le i §ote / pr Noél anrtout, Noél est encore et sera tou-- joors in grande féte popdlaire, la feté des fa . milles, la Téte de Phumanité. M. P. Do. pout P'a bien senti lorsan!il 6e aas ak..... . |_ La nouvelle année va done s'ouvrir. Les fetes de No6l, et see cadeaus ont du plaire & plus d'un titre & un certain nombre de /a fip-lniv'n fraheo--canadienne et anglo--sax-- he de notte ville. Nous prenons de 14 occasion: de prévenir nos lecteurs et tous. ceux ui s'intéressent & la candidature de 2{. Friel déne pas demeurér inactifs avant comme durant la lutte et de se presser surtont en masse les' denx jours de votation afin d'Gcraser notre adversaire sous le poids d'une majo-- I rité foudroyante. W OIIL Ainsi point de paresse et que cha cun soit sur see gardes contre la cor. raption et la déception ! ! ! t nattiome fois depuis gu'il oo'c:upe ln gluufie qui lui impoue?e devoir 01n'il romplissait . dans le temps actuel et l'usemblé: so dispersa. La levée des maing fut déclarée en faveur de Mr. Friel et M. Fellowes bien que plus d'une fois déja téemoin de sa défaite et de son manque de conflance demanda le poll. Aprés quoi. W. P. Lett Ror., remercia: en peu de mots F'auditoire pour latten-- tion:et la:concorde qui avaient ré-- goées durant l'nssemllée, ce qu'il avait le plaisir de constater pour la q]nntriéme. l;oi§ 'depnis qu'fl' occupe la _ I! énuinéra d'une manidre brove (ce & quoi n'avait pas songé son an-- tagoniste) leg nombreuses obligations ufi:: devoirs confiés & la charge du premier Magistrat d'une ville et s'en-- ggsen publiquement & s'en acquittor délement, En somme see paroles furent gou-- tées et appréciées & lenr juste va%:nr rar la: foule t?ni le prouva par les ongs applaudissements (lni couron-- nérent son discours. _ L'assemblée fit silence et semibla consulter encore du regard M. Frie! et le solliciter d'un commun accord de vouloir bien Dentretenir plus longtemps ; -- maie Pheure était uvancée 6t i1 gliut pro-- céder & la division aux cris de Powell, Powel, ce Monsieur qui sait si bien définir et peindre Ihomme flétri qui vient pour semer la division dans nos range et faire de l'ofipo'ition an can-- didat ')opnlnire M. Friel. Ta lavén Ausdhan e i anar id Noél!! des étibles anx granges Chantez, vallons, danger hanteure ! Jésus descend, quitte ses anges, Pout le beeuf, Pne et los pasteurs. Eo attendant Ju mevse, on veille, : On babille, on chanté un No#l ; Dans les récité.do in plos vierlle La jtmu}ma; sou 'lll'in d.' sdl, Gargons joufflus que Pon s'em use, 'Tout fhiz rasds, %Clll de dnp':" Filles en blanc, vite & ln messe Une étoile vous guidera. o o t emntnitne ét Pabsurdité de Pimpot de 5 sh, 6 deniers dans le. louis trouyé raison-- nable par M. Fellowes qui fut pro-- posé et soutenu par P'administration actuelle et sur les moyens & prendre pour en baisser le taux. Chronique de points qui attirent le plus Par')tion des maitres et des : igne sont tonjours "Rewie et | de T'académie d'Ottawa. »?:-uqh»n%;-a.. _ nbavead capitble. baldi Waus o theerva 'lbn le libre, in F t¥ publions . no. jour uhs vvee :Th&-fl::.: letite de Victor Hugo sur in puir Pare on e Pive. . Lmapie: | dout Ghetgtniraafntemen wite e 'ot de respect gai a. conduit quelques: sophismes, slle ; bercenn de nos anobtre i} y a | 999# #00# 16 rapport do Style. No W¥ l HHHG Snitialis aecutcs~ Inaviaw t Ts uht nnth memen i. It semaine, réunis. Le soir n:: Nien 125 gim'-ib:'uion des prix qui pinsiours dialogues -K: frangais ef de 1 Iolct:sl dc%momq.qui*o-t éc: bien aecueillis, > is¥ infoncare Aif comiohent mt ie rs qu uisent cet -- blissement ;u'illd.laurl." Muz comme margnes respect ot leur -d-:L done tont--A--fait prin-- ciers. . On ne runh Mlnqmo- ver plus haut le mérite ot la réputa-- _ Mardi dernier nous avone en le plaisir d'assister & lexamen doséléves de Pacadémiec de cette ville condnit par M. Thompson, dont Phabileté comme é;mfi-mr des hantes bran-- ches d'éducation est maintenant re-- counu dn public. | L'entrée ont gratis et nous engageona tous nos compaftiotes & se presser autant que possible i cas soirbes agreables ot salutaires. Non« apprenous q0'il y aura josgu'h avis contraire, chique Mardi soir & 8 heures, une lecture dans les salles de 1'Institat Cana~ dien--frangais de cette ville. _ Le savant lectoreur uvait done pour: sajet "Ihiftoire de France" et il #en est montré bien abondantment pouryu et Patraité avec toute la force et la beauté dont le sujet eat sneceptible durant tout le cours de sa longue dissertgtion. T q000 onl ts La salle était littérnlement remplie de |'élite de toutes les classen de la société et le plus religieux silence a'est fait auasitot que le réverend lectureut : eat pris le: fauteuil et commencé & dérouler les différentes phases de son sujet qui avait notre vieille France, notre afeul pour fliment, stjet bien fécond surtout quand il ost traité par un de ces en-- fants exilés du bean sol de France qui lui a ' donné le jour. y Comme on le sait cette lecture devait inaugurer Pouvertpre de--la sétie habitaelle denitrotions dhshmminlquinfuilchnque hiver sous le contréle de I'Tustitut Canadien francais de cette cité et & laquelle se ratlient toujours;avee un nouvel empressement toutes les classes de lasociété avide de passer cha-- qUe semaine une de ces egréables soirées dhiver ; celles qui font toujours de si pro-- fondes impressions au otur de ceux qui ont Pavantage de pouvoir en godter le parfum. Oe début no pouvait étre confié A une plame plus habile et le savant lectureur s'ést montré en tont digne de la riche q@'on lui avait confi6 et do in contfiance que sa ré-- cente arrivée au milieu de nous a fait naitro dans Pesprit de cou q@i ont o0 Pavantage de l'entendre dans I& chaire sacrée precher, les raines doctrines des vérités teligieuses dont il atest montré un: snvant dissertatony . go9 e OE pa td Cependant daprbs les nous ont ét6 données par auditents nous groyons: ¢ une courte apréciation. Diew dans le ciel, et pair hommes de bonne volonté." I tivement disparu (annee te événements) 1863 annon monder cette paix universe impatience, et qu'elle appc lombe, la branche dolivier me sur lequel les nations Memen ntt TW Depuis ia: grando victoire des armées du Sud contre Jes fédéraux prés de Fredericks-- burgh.--On sent que M. Lincoln ue prend pas les moyens dignes d'un gouvernement paternel qui vise avant tout & sauvegnider les intéréte d Phumanité et de. !a chose pi blique,{plutdt que'de ao rendre aux exigenced\ d'un parti qui est lom d'étre national, au lien de cheroher & résoudre le probléme de la di« ficulté pq'.n!e, d'avoir une liberté sago, des citoyens sans factions, ot un pouvoir ex« écutif fort et énergique sans tyranme, A quand la solution du grand probléme ? 1863 le dira peut--étre...... La France comme I'Angleterro se regar-- dent en présence de ce grand conflit doutre-- mer et se demandent v'ils doivent wterve-- nir dans cette gubrally de familie qui mena-- ce de devenit interminable, Soubaitons done de tout notre cour que Pheriti¢re de 1862, quand cellei aura difini-- S e m en on ooitl ' #*est--il répandu sur un terrain rakérile ot in -- grat?" Tout semble incempréhengiple pour le grand nombre, ot @#pendant tout noq{{il voirqu'lo&nlnupundouumlp- tity on nous prours que ses babitauts veulen t eondiirel lears propres affaires. Laisses--lus faire disent une vertaine olasse 'd'honimes, mais ce sout les orls do tous les idiots qui veulent togjours avoir raison, ot qui donnent wu thonde le spectacle do lour folie. ,""'.""-P'i"l-. car eie eat la | Eon es 2 t oniepaiee Jntfi o tandie est la 'plas h-pr:lh est awesi Jn plu libérale et x plas italionne, Sur ce contineat, in grande question y tique du jour ust calle--ci : Le .qu.'..fi IMWW& P'Union doit« elle cesserd'exisior ? Le public parait alurné, les hommes'de iohigs les uuances politiquee ""*""J.lllulul-ilho,nnlmthqu;_ vive et s Ubinandent tour & toms ;--© > *# Est--ce li le rdbuitat das lutes do nos prédécsasnars P Lo: surlgirereé par no« phros ataas i4 02 2O NT L Institut Canadion u (annee templie de graver 863 annoncera aux deux rix universelle attendue aveo qu'elle mpportera, vraie co-- + informations qui r quelques uns des devoir en doriner _¢! celte oriflam. liront--Gloire d sur la terve auz ... lepension de compurer _ Nous) soumettons ici nos "n, Clest A Pavantage Uo public. Ri saugbnt excuser des dépenses plas considérables que ull'qn- nous iridiquons ici ; lemofitantfest ooA o en ognt (Représentant Jp montant da coft des édifices et donnant 33 semaines de lll'lll pour In saison. A77 Journaliers ponr préparer le béton : . 60 Journaliers ordinlir":.. m« ... 882 ""Prenant 200 jours contne moyenne « ur;&c nécessaire, nous avons done ; ouvriers, 200 journéet, & $2 par (éte s« «++ > .. $132,800 892 journatiors, 200 journées, & $1 par téte. slall2. T400 Ajoutant 10 p. cent pour dé peoses imprévues. ... . .. . Ajontant les frais de construc tion de la bibliothéque. va Edifice du Partement. s v Te kforim.) "En comptant comme nous P'qvone fait dans notre article sur les édifices des dépar-- tements, un journalier pour chaque ouvrier, nous avons maintenant assez de donnéss pour dresser Pestimation suivante ; Macons briquereurs. resies i+ B Marbriers. ssiees $9 Polisseurs de marbre. senoceeer WWe Menusiers. Aersces §# Charpentiers. rasnee 60 Tailleurs de pietre. s2n o. <. 60 Mabriers gt polisneurs. taveanes 16 Platriems: c on « $211,200 Codt des matériaux, etc., ete., 145,000 Ni eutan e en en on e sur les . exigences du, pays : que chaque comié en particulier, examine soigneose ment ses besvins, qu'il tasse les zl':lianl qui seront jugees avantagouses an gion pu-- blic : que fa représentant de chaque comié soit mis d'avance au fait de toutes ces me-- sures, et de cette manibre ce representant des iutéréts nationaux se préparera & les présen-- ter ob leut véritable jour, et il les discute ru suivant leur merite. Tailleurs de pietre C ouvreurs. Avmere ue d gevblnmiun. rereaces d ons. fomane Soulplaurl. etrased Poseurs d'appareils & gaz et a vapeur, __de sonnertes. etc. wuus 1 H e en o en ttny. -- l1 {nudra--que les riches donnient d'avantage de leurs an , et que les gens simploment a Paise sont encore un peu plus que t te pass6 pouvoir donner d'avantage. E'mufi:- ent |:rc des expressions, u.&'a symboles do la ondrité, cette vertu des ver-- tus, et elle est une source de borheur dans In vie présente ot.uue garantie pout Ja vie & venir Que I'on donne dono sans trop calculer, se souvenant du dicton : g«b Jn charite n'apau-- vrit jamais.--Franco-- Canadien, TUCemer Cu Dols, . Dieu et les bons pnuv'n-. mi a'entendent & marveill¢), . les béniront. ghi- il n'en faut u#mm 18. _ 1! no fau« drait rn oroire que ddla suffira pour erapé-- gbgr les souffrances dos pauvres, ou pour les :diminuer~berncoup. _ Nous oraignone bestbonp que in prolongation de--la guerre améribmine ne contribue & rendre cet hiver plus urngt pour, les pauvres. que ses devan-- ciers ; Mum done se préparer & ouvrit plus q:l'i l'urdimin. les trésors de 1m charité. th P omm mm PPDCOBC ETVE Phiver nous.menace plus les' miséres et lns souflrances svront grandes ot an la charité doit étresmetive, ingénieuse. -- Plus in saison est froide, ,plus ta charité dit dtre ardenie. Déja des mes monlmgdnu; des &mes bieufaisantes flpx fngp. ln poue de tous ceux qui ont 4Js) bonheur de Paisgnee pour leur demander légere aontribution pour acheter du Eil,%igu et lea bons pauvres,. La saison rignureuse s'approche aveo son cortege de . miséres ; il faut u-r aveo elle, inutile dovtl:ir se dérober & ses mor-- telles caresses,. .Lo pauvre so prépare & re« cevair dans sa miséruble demeure . cet hote terrible qui ne demande pas hrm' i di¢utrer, et qui pénétre rnnu it troure !a moindre issue pourlui ivror passage. Plus Phiver nous menace plus les: misdres ot lea :oqfl:unm soront grandes ot Ju ln charité , Une injustice, ¥ h6 Ond a acensé M. Friel i:'nvoir dit le our de'li nomination--*"Je ne venx ,jsolut des yoix des nnboryn-, ou es charratiors®' M. Friel n'a 1nul| i in fadk wil n' i im on 2ng§ des anbergistes, on des char-- Mlou,'"oom%':ol- s'6tait m'iqnt ci--devant'. qui ont iqué cette nuvdhtlhugt binjustice. ' on Cb U sare w y »riaiit La prochaine Session. Total LHiver. Vattention publique .. 45,520 ¥501,820 456,200 $56,200 100,000 chaque ignense 1{1':linnl ien pu-- com1t6 10 10 10 Sterenson A/ do les abolitionniat prés les avoir® On dit hch«nnt . On dit sussi q _ Le méme journal dit que les . dow wm.g':': urriére'de Fredenio®bomg Le 30 regimant de la Catoline di " prokijue angang. . "° 1* Carotine do Sod « e 'Lew généranx donfédérés Gregy et Cobb: soot mo nombre des morts ,outre un grand: nombre d'officiers de campagne. _ -- .. -- _ Le Despatch de Richmond,dit que tes Con-- fédértn uit pords 200 a n butalliente Fra-- derickabourg. __ _ C ho Nepusbrtedimailids ch c l ch uid c ' Presque tous ces morts avaient é6 db pouiliés de leurs vétements 'ot gisaiout nus llerI' um-ll: whorele, t m rapports officiels, tion duwl':h ot NIPIT,'G dane in m'""i: taille, est moins grande que dans aucun autre engagement. . perdu 2,830 hommes. on n td 1 deees dn Potomac mandent qu.'%';m fedéranx ont é16--inhamés dans Paprés--midi du 18. Pr.oEu'o 1008 ces morts avaient ét6 dé« 0 le 'd'un grand a ......-.ma:nunmui n e un grand meeting dans ue umpl"uluc ln' question de 'd'flllm!l.q an Président le rappel de M. Stanton. _ M. Butler va 6tro remplacé & la Nouvelle--Orl6= ans par le genéral Banks. On I ui2 in e d ertmney occupaient les loges grilléor ot les unionistes: le parterre. On commence & comprendre aux Etate--Unis que MM Halleck ot Stanton: wont les vrais coupables ot que M. Lincoln, qui les a laissé faire, qui a sanotionné leurs ordren, est loin d'étre exempt de tout bifme. On exontre entiérement Burnside ;« on pré-- tend 3n'll a agi sur des ordres formels ye~ nant de Washington. . Au conseil de gootre fenu avant la bataille, tous Jes chefs de wrz étaient opposés & Pagression, mais Burnsi déclara qu'il était foreé d'avancer _par ordre de Whtzn'ton. Lors méme que Lee aurait dicté lui--méme les dépéches du général Halleck, dit le World, leur teneur n'aurait pas 616 différente. Sans Ja pluie torrentielle qui a couvert la retraite de Bornside, Var-- mbe fl,i! n"xpmh & une destructioncertaine. Acedead se n Naw Yorx.--Des dépdches de Parmbe n on en ce Ceux qui examinent les choses froide-- ment, sans aucune unfénlion. évaluent les E'm" éprouvées par les Rédbranx devant rédéricksbarg _ 25,000 hommes tudst blesséen ou pris. Un cnrn?nndlnl da He. rald wffirme que les Confédérés ont fait beaucoup de prisonniers, sane compier les bleasés." Les seuls corps de Couch et do Reynold onlnrrdn 14,000 hommes. . Au di« re do Burnai lui--mdme, . les povitions de Pennemi, ne pouvaient étre em portées.. L'Express dit que tle nhamr de bataille to-- présentait uln n?-uu. dont les sécossionistes MRavi in hh shanlythe dsc ds " La viuus pe Faepemcrsnvao.--La ville de Prmlariehburz. qui vient d'étre bom bardée par Parm fédérale, comptait, aui-- vant le dernier recensement, une popuinlon de 5,022 habitants. ~Elle contonait six Cgli-- ses, huit asiles dorphelins, doux séminaires, trois journaux et deux bangques. . Elle out sitube sur le Rappahannock, & la limite das marbes, et & -oixlnu-oinq milles par che-- min de fer au nord de Richmond, c'est--h-- dire & peu prés égale distance de_ cette ville et de Jnhinmcn. Les rostes de Mary,, mére de Washington, reposent prés dfll vité, oi alle a véou pendant longtempa, Avant la guerre, une ligne de steamers £;~ wait un service régulier aveo Baltimore. . Cé service, joint & un canal et au chemin de fer, entrotenait un courant d'affaires impor-- tantes. _ De plus, les eaux de in rivicre tf&' niseaient une force motrice qui-- alimentait un certain nombres de fabriques. f PS Lc' us 1 La d LeCommercial Advertiser constate que le bruit court que le général McLelian a re« gu ordre de se rendre & Washington, ot ?'il east maintenant en consultation avec le us wident et les membres du Cabinet. Rien n'est avére & ce'sujet, mais une personne, dordinaire bien rensgignce sur los faits ot gestes du gouvernement, a dit quelle no serait pas aurprise d'entendre dire que Mo-- Clellan est maintenant dane /a capitale pour affaires importantes. Des dépéches 1'Athdnes en date . du 5 «lécembre courant, unnonce que . la votation pour Pélection du Roi était 'commencée Jn veille. 2,800 signatures toutes favorables & la candidature du Prince Alfred avaiont éto prises. L'ilrlian 'or celui--ci est m comme certaln¢.--Il surgit tomours fioultée dana la fnmnlio:':m nouveau minis« tére & Turin. On donne cependant le: nom de Passalini comme ministre probable des alfaires dtrangéres et président 'du Conseil; et celui de Muighetti comme ministre des finances.--A Pouverture des Cortés in Reine d'Repagne a r:lb des graves événéments ui sont arrivés sur le c6té . de Cuba. Né-- anmoins elle exprime Nespoir que tout sera. régl6 sans troubler la boune entente quiex> iste entre le gouvernement d'Espagne ot o# luj de Washington. . Chanson comique, _' Les Fourberies de Scapin, en /n gf-lr'nh ; Chansons comiques 5 (La metem ) M it de noop (l'm en or L"&W en choour. Diew sauve la Reine. L a portes souvriront & 7} hout 'unce commencera & Sh. Prix d'admiasion o m--.fihl...rw 'Mque ot Musicate du Cercle _ Litteraire de in jounesse .. ui aura e courant C I'Institut--Canadien. ; P'ts)-:idm r-.'.l.Eu.. mignour K. : Guigss W lerina ts is Beete o M Poriins Les Guidea de Bagndres. (Chant Monta ';.,'_"'l','," général Reynolda a Nouvelles des Etats--Unis. 446 419. No. XXXIX-- ueo en un aote.) 74 houres; in 26-- 25 cents. . £+054