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Le Courrier d'Ottawa, 16 Oct 1862, p. 2

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Une grosse fleur aur une tige courte; une ; petite fleur sur ane bnguette longue ou tror hmute ; enfin, une fleur grande ou petite sur une hampe fleaible, qui in Inisserait se pen-- \ther vers la turre, ser.siont rejetbes, eussent» tb vame le plus bean, le plus: parfait. . Les couleurs sont dgalement soumises & dex réglon troa rizoureuses : elles doitentétre Anee; pures, franches ot persi--tantes jurqu'd in déflornison. . Elles varient de nuances on-- Ateilea & --D'infini' wor les corobles & fonds «@a servir rhciproquemen: deoppositien, atest~ ,mnjlui.nudhr. y® 1\ On alistingue avesi dans les pétaies Tos &'l terment le eaor ou le fond dh (wases <ill sort ordinairamen.t bien de Pruase murd'indigo, on dlune pur. Cette dernitre ©ouleor ust in plus extimée, parcequ'alle in-- ' ane plante invarwble dans son colofia * wont les Tulipes des amateurs. . Bou-- niee peries demoisblles! que deviendriex o *w' w pour se trouver des compagn Ma'l.flhibsqn lo# Amants de Flore ? . I iez pas qu®il fam e whe ir n nflnu:E. o In ¥eite ? N* jas : loa afip lots gui m s file : calus In , ime por, image ...'-:..."& réchorohé et estimé ! !..... blands, --Lea tulipes dites d ind blane son @ellea 'qui' nont pas i moindre nuance de jeune. . Les Lizarres on & fond juune doivent au contraire navoir avcupe nuance blanche. Lrequ'une fleur faite ne présente que deuk gouleurs en toot, n'mporte ses au res quali-- Pailleors, elle n'est point estimee :: il fa h?'uu-. ot de riguent parmi los fleurie-- qu'ane troisidme couleur, on nuance de «es deux ~autres, les farse reseortir. hflnbfin ou nuances réunies doiveny «! Les: qualités recherchées dans in tulipe patiles connaissours les plus sévares sont : une forte Aampe qui supporte 1a fleut temi-- na'e aveo fermeté ; une caroile composeede six petaive bign eicffés; ces méines pétales dispovés de muurére 00 que leur ensemble présente un vare élégant, dont les bords soient .otbiculaires. S'il était festonné ou pointu, si méme, coupé ciroulairement, i se renverserait en dedans ou endehore, a plan-- ; to serait rejetée. . Le vase no Jdoit encore dtre ui trop long, ni trop court, ou bombé an @entre du disque de chaque pétaie, de ma-- pidm & ne pas former Povale d'un cuf. L'oritice de la carolie, quand elle s'entrouve, doit avoir dans son diamétre, ou plus grande Jargeur, & ju pids un tiers de moins que in t.auteut do la fleur. deux anndus que.des flours défectucuses. D rate, il no faut pas se décourager, les ¢a-- prices des piznouw sont comme ceux des Dames, ils ne sont jamais durable, et lev an -- nées--suivantes, ils so remetient & donner danssi--bellcs fleurs qu'aupuravant, s »aont presque pas besoin d'ar« ri > 11 ast utile de plucer de sur in planche le chnusie dusti -- .. @6 & resevoir un petite tente pandant la flo-- n'r. \/Oa peat ainsi lour ménager & volon-- : «t selon le besoin |'eau du ciel, en obser-- m!glsuh-h toujours la terre plutét sd= 4 Sous le climat Canadien la mm"" inconstante av prin-- * 6st sujuite & des retours. de gelée tré« 5 reux pour toute espéce de végétation, La tylipes en. souffrent, surtout loreque . ln . golée, succédant brusquement i la pluie, sur-- predd nw les cornets furmés par {les feuillos au fond desquels rape-- m'flt Ih fieur. : Los vrais amateure i pma, pour prévenir les accidents «@qui ea,résultent; de pomper cette homidir6, <@oit.@veo un morceau d'éponge, soit aveo une ,,mfifi'";il'uu le: second de ces deux pro-- jebdés, quoiqu'un peu moina éxpéditif que le (premidr,® 68t, plus commode.. Au milieu de | Mai,--bemuooup;de tulipes sont en flour ; it ast 'temps de poser laitente sous le chissis sans attendre la.pleine flornieon. . L'effet nuisible . do so'oil consiste d'une part & altérer les nu-- 'ances ds tulipes, :de Puotre & hater 'épa-- nonisvement et In chiie des pétaies que l'a-- mateur cheroho < au contraire & | retenir : le {pluw Jongtemps--possible. :. Muis sans --le so cours de lPair et de la lumidre, les tulipes no saurdient sequérir ni lear complet :dévelop-- pementy ni ie plus grand dolat de leurs nu-- ances. : Quand lo tempe est bean, latame ' me doit. pas. couvnr les tulipes plus: qu'il |; neat nédeseaire pour. les préverver do con-- aact direct des rayona solaires; : Les tulipea 'n'ont pus besoin d'oan pendant tout l« tempe de--lear Aoraison. . Quelques tulipes d'aill¢urs fort belies sont #ujeites & ce que les amuteurs nomment don eaprices, @lles no. Awurissent paw pendant une année, ou bien elles ne donnent pendant (parie rupbdeunt. on sait acinet ave --® le choisir m temps couvert, mais see, 5 Oatpiant los dnilh;: A ln fin dour, ce le. La péleur do lous ver-- dure ot in . a de .lour végitation in dlg a 1 t :oelles qui ont moulfert de Phiver t qui sont attsinies de 4 :, I faut mussitét los: enlever :h Paide. de in truelle ou du transplantair, sop m" uns lame bien tranchante }8 . s endommagée de Voiguon, ot laigser in apm &lair libre.-- Cette.opé-- vation ne pout se faire que par nne journée dire enlerbe: qne qoand quatre pouces an--demsue Movie: que qoaod | \> 11 fau offet, -- comte To © di '.'*":--1- H-l-:'.:-mudum'r vm.' quilz6joors aj rds | aause soit biew malaile qma dlle me portet wraine | n'a pas d'autres arguments a 'pré-- none dust on ¥ou! | sghter. m"" P3 aux accusations 6 por-- angoer inot !gmm Soutre la 'popu-- h soveres sont: | _ ««D'abord est--ce le voeu de In pro-- la fleur temi-- | vince qu'Ottawa reste la capitale? le compones de demnn:]e le rédactenr en question-- mémes Petal«® | Incontestablement non! Les gons lour engomble i armull 222222 lt To 19= L Majesté, ot le son ne «dit lut bl:tllo mfiu:r;.:".:? adres-- sant us i compliments upq'lodmw;. comme étant 16 moins emilisé du poys, : 6t © compre-- nant par instinct (raison de animal) 'Ottawa no devrait pas étré la ca-- Titcle dut Canarent i f _ Le Pays, organe du ministdre par-- * C hmBhinbntithe du is pro due dé-- w t a prétendue dé cision de Sa Majesté n'e':mnnoqne pour lés esprite distingués qui n'en vent inv ~une ,Aum d'ail-- re "od nm' de persubsion est m maintenant que les m:m'- ia moins:suave partic do la lle choisie," Done d'aprés ce journal, 'hon. M. McGeeappartient ainsi & .la ..classe de ces esprite distingués / / Le présent gouvernement déclare qu'il maintiendra la --décision :--de--Sa Et dans in méme§gemaine, lo Pays qui se dit I'orgnn'e*d.fi minfuém,a!e mogue de la presse et du peuple d'Ot-- tawa par ce %';'"l digent La reine a déuidr:--et vient ainsi comqmmettro sa 'iwopre canse sans consulter ceunx qu'il veut défendre ! d'Ottawa mome n'osent pas Vaffirmer, Tis comprenniont @nstinet qn'il y a eu l8 surprise, inh\lgue et ronerie, nulle-- ment droiture, réflection et ben gens. Il y a quelques jours L'Hon, M. McGeo disait gnbliquement & on 'di-- ner qui était donné en son hontieur par les membres de la société St, Pa-- trice de cette ville i l'Hotel Dan. Goodo, que le gouvernement no se rait qnigé fl\e par la décision dé Sa Graciense Majesté, et qn'ancumio con-- sidération quelcongue pourrait ]'in-- duire (P'administration )E' changer le Krugnunme du notvean rabinet qui tait do maintenir cette décision. Voici les propres expressions du Président du Conseil :--* Ottawa n'a pas été de mon choix,--mais cette ville a été choisio par Sa | Majesté-- cette décision a été frnnoi:ement adoptée par le présent gouvernement et sera franchement et en son entier mise & exécution par nons." _ _ Le savant rédactear accuse les journeanx d6 Cette bourgade (Ottawa) de w'appnyep nniquement que sur la raison donngo par enx "La reine a décid6é" _ (Pays dw11 dourant.) Plus nous publions les résolu-- tiong p&a a l?lnsmnt Canadien lundi soir, an mom du_ peuple, des membres de la Société St. Jean Bap-- tisto et I'Institut Canadien d'Ottawa en réponse anx lfi?nefi protioncées par Je Pays de Montréal contre la population d'Ottawa. ©E0e Une population ":i. prise en . maske, n'est nullement préparée & en fxire son pro-- fit ; maie & . quoi\ sert 'de raisonner® aut une ehose condamnée pat le bon sens public et Popinion universeile hors dan« la: seule lo-- onlité on Pon ait fait de la question du sigge du goureruement une ' question ,de pain & manger pour los intére>s6s. Les Batisses du Parlement et le Peupled'Otrawa. . Nous pourrions peut--étre ajoutet queis'l eat quelque chose de. ridionie; c'eat d'unyoy er dans une population comme celle d'Otia-- wa une eplendide bibliothdque comme celle de notre 'éwislature, d'aller enfouir de pr-- reils, moyens d'inatraction -- et geta duns un pays 00 ils sout a1 rares ~--daus le ~recoin lo plus reculd, le moing civilise dsn . pays, et dane une pupulation qui, prise en masse, A dater de ce Jour le Courrier paraitra le Samedi' matin. IW" Notre Presse--i-- Vapeur étant en. besoin de réparations, nous avons été dans P'obligation de remetire & aujourdhui [Same-- di} 'impression du Courrie» Bamedi matin, 18 'Octobre 1862. | 568 4°": K¢Gonrries i Ottaton Ottawa 15.aots 1862. Les cignons de sulipes se conservent dans L ) 4. Demers, secondé par M. L. A. DMITIE | Grison que M. Isidore Cham p a h Qnma pt'l'du?' de l:immé Bt. JaupdEI:- mrommnmrmprarcictn----e:».-- ... [ tiStO 80it pFIG--d'agir con ident o ons do setie imemones onA T W We Derion, Redacteur. auing comme secretai nss6. * * Lle rl:ltndo l'-nmbm étant expli-- oc fiko <Nda uns ;. IuSX ~~h400y,Mensicure ~Jus ~Drsc Dorion. aisit le moment oi los feuillor &' jannir sans dtre désséchée» Uv amative ind MM. les Yenkeées cherchent avdencs onvricrs wfin do les on trainer dans in Mz'bliqu voisine. Apros it oc ccns s Un correspondant -- do catte vill «'udressant & notré 'confrére daL'O-: dre eorrobore nos avandés anr c6 que disions in étijet des efigmgoments us o ie on "eoet dgt eitiiingoments C & sprendvte »bibliothéque de la| . Mercredi soir, le fen a consumé la !éf'llltfl"e'. en autant 3n'e|leu croie| maizon de M. Henry McCormick, A la hauteur des études comprises| coin des rues de 'Eglise et Dalhousie, !iunl les couvres ti sont sur les ra-- | occupée comme grocerie par M. Bas-- {om de.cette ibliothéque pour | kerville, M. McCormick était assuré 'inatruction ~du peuple en général [nu montant de $2,400. Sa perte s'é-- et dea membreside notre législature | léve dit--on & $3,600. enlgnniufior.---(Pn.ée) /. Dans la méme nuit, le feu se décla-- roposé le Dr. P. St. Jean se |r8 dans 7 Hotel Nagolc'm, la propri-- condé p.r]'.l:i. Tass6 Er.--Que les j 6té de M. F. X, Guertin, au coin membres de I'Institut--Canadien mot-- | des rues St. André et Cumberland.. tant toute 'consideration politique de | Cette maison fut aussi consumée, coté, croient de.leur devoir de protes-- La perte de M. Guertin est estimée a ter contre les articlesinjurienx laneés | $3.000. I! était assuré an montant Proposé par Petrus Mari Ecr. se-- condé ';:Lp: Grison Eer. Quo les membres:de la Société St. Jean Bap-- tiste réunis en assemblée publique, diohreutqn'u:l%oleetnre f:mede%m\ ticle du Pays do Montréal an sujet des bitisses du gouvernement et de Tat-- taque toute renonne elle de son rédac-- tou reontre la population de cette ville, croient de.leur..devoir ,.de déclarer qu'ile gont en état de pouvoir prou-- Yer au ré lacteur de ce journal que la Société St. Jean Baptiste établie de-- puis plusieurs années en cette ville, est en état de pouvoir mettre i'{tm- fit la splendide bibliothéque de la Miner dans in t Voidi va'qu't dit: Que_ los: Canadiens [l'nng-il do la ville . d'Ottawa réunis en assemblée publique, apros avoir ea.communica-- tio;:'d un article éditorial publié dans le Pays du 11:conrant, déclarent una-- nimement que les avancés du rédac-- teur de ce jourval, sont faux et nulle-- ment.appuy6s gur des faits, qn'ils sont malicienx 'et sont ni plus ni moins que Ia plus grossidre des insultes jet-- ted A In face , d'un penple; que les canadiens de cette ville croient de-- voir;gu nom de--leur nationalité pro-- tester contre les avancés du rédactenr de ce journal. qui ne conuait . pas la population qu'il accuse d'ignorance, n'ayant, en luiyméme aucun rapport avec elfe.. (Passée,) _ _ _ "'-II'!! a no# compa-- Aprés quoi il fut résolo sur mo-- tion du Dr, J.(T. C. de Beaubien so-- 'Oe'dé par J. B; Richer, Eer. Eer., furent..appelés: tour & tour & prendre Ia parole, ce 1n'il- firent aux applaudissements de l'immense popu-- lation ~présente! qui-- ne mérite pus d'avoir. dans son sein la splendirle bib!infl'béqne de la législature. 16, .. Messicurs ~lés ~Dre. &!flll_)_ieu,flt. Jean: et H. une population--qui . prise en masse, nost mment pdp-' rz&.u,fnhlon profit, ete, _ II a été résolu sur motion de M. @opuiation comme : celle d'Ottaws .lzlndido bibliotheque comme & notre législatare, d'aller en-- de pareils:moyens d'instruction --et celn dans un pays o ils sont si rares,--dans le recoin le plus reculé, le atouse crviisé d'un pays et dans ,.udoaunm. an 'soir dans le but examiner un --article d'un journal »fll:lié & Montréalsous le nom de ALe Pays" en date du 11 courant, danse lequel le Rédacteur de ce jour-- nal avance que s'il est gquelque chose de ridienle, clest--d'envoyer duns ane A une assemblée publique des Ca= padione--Fratigals de cette mille ionne dn inrPiinpmemtpoent m sb Wns yeeperns) A. T. W. Reavine _ Smoratame. C foivt ioi des af. 'wvee un siccda dOttawa rm gur . J. Friel aif tou-- au plus mubte de les énoncer t dane lour position respective quant anx partis ot aux Etas qu'ile représontaient. Ottawa, (HC.) Joud! matin 16 Octobre 1962 _ Lear opposition & ces bills était presiiare-- ment que la constitufien ne leur donnait au~ cun pouroir ; serondement qu'il dtait trds in~ expédient, tras impolitique do passer dans #e moment de sriss des lois qu'on ma . pou-- yait legalloment motira on feres. Ceux qui eroyaient que lm constitation . no donne aucume autorité pour décréter de . tal-- les lois no présentaient point cet instrument comme une egide pour proféger les rebelles on défendre les traitres ; car au contraite ils savaient t rés bien que le Congrds d'aprds la constitution a le pouvoir et lm force d'abat-- io in main de quicongue voudrait Pélover pour renversar le gouveunement, mais ils ne voulaient point qu'on in viole pour pusser des lois inyustes et tyranniqnes. La premitre, t la plos nombrease, étaient ceux qui avaient 46 élus an congrds comme démocrates, ia seconde, les hommes de U-- wien qui représentaiont los Etate esolavagis-- tos; ot In troimdme, les hommes conservatife Oh-p-lopmrlpfllhfis Lea raisonnements employés par ces trois olanses d'hommes contre 'adoption de ces bills dtaient cembiabtes e trendaiont an mé-- | _ Presque toat le temps de ia dernizre ses-- ! sion du Congrés des Etats--Unia a 66 peoupé w In considération des bills qui avaient pour !objfl de confisqusr la propriété des . rébelles du Sud et de libérer leurs esclaves do in ser-- vitude. Presque chaque Sénateur, ot Iafplue grande partie des représentants ont fait . soit des discours, ou ont écrit et public des osanis aur ce« questions. Chaque orateur et chaque écrivain a'accordaient parfaitement bien sur ce point que la rébellion devrait étre. étouffée ot les rebelles devraient étre punis. Si done il y a ou quelque difference d'opinion & In: passasion de ces bilts, ce n'était done point ' dans le but de protéger et de défendre 1e ceupable, puis qu'il ne se trouvait pfimu' qui le voulait. . Loradvarsaires de 08e bills se composaien de trois clussc» d*homnmes. PCY 00800 de $1,600 Dans notre article de la semaine dernire ayant pour titre.--Arrivée du Gouvernenr Général i1 s'est glis-- sé quelques errcurs typofimphiqnes que lo lecteur intelligent a du wrnfi:r lui--méme, engre sutres le nom de La-- dy Head en place de Lady Monck. Une petite soene comique chez M. C,,: lors du dermiet feu--au prochain N°r ' PIsle aux Grues. NOMs DES POSTULANTES QuUT oNT PRTS LE BAINT HABIT. Célina Duteau de Grand Pré, de Bt. Norbert ; Eloise Brassard, de Ni-- colet ;}Mary Schmidt, du comté d'Hei-- belberg, duché de Bnder#Alleml e) Bara ;fimnene, de St. Vallier ; Ela-- vie Duchemin, de St. Basile. NOMs DES PRoFKSSES. Mauric Laurence Duguay, de St. Frangois du Lac; Ellen lf';hon, du Township de Beckwith , Julie Robil-- lard, dite Sopur St. Louis de Gonza-- Fe do Bytown ; Marie Reine Olvina errin, de Montréal ; Sophie Brassard, dite Scour St. Antoine, de Nicolet; Emilie Gulbran, dite Sceur Cécile, de Christiana, Now&ge ; Léocadie Beau-- bien dite Sceur Victvire, de la rividre du Loup ; Eléonore St. Pierre, de La conriscation ®t tfxtanciration + Couvent d'Ottawa. Nous publions ci--dessons la liste des noms des professes, dont la céré-- monie de réception a eu lieu le 2 du courant : CORRESPONDANCE AMERICAINE. nvomg. . (Pour le Courrier d' Ottawa.) Frubithipngsich h cad V est 1 ces jounes gens quu;'m.mud :.:n::m recrues on is sous vous al A mt es mt leurs revers, les: Yankees songent beaucoup & des capitanx sar travaux Bi quelqu'un en : moment a douvriers sur les T m:m de fer, p'l:#wvoml ui--meme, en ouvrier vuxt;. dire Aoldu.., To n'est pas besoin de plus longs ur-- goments démontrer l« deception ét la viulm des lois de nutnlit: ui. se pratiquent non seulement &moum, mais sans doute aussi dans un bou nombre de petites villes de notre territoire qui n'ont point une organisation de prnie- suffisante. 8i es autorités locales ou municipales ne sont point en mesure, une autori-- té plus rnzme que celles--la devrait prendreles choses en mains et mettre 41 terme & l'abus de confiance qui se POarsuit.--J'oubliais un potit zéuil ui ne manque pas de signification. &und le moment du départ arrive, on prie les recrues de n'emporter avec enx ni valises ni effets, leur romettant ;qu'elles seront pourvues Se tout & leur arrivee. 2C "UDerce des bois., C'est i jounes gens que les ugonts Ju vez vous qu'il y afei, & 'autom :%"'q:'uyfilflm,. s6e de cette uesse les services j:).u 'ah m:; commerce des bois., Cest par ter sur un cheman de fer on Po cenes i) Bariens Wécife doux ou le chiffre 'f.aw .':E "';3 vez vous qu'il y afei. ?Fuw tous de cette ville pour aller ler sur um ab-&l:"&.. les choses de prbe, i'sssinr mt gie de> ie w Tok qop "ogere:, feet Parties si préecieux pour le dane s ma-- 4j Quiconque ne connait poiat le but, la poli-- | tique ot les sentiments des républicains , | abolitionistes . qui composaient le dernier | Congrés no pourrait comprendre pourquoi, sous de telles circonstances, on a passé des | loin si injustes et si tyranniques et adopté | des mesures si outrageantes et ai arbitraires. Mais quand on examine de prés ,les motife qui ont fait agir ces fanatiqnes du Nord, on décourre de suite et sans 8'y tromper que C'est la haine contre le Sud qui a dirigé tou-- tes leurs actions. Les chefs républicains quiont fait et font encore verser aujourd'hui si inutilement le sang de tant de braves soldats n*hésitent pas | & dire ©" qu'i a'y a pas un seul proprictaire ' Wesclaves qui soit loyal ; ils vout méme en-- | core plus loin is déclareut ouvertement qu'il n'y a par un seu! homme loyal dans tous les Etate do Sud, et de plug is «no rougiesent point de dire qu'au sud de Ia ligne Mason of Dixon il est impossible de trouver un -- seul hemme innocent et c'est pour cela qu'agissant d'aprés leurs idées ot lour aveuglement ils ont législaté et adopté des mesures en viola tion directe i la conatitution des Etate--Unis. M esn en uty liers d'mutros qui appaiticnnent aux Etate da Sud et qui venlent ot qui sont prats & verser leur sang pour in patrie et pour sauver I'Union do moment qo° l6 gourernemen: federal voudrait protéger leat famille pen-- dant qu'ile servicar sur le champ de bataille, Wade et sex confreres, dia--j6, : lour disaient * vous mériter in mort, vos -- propriétés de-- vraient étre confisquéer, détruites Maintenant je demance & tous les con-- servatife, & tous ceux qui obéissent aux . lois du pays, & ceus qui respectent la conatitu-- tion et aiment |'Union et & tous ceux . qui désirent que le pays soit rétabli dans sa prospérité premiére, s'il est possible d avoir In paix aussi longtemps que nous aurons des hommes comme le sénatear Wade, gui au-- ront l'ascendance dans le Congrés et conti= naeront d'étre & la téte de la nation. Wade ot confréres disaiont anx quarante milles hotames du Kentucky qui combattaient sous les drapeaox de I'Union, & ces milliors de Missouri, do la Virginie, dn Tenessee, dn Delaware at dn Maryland et & taot de mil-- liers d'mutros qui appaiticnnent aux Etate du Sed et qui venlent ot qui sont prats & verser leur sang pour In patrie et pour saver snn 4) og T 1 Ces hommes n'ont cessé de déclarer que ces lois une fois ;parsées compromettraient d'abord 1'Union, lui feraient ensuite un . tort considérable et & la fin mettraient en danger le succés de sa cause ; et cest pour cvla qUils demandérent et priérent aveo ardeur qu'elles no soient pas adoptées. Mais lours pribres furent vaines et inutiles. On n'écouta que la voix des passions, on ferma les your pour ne point voir le mal qu'on allait affliger au pays. Le fanatisme dirigem tous les actes du Congrés et la minorité qui était composée des amis de 1'Union fut obligée de courber la téte sous la volonté d'une majorité abso-- ' 122 Ino. tre--vingt pour cent d'esclavex qui appartion-- nent A des hommes qui sont pour I'Union et dont le sang a éte versé sur chaque bataille depuis que le Kentucky s%est yoint au Nord pour soumettre la rebellion du Sud. L'adop-- tion de ces mesures par le Congrés fédéral alteint 'innocent comme le coupable. Oi est done In justice de ces lois ? Ces hommes Wont cascs da Jiste..2 _ -- Ae e t T #'appaurrirait. | Parce que 'Pémancipation d'une partie des esclaves dans un Etat ren-- drait la balance nalle, d'rucune valeut, . si non dangereuse et que les hommes loyaux de ces Etats qui constituent une grande ma-- jorité du peuple seraient ruines par -- les moyens méme que le gouvernement em-- 1 Meel inloctictes M. Wadsworth du Kentucky disait en piein Congrés qu'il appert par les livres des assessours de cut Etat qu'il y a plas de qua-- ploirait pour atteindre et ;urnlr le coupable," Yentune ioonBdes 1O o es ce i res sans distinguer toutes les propri¢tes qui sont en litige daus les Etats du Sud, et rendraient en conséquence nominale et presque nulle la valeur de ces preprictés, pour la raisen que personne ne pourrait les acheter avec garaotie st sureté, et sans parler do la pro-- pridté des esclaves qui serait de fait détraite par Popération da ces loin, et que du moment qu'on adopterait ces mesnres, le Sud qui contenait des milliers dhommes en faveur de !'Union et qui ne voulaient point se ran-- ger sous le drapeau de la révolte, n'ayant aveane protection & ospérer de in part . do gouvernement (édéral, accepteraient comme un moindre mal la politique de Jefferson Davis et se ranveraient tous d'un commun accard sous son érandard. Parce que, di-- saient--ils aussi, le gouvernement n'eu . tire-- rait ancum . bénifice, tandisque | Pindividu No U Rem ols u T tuient Peflet d'impliquer sous lears coups et rarent Teflet d'implique Qlimp-n'i..pmq-"".u q-i-v-i-mudgnin.d.n plaindre de contre enx a loi du talion. "{ls préférérent tout souffrir, tout perdre plutét que duser de représailles cootre ceux qui les avaient si maltraités. a Fadop-- qo'iles i max twke peu jodiciouz do legisinter dans co lA sur des sojets qus étajent d'ine im-- portance si via's pour ie bien--étre du Sod. Pounant ane grande partie d'esire cox Avail perdu par is persceution de icurs con~ frétes reboiles toui ce qu'ils posscdaient ; lour propriété avais dte »aisie, confisquée ei méme détruite sous leurs yeux. Nonobsiant touies lears peries, les injusticas commises eavers enX par leurs propres concitoyens, mas par--un sentiment de patriotisme et d'abnégation, aimant I'Union plus que leurs biens, ils ne voulaient poict qu'en employst mait poiut le but, la poli-- ments des républicains composaient le dernier _ comprendre pourquoi, ui ont fait et font i si invtilement le oldats nhésitent pas in seul proprietaire ; ils vout méme en~ ; in prouve Etate de I'l'g:in ®t ln délimitation convenue ; de l'antre, lorsque le gou-- vernement du.saintsidge, revenant a d'anciennes traditions, consacrernit les pfiflfls des municipalités ot des provinces de manidre & ce quelles s'adiministront m: ui':.i dire elles mémes ; car; voir dn pap®, p'anm dans nuwph?u blevée an dessns des intéréts secondaires de In sociéth, so dégagerait do cette ros-- ponsabilité toujours pesante et q@'an gouvernement fort peat senl sup-- «* Pour qu'il soit maitre chez Ini, l'indépendance doit lui &tre assarée, ot son pouvoir accepté librement par ses sujeta. Il fant eapérer qu'il on so-- nhm d'nc&éz lorsque le gou-- vernement italien s'engagerait visa-- vis de la France & reconnaitre les * Mais sur qn%llo base fonder une Q"VE si désirable ié a * ramené & tine saine ap-- rrobltiol:l. s:'. choses, comprendrait ia nécessité d'accepter tout ce qui peut le rattacher & litalie, et l'Ih?ie. cédant aux conseils d'une sage poli-- tique, ne refuserait pas d'adopter . les garanties nécessaires & l'indépendan-- ce du Souverain Ponsife et an libre exercice de son pouvoir. " On atteindrait ce double but par une combinaison qui, en maintenant le pape muitre chez lui, absisscrait les barridres qui dsu'm aujourd hui ses Etate du reste de l'Italic. 5... L'intérét dn Saint--Sigge, celui de la religion exigent done que le pape se rfloncilie avec PItalie ; car ce ne sera se réconcillier avec les idées modernes, retenir dans le giron de I'Eg!ise denx cents millions de ca-- tholiques et donner & la religion un lustre nouvean en montrant fl foi se-- condant les progrds de Phumanité. Parts, 26 Septembre. L évenement du jour est la publi-- cation par le Afonzteur de documents importants relatifs a la question de Rome. Le premier en ligne est une lettre adressée le 20 mai dernier. par 8. M. Napoléon III a M. de Thou-- venel. Dans cette lettre, Pemperent, aprés avoir constaté qu'il avait fait tout son possible pour amener une réconciliation entre le Saint--Sigge et le gouvernement du roi Victoer%m-' manuel, reconmait avec peine que ses efforts ont 6t6 inutiles: «* ils sont venus se briser jusqu'd présent contre des résistances de tontes sortes, en présence de denx partis diamétrale-- ment opposés, absolus, dans leurs haines comme dans leurs convictions, sourds aux conseils insPirés par le eeul désir du bien." L'empereur dé-- plore tout ce que.l'état de choses ac-- tuel a de fachenx, d'un coté pour la religion, qui rd son prestige et songinflueqnce,y;:l'nutre p}:)ur lfietulie qu'il empéche de constituer définiti-- vement. . Aprés avoir déclaré quil persévérerait dans sa politique et n'abandonnerait pas une cause gran-- de anx yeux de tous et qui doit étre féconde en bienfaits pour Phumanité. Napoléon termine sa lette par la con-- clusion suivante : . quelques paroles d'apropos & la portion irlan-- daise. En un mot, chacun fit de. son . mieux pour donner tout |Péclat possible & ceite coremome qui restera . grave profondément wans le ccour de ia population catholiqne du village de Cumberland. andiand ance it h Bs o bien eh'oinio. et exécutes avec beauc(')'up deotrain Le R. P. Tortel qui avant la messe avait regu Pabjuration d'un protestant pré-- paré & ce grand acte par M. goucher, adres-- xa la parole & la pariie franco--canadienne de Pauditoire. -- Les: idées vives, originales et profondément senties de Porateur qui a su choisit un sujet si bien approprié & la cir-- constance, ont beaucoup impressionné Pau-- e toalinnainail omm on uin m on oo t o ts e dltoire. Le R. P. Pallier dit, & son tout En vous adressant ces queiques lignes que j: vous prie g'éugfigr dans les colonnes du M.le Rédacteur lih&du_dflp-pn-u, si n destrugtion duit marquer son passage, si le :rb-..d-mubhwudn; fetrir in justice. si Iinnocent doit souffrir comme ie coupable, dites--moi, peuple amé-- nealn, y a--t--il quelque espoir de retablir »Union telle qu'vile a 616, de conserver ia ipn telle qu'gile est de jouir encore des bienfaits d'une paiz douce, longue et le long hourcase? earrir les yous. Mais hels !;h-pué que ceus qui uous ont représeniée jusgu'a présent, c'cn est init, iout ost Pexpc, is 16-- publique est pour topjours--ok ravitz. Adiou ls liberl@, adicu Hindépendance, adieu U'Union. prospéres, doftswssi iinstfaire at iui faire Correspondance d'Europe. Détroit Mich. 10 Octobre 1862 Fete Religicuse Un Témone _ _On évaine ces cadeanx & prés de 500,000 fr., et on cite parmi enx nn chapelet de 315 graige, dont chaeun ect séparé par une perle et chaque perle par un diamant. En ontre, une horloge d'umnilnqnh\ et dont chaque chiffre d'henre contient ane relique. Enfin, us album hraidi-- On s'entretient beaucoup & Tarin des cndeaux offerts par le Jnint Pore & sa fillenle par la princesse Pie. Ils sont de la plu'gnnde m*nihee; anne dirnit pas & en lire en listo, que le pére et le parrain de Pauguste g-neé sont anjourd'hut ennemis réconcili-- a'es, a'excommuniant et se dépouil-- lant Pun et Pautre. * Turin, 24 septembre. * Le prince Napoléon et la princes-- se Clothilde sont arrivés ce soir, & six heures. Le roi, la princcase i'ie, le prinee de Cnrifimm, les officiers de la maison royale, l'ambassade francaise, les elvoyé portugais, les ministres 'e' la municipalité éyrient allés rece-- voir LL. AX. an débarcadére. La garde nationale faisait la haie sur le passage du cortége. Les denx prin-- cesses étaient dans la premidre voi-- ture ayant en face le roi Victor--Em-- manuel et le prince Na'poléon. La ropnlntion de Torin a fait & see ho-- es un mceneil enthousiaste. Ce soir la ville est illuminée." Une autre dépéche ajoute : 6 'l?::in, 2% septmbre. _ * Aujourd'hui, & denx heures, a en lieu la signature soleunelle da mari-- ?ude Ia princesse Pie avec le roi de ortugal. La celébration du mariage aura lien A Lisbonne le 6 octobre. La princesse est attendue le 5 dans cette capitale. Une dépéche rend compte en ces termes de l'arrivée a Turin du Prince Napoléon et de la princesse Clothi-- de : iMennt t d itcnnthia d d la France pour son éloignement de 'Rome ; il a recouru au pape, qui au-- rait écrit une lettre & 'empereur. On ne sanrait affirmer que lattre du pa(!.)e aie été réellement écrite, mais il doit y avoir eu une démarche quel-- conque. En méme temps, néan-- moins, le Vatican aurait insinué A Frangois II qu'on le verrait avec plai-- sir s'abstenir de certaing actes trop royaux. _ Des lettres particuli¢res de Rome racontent que Frangois II s'est cru menacé d'une nouvelle démarche de M. de Lavalette, notre représen-- tant aupres du Saint--Siége, quitte Rome Semnin pour revenir & Paris. On dit qu'il sera porteur d'une let-- tre autographe du pape pour l'em-- pereur. _ " Sans nous "prononcer ici sur la valour d'une combinaison qui, a pre-- midre vne, ne satisfait ni P'Italie, qui réclame sa capitale, ni la papauté, qui veut les anciennes provinces, ni lesennemis du gonvernement frangais, qui voudraient voir a responsabili-- te constamment eugagée dans le dé-- plorable conflit entre Rome et Turin nous peuvons dire cependant que I'ad(:ipzion sous réserve do ces premi-- res données. constituerait un grand pas vers une solution pacifique et ra-- tionnelle. * 4. Des engagements du gouver-- nement italien ?fiaedéjouer au besoin par la force les complotsouvertement démoneés contre Pautorité pontiti-- cale. © Ces propositions acceptées, le gouvernement papal serait livré & lui méme, et maintiendrait par ses seu-- les forces son antorité temporelle sur la population romaine. 1 * Telles seraient les bases princi-- pales de ce projet. . . in ut o V d onb enc uc * 8. Une déclaration portant toute attaque de ce territoire Narmée italienne entraiverait ur de guerre ; ** Prenant texte des déclarations antérieures du gouvernement ponti-- fical au sujet de NPoccupation fran-- gaise a Rome et des affirmations des agents pontificaux touchant le dé-- vouement de la population romaine & la papanté, les auteurs de ce projet praposeraient : " 1. V'évacuation immédiate de nos troupes ; © 2. La garantie diplomatique ra-- tifiée par les grandes puissances du territoire pontifical actuel ; Cette lettre de P'empereur a natu-- rellement occasionné un &-.? de communications entre Rome et Puris, Comme tonjours, le cardinal Auto-- nelli s'est borné a répondre aux ins-- tunces du ministre frangais, en dé-- clarant que ls conscience du pape 'l'mybdm't de _ donner la main & aucun arrangement avant . la restitution pure et dmfh' sans consi-- tions, dugmvim enlevées an ter-- ritoire du Saint--Sigge. La publica-- tion de ces documents est Pobjet de nombreux commentaires. On se de-- mande: Est--ce un appel & Popinion t Estce une mise en demande du gouvernement pontifical ? Est--ce un nouveau temps d'arrét? D'aprés la version la plus accréditée, une décla-- ration nouvelle émanerait trés pro-- chainement du gouvernement lgln is Ills'agi..:it & la fois de préparer la réconciliation de la papauté avec I'Italie et de dégagerla responsabilité de la France vis--vis dn monde catho lique.. ment aussi bien renseigné que cir-- conspect, public la note suivante, que je transcris sans commantaires : avec les réveries politiques de M. de Iafnéronniére,--eet en ce moment Pobjet des prévccupations des cercles politiques officiels. _ ** Un projet de solution de la ques-- tion romaine,--projet sérieux, et qui n'a par conséquent rien de commun ons 1 s 1 is, dés le retour de Vempereur & g':'u. D'autres personnes prédisent une crise miniutg:elle, qui serait la conséquence d'une résulution prise par Napoléon III de tenter de nou-- ;gila J:Onnrchu auprées du Saint-- i8ge, lgeEnpru public, journal ordinaire-- relatife & 'atils & me pon-- h-hnwhph que par cas

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